-
Casanova – Au service de l’E.M.P.I.R.E., tome 1 : Luxuria
Titre : Luxuria
Série : Casanova – Au service de l’E.M.P.I.R.E., tome 1
Scénariste : Matt Fraction
Dessinateurs : Fàbio Moon et Gabriel Bà
Éditeur : Urban Comics (Urban Indies)
Date de publication : 25 janvier 2013 (2007 en VO chez Image Comics)Synopsis : Son père, Cornélius, est le Directeur Suprême d’E.M.P.I.R.E., agence internationale chargée de préserver notre chère Terre de toute menace, et ce, de préférence, par les moyens les plus répressifs qui soient. Sa soeur jumelle, Zephyr, incarne l’élite des agents d’E.M.P.I.R.E., et enquête actuellement sur une anomalie dans le continuum espace-temps. La planète entière est sous la juridiction de la famille Quinn, nos vies leur appartiennent, chacune des lois qui régit notre quotidien émane de leur seule autorité. Et Casanova Quinn entend bien les briser, toutes, une à une…
Coucher avec un robot. L’infecter avec un virus. Ok
Voler un autre robot. Ne pas coucher avec. Ok
Récupérer un agent de l’E.M.P.I.R.E. parti en brioche dans un baisodrome turbo-chelou. OkUn nom de lover pour un comics complètement barré : vous êtes bien accroché ? car ce voyage entre univers parallèles et complots familiaux n’est pas de tout repos !
-
Geoff Johns présente Green Lantern, tome 1 : Sans peur
Titre : Sans peur
Série : Geoff Johns présente Green Lantern, tome 1
Scénariste : Geoff Johns
Dessinateur : Carlos Pacheco
Éditeur : Urban Comics (DC Signatures)
Date de publication : 23 mars 2012 (2005 en VO chez DC Comics)Synopsis : Après des années d’errance, le capitaine de l’US Air Force, Hal Jordan, reprend son rôle de Green Lantern, justicier intergalactique. Il est temps pour lui de retrouver sa famille et son escadron. C’est également l’occasion pour lui de retrouver Carol Ferris et de, qui sait ?, poursuivre leur histoire d’amour. Profitant de cette période de sérénité, les pires ennemis du Green Lantern sortent de l’ombre : les Manhunters, Hector Hammond, le Requin, et l’effroyable zombie Black Hand !
– Paraît qu’ils ne quittent jamais leur planète. Ils y naissent et ils y meurent.
– C’est le trou du cul du cosmos ! Je me demande s’il sait parler.
– C’est vrai. Kilowog ? C’est un Terrien, ce Green Lantern ?
– Pire. Un Américain.Avec ce Geoff Johns présente Green Lantern, tome 1 : Sans peur, nous remontons aux origines du run de Geoff Johns qui dura de 2004-2005 à mai 2013 ! Ces presque dix ans de fidélité à ce personnage pour le remettre en selle lui a permis de créer une mythologie extrêmement fouillée et diablement bien mise en scène.
-
Punk Rock Jesus
Titre : Punk Rock Jesus
Scénariste et Dessinateur : Sean Murphy
Éditeur : Urban Comics (Vertigo Deluxe)
Date de publication : 2013 (2012 pour la version originale)Synopsis : Dans notre société de consommation, les chaînes de télévision sont prêtes à tout pour faire de l’audience. Le concept d’une nouvelle émission de télé-réalité consiste à bouleverser l’éthique et la religion et à re-créer un clone de Jésus. Arrivé à l’âge adulte, Chris devient le leader d’un groupe punk.
Alors qu’on pouvait croire que la télévision de tomberait pas plus bas… Cet après-midi, OPHIS a annoncé son projet de nouvelle émission de télé-réalité avec, en vedette, le premier clone humain de l’histoire : Jésus Christ !
