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Les Seigneurs de Bagdad
Titre : Les Seigneurs de Bagdad
Scénariste : Brian K. Vaughan
Dessinateur : