• Articles récents
  • Fictions / Essais
    • Littérature générale
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
    • Littératures de l’imaginaire
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
    • Essais (politiques, historiens, économiques, etc.)
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
  • Bandes Dessinées
    • Bandes dessinées
    • Comics
    • Mangas
  • Reportages
    • Actualité du livre
    • Chroniques et billets
    • Interviews du Bibliocosme
    • Salons et festivals
      • Annonces
      • Comptes-rendus
  • Du livre à l’écran
    • Bandes-annonces
    • Faut-il aller voir… ?
    • Critiques-ciné
  • À propos
    • Nous contacter
    • Mentions légales
    • Vie du site

Le Bibliocosme

Un monde pour tous les livres

  • Articles récents
  • Fictions / Essais
    • Littérature générale
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
    • Littératures de l’imaginaire
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
    • Essais (politiques, historiens, économiques, etc.)
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
  • Bandes Dessinées
    • Bandes dessinées
    • Comics
    • Mangas
  • Reportages
    • Actualité du livre
    • Chroniques et billets
    • Interviews du Bibliocosme
    • Salons et festivals
      • Annonces
      • Comptes-rendus
  • Du livre à l’écran
    • Bandes-annonces
    • Faut-il aller voir… ?
    • Critiques-ciné
  • À propos
    • Nous contacter
    • Mentions légales
    • Vie du site
  • Articles récents
  • Fictions / Essais
    • Littérature générale
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
    • Littératures de l’imaginaire
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
    • Essais (politiques, historiens, économiques, etc.)
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
  • Bandes Dessinées
    • Bandes dessinées
    • Comics
    • Mangas
  • Reportages
    • Actualité du livre
    • Chroniques et billets
    • Interviews du Bibliocosme
    • Salons et festivals
      • Annonces
      • Comptes-rendus
  • Du livre à l’écran
    • Bandes-annonces
    • Faut-il aller voir… ?
    • Critiques-ciné
  • À propos
    • Nous contacter
    • Mentions légales
    • Vie du site
  • Articles récents
  • Fictions / Essais
    • Littérature générale
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
    • Littératures de l’imaginaire
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
    • Essais (politiques, historiens, économiques, etc.)
      • Par auteur
      • Par éditeur
      • Par titre
  • Bandes Dessinées
    • Bandes dessinées
    • Comics
    • Mangas
  • Reportages
    • Actualité du livre
    • Chroniques et billets
    • Interviews du Bibliocosme
    • Salons et festivals
      • Annonces
      • Comptes-rendus
  • Du livre à l’écran
    • Bandes-annonces
    • Faut-il aller voir… ?
    • Critiques-ciné
  • À propos
    • Nous contacter
    • Mentions légales
    • Vie du site
  • Saga, tome 2

    Saga2

    Titre : Saga, tome 2
    Série : Saga, tome 2
    Scénariste : Brian K. Vaughan
    Dessinateur : Fiona Staples
    Éditeur : Urban Comics (Urban Indies)
    Date de publication : 20 septembre 2013 (mai 2013 en VO chez Image Comics)

    Synopsis : Après avoir réchappé aux horreurs de la planète Clivage, à ses champs de bataille, et aux chasseurs de primes lancés à leur poursuite, Alana, Marko et leur fille Hazel, symbole d’une paix possible entre les deux peuples, s’apprêtent à relever leur plus grand défi : faire la connaissance des grands-parents !

    big_4.5

    N’oublie jamais. N’oublie jamais les innombrables héros qui ont tant sacrifié. Et plus important, n’oublie jamais ces maléfiques enculés avec leurs ailes.

    Avec ce deuxième tome, cette Saga de Brian K. Vaughan et de Fiona Staples poursuit sa route entre univers de science-fiction et moult créatures fantastiques.

