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La 25e Heure du Livre, Conférence #1 : Les conséquences de la colonisation de l’Amérique du Sud
Cela fait maintenant plusieurs années que la 25e Heure du Livre du Mans a fait le choix de mettre en avant un pays ou un peuple différent à chaque nouvelle édition. Après l’Océanie l’an passé, c’est cette fois au tour des Incas de se retrouver sur le devant de la scène. Fondateurs de l’un des trois plus grands empires de l’Amérique précolombienne avant leur anéantissement par les conquistadors espagnols, les Incas forment un peuple qui a toujours su enflammer notre imagination, et ce malgré notre trop grande ignorance le concernant. Parmi les nombreuses conférences données sur le sujet, l’une d’elle s’interrogeait sur la colonisation de l’Amérique du Sud et ses conséquences (« Colonisation de l’Amérique du Sud : Quelles conséquences sur les populations autochtones hier et aujourd’hui »). Y sont intervenus : Jean-Paul Duviols, universitaire spécialiste de la période précolombienne et auteur d’un ouvrage consacré à Bartolomé de las Casas ; Patrick Bard et Marie-Berthe Ferrer, co-auteurs de « Sortir de la longue nuit », un ouvrage consacré aux peuples indigènes d’Amérique du sud ; et Sylvie Brieu, journaliste grand reporter pour National Géographique. Les noms placés entre parenthèses indiquent ceux à qui sont adressés les questions.
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La 25e Heure du Livre du Mans 2013, c’est parti !
Au pays des 24 Heures du Mans, la 25e Heure est partie sur des chapeaux de roues ! (Remercions Carre pour son trait d’esprit)
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Chronique d’une razzia au Livre sur la Place
A peine embarqué dans un cheval de fer qui quitte Metz à pleine allure, voilà que la pluie se met de la partie et prend visiblement un plaisir certain à sévir avec ardeur. Quel crève-cœur de voir le centre Pompidou, chef d’œuvre architectural unique niché dans un écrin méconnu, ah Metz !, battu par les vents, la pluie, la grisaille.
L’arrivée dans la grande rivale, la « ville du Sud » n’est guère réjouissante. Le parapluie est de rigueur. Mais fort heureusement voilà des panneaux indicateurs forts sympathiques. Peu importe où l’on se retrouve, par où l’on s’égare… aucun doute n’est permis : le sentier est bien balisé et aucun passant ne peut prétexter ne pas savoir où aller.
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L’Antiquité gréco-latine aux sources de l’imaginaire contemporain
Sous cette longue appellation se révèle un colloque co-organisé par l’Université de Rouen et l’École Pratique des hautes études, du 7 au 9 juin 2012.