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Ça bulle fort : les sorties comics VF de mars 2014
En mars, on montre souvent du doigt les giboulées, mais n’oublions pas les rafales de publications de comics tentant de nous faire oublier tout ce que nous n’avons pas pu nous offrir les mois précédents.
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#1Blog1Séance avec Les Toiles Enchantées
PriceMinister – Rakuten s’associe aux Toiles Enchantées pour offrir grâce aux blogueurs des séances de cinéma aux enfants et adolescents hospitalisés ou handicapés.Du 03/02 au 28/02 un article publié sur votre blog ou site se transforme en un don de 15€ de PriceMinister – Rakuten aux Toiles Enchantées pour les soutenir dans leur merveilleuse démarche d’offrir gratuitement aux enfants et adolescents hospitalisés ou handicapés les films à l’affiche sur grand écran, comme au cinéma !
En publiant cette mini-interview sur mon blog, PriceMinister – Rakuten s’engage à faire un don de 15€ aux Toiles Enchantées qui offre gratuitement aux enfants et adolescents hospitalisés ou handicapés les films à l’affiche sur grand écran, comme au cinéma !
Pour participer également, les instructions sont ici.
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Le Trône de fer, tome 3 : La bataille des rois
Titre : La bataille des rois (1ère partie de « A Clash of Kings »)
Cycle : Le Trône de Fer, tome 13 (A Song of Ice and Fire)
Auteur : George R. R. Martin
Éditeur : Pygmalion, puis J’ai Lu
Date de publication : 16 février 2000, puis 11 janvier 2002Synopsis : Le roi Robert n’est plus, tout comme son ami Ned Stark, exécuté. La dynastie Baratheon n’aura duré qu’une génération, et la paix plusieurs fois centenaire du royaume des Sept Couronnes a volé en éclats : Joffrey, le bâtard illégitime, se terre dans la capitale ; les frères de Robert rallient des troupes à leurs bannières ; le fils Stark a levé son armée et crie vengeance ; des pirates razzient les côtes et des brigands pillent les campagnes… Des quatre monarques qui se disputent la dépouille du royaume, chacun est bien décidé à faire parler l’acier.
Courage et folie sont cousins, du moins le prétend-on.
La Bataille des Rois. Rien qu’avec le titre et en connaissant les événements de la fin du tome 2, on se dit que Le Trône de Fer va encore nous envoyer du lourd. On ne se trompe pas : cette saga nous offre énormément rien que dans ce « petit » tome.
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Le Salon du Livre de Paris 2014 en approche !
Du 21 au 24 mars 2014 et à la Porte de Versailles se tiendra le 34e Salon du Livre de Paris et la communication autour de cet événement littéraire s’intensifie.
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Barjot !
Titre : Barjot !
Auteur : Jean-Hugues Oppel
Éditeur : Rivages (Rivages/Noir)
Date de publication : 2011 (1ère édition chez Gallimard en 1987)Synopsis : D’habitude, une crevaison, ça vous envoie dans le décor. Jérôme-Dieudonné Salgan, lui, ça lui a sauvé la vie : grâce à ce retard providentiel provoqué par un chauffard, il évite le massacre en règle de toute sa famille et des amis qui l’attendaient chez lui. Lorsqu’il recroise la même voiture un peu plus tard, il se persuade vite qu’elle a quelque chose à voir avec ce crime. Mais en remontant la piste de ses bourreaux, il se heurte à une police parallèle qui étouffe l’affaire, sacrément gênante pour elle : ces exécutions constituaient une bavure, les exécuteurs s’étaient trompés de cibles.
Entre parodie, manipulation et délire de vengeance, Jean-Hugues Oppel, lauréat de nombreux prix (notamment le Prix mystère de la critique et le Grand Prix de littérature policière), s’attaque, dans ce premier roman écrit en solo et enfin réédité, à ce qui restera l’un de ses thèmes fétiches : la raison d’État et l’impunité des puissants.Alors elle est plantée dans son encoignure, stoïque. Au risque de se faire emballer. Ça vaut mieux que de perdre une occasion de remplir sa bourse en vidant celles d’une âme en peine de coït.
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Le Nom de la Rose
Titre : Le Nom de la Rose (Il Nome della Rosa)
Auteur : Umberto Eco
Éditeur : Grasset
Date de publication : 1982 (1980 en VO chez Fabri-Bompiani)
Récompenses : Prix Médicis étranger 1982Synopsis : En l’an de grâce et de disgrâce 1327, rien ne va plus dans la chrétienté. Des bandes d’hérétiques sillonnent les royaumes. Lorsque Guillaume de Baskerville, accompagné de son secrétaire, arrive dans le havre de sérénité et de neutralité qu’est l’abbaye située entre Provence et Ligurie – que tout l’Occident admire pour la science de ses moines et la richesse de sa bibliothèque –, il est aussitôt mis à contribution par l’abbé. La veille, un moine s’est jeté du haut des murailles. C’est le premier des assassinats qui seront scandés par les heures canoniales de la vie monastique. Crimes, stupre, vice, hérésie, tout va advenir en l’espace de sept jours.
On raconte qu’un calife oriental un jour livra aux flammes la bibliothèque d’une ville célèbre et glorieuse et orgueilleuse et que, devant ces milliers de volumes en feu, il disait qu’ils pouvaient et devaient disparaître : car ou bien ils répétaient ce que le Coran disait déjà, et donc ils étaient inutiles, ou bien ils contredisaient ce livre sacré pour les infidèles, et donc ils étaient pernicieux.