    Faites-en profiter vos amis :

    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
    • Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
    • Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
    • Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr

    J’aime ça :

    J’aime chargement…
    lire la suite
  • Arsène Lupin, gentleman cambrioleur

    arsc3a8ne-lupin-gentleman-cambrioleur2

    Titre : Arsène Lupin, gentleman cambrioleur
    Cycle : Les aventures extraordinaires d’Arsène Lupin, tome 1
    Auteur : Maurice Leblanc
    Nouvelles : L’Arrestation d’Arsène Lupin ; Arsène Lupin en prison ; L’Évasion d’Arsène Lupin ; Le Mystérieux voyageur ; Le Collier de la reine : Le Coffre-fort de madame Imbert ; Herlock Sholmès arrive trop tard ; La Perle noire ; Le Sept de coeur
    Éditeur : Le Livre de Poche (coll. Policier)
    Date de publication : 1962 (déjà en 1907 chez Pierre Lafitte)

    Synopsis : Vif, audacieux, impertinent, rossant sans arrêt le commissaire (qui ici, en l’occurrence, s’appelle l’inspecteur Ganimard), traînant les cœurs après lui et mettant les rieurs de son côté, se moquant des situations acquises, ridiculisant les bourgeois, portant secours aux faibles, Arsène Lupin, gentleman cambrioleur est un Robin des Bois de la « Belle Époque ».
    Un Robin des Bois bien français : il ne se prend pas trop au sérieux, ses armes les plus meurtrières sont les traits d’esprit ; ce n’est pas un aristocrate qui vit comme un anarchiste mais un anarchiste qui vit comme un aristocrate. Arsène Lupin, après plus d’un demi-siècle, n’a pas vieilli. Il ne vieillira jamais en dépit de son chapeau haut de forme, de sa cape et de son monocle.

    big_4

    Lupin ne reste en prison que le temps qu’il lui plaît, et pas une minute de plus.

    Ces nouvelles d’Arsène Lupin, gentleman cambrioleur, ont largement contribué à populariser ce personnage facétieux qu’est ce voleur au grand cœur. Après le succès de la toute première nouvelle le mettant en scène, Maurice Leblanc publie ensuite ce recueil pour nous conter plusieurs de ses aventures.

    Faites-en profiter vos amis :

    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
    • Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
    • Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
    • Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr

    J’aime ça :

    J’aime chargement…
    lire la suite
  • Focus #2 : Glénat main dans la main avec le Centre des Monuments Nationaux

    glenat-glenat-manga

    En collaboration avec les éditions du Patrimoine, les éditions Glénat et sa section BD multiplient des productions mettant en valeur des monuments bien français.

    Faites-en profiter vos amis :

    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
    • Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
    • Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
    • Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr

    J’aime ça :

    J’aime chargement…
    lire la suite
  • Ayesha : La légende du peuple Turquoise

    33921_1598560[1]

    Titre : Ayesha : La légende du peuple Turquoise
    Auteur : Ange (Anne et Gérard Guéro)
    Éditeur : Bragelonne
    Date de publication : 2005

    Synopsis : Dans les royaumes orientaux de Tanjor, le Peuple turquoise est en esclavage depuis des millénaires. Mais il chérit une légende qui lui donnera un jour le courage de se révolter : la légende d’Ayesha, la déesse qui commandera aux étoiles et rendra la liberté à ses enfants condamnés. La jeune reine Marikani n’est pas insensible à leur sort, mais elle a d’autres soucis. De retour d’exil, elle espère rallier la cité d’Harabec et reprendre le trône dont on la écartée. Malgré tout son orgueil, elle aura bien besoin de l’aide d’Arekh, un galérien cynique et brutal dont elle a sauvé la vie. Ils n’ont rien en commun. Leur rencontre va pourtant changer le destin de toute une civilisation, bien au-delà de tout ce qu’ils pouvaient imaginer. Ceci est l’histoire d’une femme indomptable, de ceux qui l’ont aimée et de ceux qui l’ont trahie. Ceci est l’histoire d’une révolution.

    big_4

    Qu’importe l’origine du mythe. Ce qui est certain, c’est qu’à l’époque où Salmyre, la cité lointaine, étincelait de ses dernières lumières d’or, que l’émir et la reine d’Harabec se livraient à leurs querelles insignifiantes et séculaires, une révolte sourde et secrète grondait dans le cœur des esclaves du Peuple turquoise. Ils parlaient d’Ayesha. Ils attendaient Ayesha.