-
Punk Rock Jesus
Titre : Punk Rock Jesus
scénariste et Dessinateur : Sean Murphy
Éditeur : Urban Comics (Vertigo Deluxe)
Date de publication : 20 septembre 2013 (2012 en VO chez DC Comics/Vertigo)Synopsis : Dans notre société de consommation, les chaînes de télévision sont prêtes à tout pour faire de l’audience. Le concept d’une nouvelle émission de télé-réalité consiste à bouleverser l’éthique et la religion et à re-créer un clone de Jésus. Arrivé à l’âge adulte, Chris devient le leader d’un groupe punk.
Bonjour l’Amérique ! La Nation la plus chrétienne du monde ! Celle que Dieu a bénie ! Ici Jésus Christ, qui s’adresse à vous en direct du sud de Manhattan, pour vous dire… Allez tous vous faire foutre ! Jésus vous hait !
Punk Rock Jesus : un comics très punk, très rock et très « Jesus ». Peut-on faire une introduction plus simpliste pour un opus aussi classe ? Sûrement pas, d’autant que si le pitch de départ semble être bateau, le traitement de Sean Murphy est, lui, particulièrement travaillé et approfondi.
-
Off Road
Titre : Off Road
Scénariste et Dessinateur : Sean Murphy
Éditeur : Urban Comics (Urban Indies)
Date de publication : 20 septembre 2013 (2004 en VO chez IDW)Synopsis : Trent, étudiant en Beaux-Arts, vient de se faire plaquer par sa copine, Greg ne sait pas quoi faire de sa vie malgré sa fortune familiale, et Brad est un brave gars dont le père lui mène la vie… Un eu désaxés et en plein questionnement sur l’existence, les trois amis décident de faire une virée sauvage dans la Jeep flambant neuve de Greg avant de rejoindre une soirée. Mais l’aventure tourne court lorsqu’ils se retrouvent embourbés, au milieu de nulle part. Piégés, Trent, Greg et Brad vont vivre une de ces expériences qui détruit une amitié ou la soude à jamais.
Le génie, c’est comme un 4×4…
Ça peut vous emmener très loin
et vous coincer dans les endroits les plus reculés.Les Urban Indies se multiplient chez Urban Comics et cet Off Road prend joliment place dans toute comicsothèque qui se veut éclectique et curieuse des dessinateurs en forme du moment.
-
Saga, tome 2
Titre : Saga, tome 2
Série : Saga, tome 2
Scénariste : Brian K. Vaughan
Dessinateur : Fiona Staples
Éditeur : Urban Comics (Urban Indies)
Date de publication : 20 septembre 2013 (mai 2013 en VO chez Image Comics)Synopsis : Après avoir réchappé aux horreurs de la planète Clivage, à ses champs de bataille, et aux chasseurs de primes lancés à leur poursuite, Alana, Marko et leur fille Hazel, symbole d’une paix possible entre les deux peuples, s’apprêtent à relever leur plus grand défi : faire la connaissance des grands-parents !
N’oublie jamais. N’oublie jamais les innombrables héros qui ont tant sacrifié. Et plus important, n’oublie jamais ces maléfiques enculés avec leurs ailes.
Avec ce deuxième tome, cette Saga de Brian K. Vaughan et de Fiona Staples poursuit sa route entre univers de science-fiction et moult créatures fantastiques.
-
Geoff Johns présente Superman, tome 1 : Le dernier fils
Titre : Le dernier fils
Série : Geoff Johns présente Superman, tome 1
Scénaristes : Geoff Johns et Richard Donner
Dessinateurs : Adam Kubert et Arthur Adams
Éditeur : Urban Comics (DC Signatures)
Date de publication : 15 février 2013 (2008 en VO chez DC Comics)Synopsis : Un vaisseau spatial s’écrase en plein Metropolis : à l’intérieur, un jeune enfant. Superman prend sous son aile le rescapé et découvre qu’il vient, comme lui, de Krypton. Mais quel est le secret de ce « Dernier Fils » ?
