Divers "transcatégoriques"

#MeToo et Imaginaire

Particulièrement attentif à la libération de la parole des femmes victimes de violences sexuelles et sexistes mis en lumière par le hashtag « MeToo », Mediapart a publié mercredi dernier une enquête de trois pages mettant en cause Stéphane Marsan, patron de Bragelonne, maison d’édition bien connue des lecteurs d’imaginaire. La journaliste Ellen Salvi y rapporte les témoignages d’une vingtaine de femmes, certaines ayant préféré restées anonymes, d’autres non (comme Samantha Bailly). Toutes font état de comportements, gestes ou messages déplacés de l’éditeur, accompagnés parfois de menaces à peine voilées de « blacklisting » dans le monde de l’édition imaginaire. Le papier dans son intégralité est réservé aux abonnés mais le site offre à ses derniers la possibilité « d’offrir l’article » à qui le souhaite. Dionysos et moi étant abonnés, je vous invite si vous êtes intéressé(e)s à laisser votre adresse mail en commentaire ou en MP sur l’adresse mail du Bibliocosme.

Il va de soi que tout notre soutien va aux femmes qui ont été victimes de ces agissements déplorables et que nous saluons leur courage d’avoir pris la parole.

Passionnée d'histoire (surtout le XIXe siècle) et grande lectrice des littératures de l’imaginaire (fantasy essentiellement) mais aussi d'essais politiques et de recherches historiques. Ancrée très à gauche. Féministe.

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