    Faites-en profiter vos amis :

    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
    • Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
    • Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
    • Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr

    J’aime ça :

    J’aime chargement…
    lire la suite
  • Murena, tome 6 : Le Sang des bêtes

    Murena 6 Sang des bêtes

    Titre : Le Sang des bêtes
    Série : Murena, tome 6
    Scénariste : Jean Dufaux
    Dessinateur : Philippe Delaby
    Éditeur : Dargaud
    Date de publication : 8 juin 2007

    Synopsis : Massam, l’esclave chargé des basses oeuvres de l’impératrice Poppée, a reçu l’ordre d’exterminer le gladiateur Balba, l’ami de Lucius Murena, et sa compagne Evix qui osa vaincre Néron à la course de chars. Déterminés à venger l’assassinat de Britannicus, ils sont considérés comme de dangereux ennemis de l’empereur. Les deux colosses finissent par s’affronter et Balba l’emporte sur Massam. Au palais impérial, tandis que Néron projette de construire une Rome nouvelle, Poppée se prélasse en compagnie de ses suivantes. L’une de ses plus intimes, Arsilia, est invitée à rejoindre secrètement le poète Pétrone dans un quartier populaire de la ville. Elle s’y retrouve en présence de Murena dont elle s’était éprise au temps où celui-ci était l’un des proches de l’empereur. Murena est persuadé qu’Arsilia est complice de l’enlèvement de la seule femme qu’il aime et qu’elle sait où elle a été emmenée. Toujours aussi éperdument épris et résolu à retrouver son aimée, Murena décide ainsi de partir en Gaule à sa recherche. Balba et Evix acceptent de le suivre à la condition qu’au retour, il les aide à éliminer Néron, le tyran et l’assassin de Britannicus. L’aboutissement de ce projet semble maintenant facilité par la disparition de Massam. Laissé pour mort, celui-ci se remet pourtant de ses blessures et Poppée veille personnellement à ce qu’il redevienne l’implacable tueur qu’il était…

    big_3

    Je ne suis pas un seigneur. Mais un gladiateur. Je n’édicte pas des lois, je brise des os. Compris ?

    Avec Le Sang des bêtes, la série Murena se focalise un peu plus sur son aspect le plus sanglant entre meurtres et combats à mort.

    Faites-en profiter vos amis :

    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
    • Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
    • Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
    • Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr

    J’aime ça :

    J’aime chargement…
    lire la suite
  • Sept secondes pour devenir un aigle

    7-secondes-pour-devenir-un-aigle-thomas-day[1]

    Titre : Sept secondes pour devenir un aigle
    Auteur : Thomas Day
    Nouvelles : Mariposa ; Sept secondes pour devenir un aigle ; Éthologie du tigre ; Shikata ga nai ; Tjukurpa ; Lumière noire
    Éditeur : Le Bélial
    Date de publication : 12 septembre 2013

    Synopsis : Une île du Pacifique à la fois tombeau de Magellan et unique territoire d’un arbre à papillons endémique… Un homme au visage arraché par un tigre mais qui continue de protéger « la plus belle créature sur Terre », coûte que coûte… Un Sioux oglala sur le chemin du terrorisme écologique… Un trio de jeunes Japonais qui gagne sa vie en pillant la zone d’exclusion totale de Fukushima…Des Aborigènes désœuvrés cherchant dans la réalité virtuelle un songe aussi puissant que le Temps du Rêve de leur mythologie… Une Terre future, post-Singularité, inlassablement survolée par les drones de Dieu… Science-fiction, fantastique et uchronie… Thomas Day explore ici le rapport de l’homme à la nature à travers six plongées dans les marges du monde, de l’’Asie à l’’Amérique en passant par l’’Australie.