Tant que Superman existera, le monde restera endormi sur ses lauriers, et s’empâtera de plus en plus, en attendant qu’il nous sauve de nous-mêmes. Et pourtant, des gens continuent de mourir de faim, de tomber malades et de faire la guerre.
Après Batman, Catwoman et Green Lantern, c’est au tour de Superman de bénéficier d’une série dans la collection DC Signatures de chez Urban Comics, et c’est le run de l’indéboulonnable Geoff Johns qui est une nouvelle fois mis en valeur ici.
-
Petrograd
Titre : Petrograd
Scénariste : Philip Gelatt
Dessinateur : Tyler Crook
Éditeur : Urban Comics (Urban Indies)
Date de publication : 30 août 2013 (2011 en VO chez Oni Press)Synopsis : Qui a tué Grigori Raspoutine ? À l’aube de la Révolution de 1917, un espion britannique s’infiltre au coeur de l’Empire Russe. Tiré de fait réels, Petrograd est le fruit d’un travail de recherches, tentant de percer à jour le mystère entourant la mort de Raspoutine. Ce thriller historique nous offre une plongée dans les abysses les plus sombres de la Cour du Tsar de Russie, au début du XXème siècle.
La révolution ne repose pas sur les épaules d’un seul homme. Il ne faut rien de plus qu’une allumette, une pierre, un moment… et le monde changera à tout jamais.
Petrograd la grande, Petrograd la fière, Petrograd l’ancestrale cité des tsars russes est ici l’objet d’un one-shot sombre et intense sur fond de trame politique au cœur de la Première Guerre mondiale.
-
Saga, tome 1
Titre : Saga
Série : Saga, tome 1
Scénariste : Brian K. Vaughan
Dessinateur : Fiona Staples
Éditeur : Urban Comics (Urban Indies)
Date de publication : 2013Synopsis : Un univers sans limite, peuplé de tous les possibles. Une planète, Clivage, perdue dans la lumière froide d’une galaxie mourante. Sur ce monde en guerre, la vie vient déclore. Deux amants que tout oppose, Alana et Marko, donnent naissance à Hazel, un symbole d’espoir pour leurs peuples respectifs. L’espoir, une idée fragile qui devra s’extraire du chaos de Clivage pour grandir, sépanouir et conquérir l’immensité du cosmos.
Je m’appelle Hazel. Au début je n’étais qu’une idée, mais je suis devenue plus que ça. Guère davantage, à vrai dire. Je ne me suis pas non plus transformée en grande héroïne de guerre ou en sauveur tout puissant. Mais grâce à ces deux là j’ai au moins pu devenir adulte. Ce qui n’est pas le cas de tout le monde.
-
Supergirl, tome 1 : La dernière fille de Krypton
Titre : La dernière fille de Krypton
Série : Supergirl, tome 1
Scénaristes : Michael Green et Mike Johnson
Dessinateur : Ahmud Asrar
Éditeur : Urban Comics (DC Renaissance)
Date de publication : 7 juin 2013Synopsis : Kara Zr-El était hier encore une jeune fille habitant sur Krypton avec sa famille et ses proches. Aujourd’hui, elle se réveille sur Terre et découvre que son cousin n’est plus le bébé qu’elle connaissait, mais un adulte à la puissance colossale qui plus est. Traquée, désorientée, tentant de maîtriser ses nouveaux pouvoirs, elle va devoir choisir entre dominer ou sauver l’humanité en tant que Supergirl !
Je crie, mais aucun son ne sort. Je pleure, mais il n’y a pas de larmes. Ma chair brûle, mais il n’y a pas de flammes. Tout ce qu’il y a… tout ce que je sens… c’est la douleur.
J’ai un faible pour les belles héroïnes bien écrites et vraiment héroïques, alors autant dire qu’avec cette Supergirl, nous pouvons espérer être servis. Supergirl ! Un nom qui ne casse pas des briques, c’est vrai, faisant vraiment trop « girly », mais qui peut signifier le cruel besoin de redorer le blason d’un personnage rarement bien mis en valeur.