Mélangez Sherlock Holmes dans sa période « Baskerville » avec l’ambiance d’une abbaye bénédictine du XIVe siècle soumise aux turpitudes liées à l’Inquisition et à la crainte de la sorcellerie, vous obtiendrez de quoi créer un chef-d’œuvre littéraire. Incontestablement, Le Nom de la Rose répond à cette exigence !
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American Vampire, tome 2 : Le diable du désert
Titre : Le diable du désert
Série : American Vampire, tome 2
Scénariste : Scott Snyder
Dessinateurs : Rafael Albuquerque, Mateus Santolouco
Éditeur : Urban Comics (Vertigo Classiques)
Date de publication : 21 juin 2013 (2011 en VO chez DC Comics)Synopsis : Dans l’Amérique des années trente, tandis que la majeure partie du pays souffre de la Grande Dépression, la ville de Las Vegas entame quant à elle sa mutation : jeux d’argent, prostitution et corruption lui valent déjà son surnom légendaire de « Cité du Péché ». Quand les corps d’importants businessmen, vidés de leur sang, se multiplient aux coins des rues, l’agent McCogan est loin d’imaginer les raisons de cette hécatombe. Skinner et Pearl y seraient-ils pour quelque chose ?
Les monstres, les croquemitaines existent. Certains se cachent sous votre lit, d’autres se pavanent en plein jour.
Scott Snyder et Rafael Albuquerque poursuivent la quête de Skinner Sweet dans ce deuxième tome d’American Vampire, leur série de comics horrifique aux dents longues.
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Des milliards de tapis de cheveux
Titre : Des milliards de tapis de cheveux (Die Haarteppichknüpfer)
Auteur : Andreas Eschbach
Éditeur : L’Atalante (La Dentelle du Cygne) / J’ai Lu (Science-Fiction)
Date de publication : 1999, puis 2004 (1995 en VO)
Récompenses : Prix Bob-Morane 2001 du roman étranger, Grand Prix de l’Imaginaire 2001 du roman étranger, Prix Bob-Morane 2008 spécialSynopsis : Noeud après noeud, jour après jour, toute une vie durant, ses mains répétaient les mêmes gestes, nouant et renouant sans cesse les fins cheveux, comme son père et le père de son père l’avaient fait avant lui…
N’est-ce pas étrange qu’un monde entier s’adonne ainsi au tissage de tapis en cheveux ? L’objet en est, dit-on, d’orner le Palais des Etoiles, la demeure de l’Empereur. Mais qu’en est-il de l’Empereur lui-même ? N’entend-on pas qu’il aurait abdiqué ? qu’il serait mort, abattu par des rebelles ?
Comment cela serait-il possible ? Le soleil brillerait-il sans lui ? Les étoiles luiraient-elles encore au firmament ?
L’Empereur, les rebelles, des milliards de tapis de cheveux ; il est long le chemin qui mène à la vérité, de la cité de Yahannochia au Palais des Etoiles, et jusqu’au Palais des Larmes sur un monde oublié…Nœud après nœud, jour après jour, une vie durant, les mains de l’exécutant répétaient sans cesse les mêmes gestes, nouant et renouant sans cesse les fins cheveux, des cheveux si fins et si ténus que ses doigts finissaient immanquablement par trembler et ses yeux par faiblir de s’être si intensément concentrés – et pourtant, l’avancée de l’ouvrage était à peine perceptible ; une bonne journée de travail avait comme maigre fruit un nouveau fragment de tapis dont la taille approximative n’excédait pas celle d’un ongle.
Ils sont beaux, mes tapis, ils sont beaux ! Tout de cheveux tissés, ils sont le but ultime de tout bon père de famille désireux d’assurer un certain train de vie à sa descendance ! Grâce à ce système social à première vue capillotracté, et pourtant diablement original, Andreas Eschbach nous tisse une histoire touffue certes, mais également moelleuse et confortable.
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Une envie de vérité
Titre : Une envie de vérité
Auteur : Cécile Attias
Éditeur : Flammarion (Documents & Témoignages)
Date de publication : 9 octobre 2013Synopsis : Pour la première fois, Cécilia Attias nous livre le récit de sa vie hors du commun. De son enfance heureuse à son premier mariage avec Jacques Martin, de sa rencontre avec Nicolas Sarkozy et leur vie dans les palais de la République à sa séparation d’avec l’ancien président pour épouser Richard Attias et courir le monde afin d’aider les autres, elle n’omet rien. Et parce que l’image d’une personne correspond rarement à sa réalité – surtout quand les médias s’en emparent -, le lecteur découvrira ici un être qu’il ne soupçonnait pas : une femme de cœur et de décisions, guidée par ses valeurs autant que par son goût de la liberté. Dans ce livre élégant et passionné, celle qui s’est révélée sur la scène internationale en obtenant de Kadhafi la libération des infirmières bulgares prouve que la plus noble des qualités est l’indépendance de ton, comme d’esprit.
NOTE
Je suis une personne simple qui a eu une vie compliquée. Un tel aveu pourra surprendre, il n’en est pas moins vrai. Mes aspirations m’ont toujours poussée vers une existence discrète, consacrée à ma famille et au souci des autres, alors que la vie prenait plaisir à me placer sous les projecteurs de l’actualité. Longtemps je m’en suis accommodée, mais je restais légèrement en retrait. D’où quelques maladresses et de nombreux malentendus. J’ai regretté les premières et souffert des seconds. Mais au final, est-il si surprenant qu’on se soit beaucoup trompe sur mon compte alors que, moi-même, je ne savais plus toujours qui j’étais ?
Cécilia Attias se rend-elle compte combien elle devient pénible à palabrer ainsi pendant trois cents pages ? Voici l’une des nombreuses questions qui vient aux lèvres du lecteur finissant cette Envie de vérité.
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