    big_4

    Deux scientifiques japonais font une étude statistique des grandes catastrophes de la période 1861-2007. Ils mettent en corrélation le nombre de victimes de ces catastrophes naturelles avec le nombre de naissances recensées durant cette même période. Ça donne un graphique à deux courbes tout simple. La ligne future théorique, où le nombre de victimes deviendra équivalent au nombre de naissances, c’est la Barrière Gaïa. L’équilibre par la catastrophe. Leur étude invite en moi une image anti-scientifique, presque métaphysique : la Terre a choisi de se débarrasser de la vermine qui l’empoisonne ; elle se secoue, ce qui donne des tremblements de terre ; elle se roule dans les ouragans comme un buffle dans la boue pour apaiser les démangeaisons de son écorce endommagée. Elle se venge de nous, car nous comme trop nombreux, trop sales, trop négligents. C’est une idée farfelue qui me plaît bien.

    Faites-en profiter vos amis :

    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
    • Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
    • Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
    • Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr

    J’aime ça :

    J’aime chargement…
    lire la suite
  • Chronique d’une razzia au Livre sur la Place

    logo_lsp

    A peine embarqué dans un cheval de fer qui quitte Metz à pleine allure, voilà que la pluie se met de la partie et prend visiblement un plaisir certain à sévir avec ardeur. Quel crève-cœur de voir le centre Pompidou, chef d’œuvre architectural unique niché dans un écrin méconnu, ah Metz !, battu par les vents, la pluie, la grisaille.

    L’arrivée dans la grande rivale, la « ville du Sud » n’est guère réjouissante. Le parapluie est de rigueur. Mais fort heureusement voilà des panneaux indicateurs forts sympathiques. Peu importe où l’on se retrouve, par où l’on s’égare… aucun doute n’est permis : le sentier est bien balisé et aucun passant ne peut prétexter ne pas savoir où aller.

    Faites-en profiter vos amis :

    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
    • Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
    • Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
    • Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr

    J’aime ça :

    J’aime chargement…
    lire la suite
  • Le livre et l’épée, tome 1 : La voie de la colère

    livre-la-voie-de-la-colere-1[1]

    Titre : La voie de la colère
    Cycle : Le Livre et l’Épée, tome 1
    Auteur : Antoine Rouaud
    Éditeur : Bragelonne
    Date de publication : 31 octobre 2013

    Synopsis : An 10 de la République, dans la cité portuaire de Masalia. Dun-Cadal n’’est plus que l’’ombre de lui-même. Trahi par ses amis, celui qui fut le plus grand général de l’’Empire passe désormais son temps à boire dans une taverne. Mais l’’Histoire n’’en a pas fini avec lui. Viola est une jeune historienne à la recherche de l’’épée de l’’Empereur, symbole de l’’ancien régime. Elle sait que Dun-Cadal est la dernière personne à avoir été en possession de la précieuse relique, qu’’il aurait cachée pendant les dernières heures de la révolution.

    big_2

    Il y a une légende qui raconte qu’un seul homme fit face aux Salines et embrasa notre armée. Ce n’était pas une légende, je l’ai combattu… et j’ai fui comme les autres. Il nous fit plus de dégâts que lors de l’assaut du Guet d’Aëd par dix milles de ses hommes. Parce que lui, nous l’avons craint. S’il y eut un seul héros dans les Salines, ne retenez qu’un nom… Dun-Cadal Daermon.

    Faites-en profiter vos amis :

    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
    • Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
    • Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
    • Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr

    J’aime ça :

    J’aime chargement…
    lire la suite
  • XIII, tome 20 : Le jour du Mayflower

    Mise en page 1

    Titre : Le jour du Mayflower
    Série : XIII, tome 20
    Scénariste : Yves Sente
    Dessinateur : Iouri Jigounov
    Éditeur : Dargaud
    Date de publication : 18 novembre 2011

    Synopsis : Après avoir découvert la vérité sur son identité, XIII va tenter de percer les mystères de sa mémoire. Ce 20e album marque le début d’un nouveau cycle, où le héros cherche à retrouver ses souvenirs. Pour ce faire, une charmante psychiatre du Maine, le Docteur Suzanne Levinson, lui recommande la stimulation cérébrale. Grâce à cette expérience XIII croise la piste providentielle d’un vieux copain de classe, Jim Drake. Mais les tueurs de la USafe Incorporated empêchent les retrouvailles. Avant de mourir, Drake a néanmoins eu le temps d’évoquer devant son ami le jour du Mayflower. Voilà XIII face à un nouveau complot…

    big_1.5

    Jason Mac Lane était un agent surdoué, recruté par l’amiral Carl Heideger et transformé physiquement en Steve Rowland, alors notre défunt n°XIII. Sa mission était de servir d’appât pour remonter la filière du complot des XX qui avaient éliminé le président William Sheridan pour le compte de la Fondation.

    Qu’il est particulier de voir une série aussi culte que XIII reprendre après un temps d’arrêt qui devait être définitif !

    Faites-en profiter vos amis :

    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
    • Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
    • Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
    • Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr

    J’aime ça :

    J’aime chargement…
    lire la suite
  • D'acier

    D’acier

    D'acier
    Titre : D’acier
    Auteur : Silvia Avallone
    Éditeur :  Liana Levi (coll. Piccolo)
    Date de publication : 2010
    Récompenses :  Prix Campiello Opera Prima, Prix des lecteurs de L’Express 2011

    Synopsis : Le lieu : Piombino, en Toscane. La via Stalingrado, des HLM construits en bordure de mer, tels que les ont voulus les municipalités communistes dans les années 60. Les personnages : des familles ouvrières à l’heure de Berlusconi. Au centre, deux foyers où évoluent Anna et Francesca, treize ans, bientôt quatorze. Anna est la fille d’une battante et d’un petit escroc couvert de dettes. Francesca vit dans une famille repliée sur elle-même avec un père violent. Une amitié absolue, à la limite de l’ambiguïté, les lie depuis toujours. Ensemble, elles jouent de leur éclatante beauté, provoquent et se provoquent, rêvent de départ : l’université peut-être, ou l’île d’Elbe à quelques kilomètres… Une amitiéqui leur permet de supporter l’étouffement familial et un contexte économique désespérant. Car à la Lucchini, l’immense aciérie qui emploie les trois quarts des habitants, les commandes diminuent, le chômage pointe. Comment grandir, devenir quelqu’un, dans cet univers où les femmes sont prématurément fanées, les maris avachis, et la plage couverte de canettes vides et d’algues pourrissantes ? On est bien loin du vieux rêve de justice sociale.

    big_4

    Pour les jeunes qui vivaient dans les barres, pour les fils de personne qui suaient leur sueur et les sang dans les aciéries, la plage c’était déjà le paradis. Le seul le vrai.

    L’Italie, la Toscane, Piombino, le soleil, la plage, ça donne envie, non ?

    Faites-en profiter vos amis :

    • Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
    • Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
    • Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
    • Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
    • Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr

    J’aime ça :

    J’aime chargement…
    lire la suite
 Articles plus anciens
Articles plus récents 

Connexion

  • Connexion
  • Flux des publications
  • Flux des commentaires
  • Site de WordPress-FR

Newsletter

Saisissez votre adresse e-mail pour vous abonner et recevoir une notification à chaque nouvel article.

Rejoignez les 1 684 autres abonnés

Suivez-nous

  • Facebook
  • X
  • Instagram
  • YouTube
  • Flux RSS
  • LinkedIn
  • Tumblr
  • Flickr
  • Pinterest
  • E-mail
  • Articles récents
  • Fictions / Essais
  • Bandes Dessinées
  • Reportages
  • Du livre à l’écran
  • À propos
Thème Ashe child par Denis PIEL (Le Bibliocosme).
%d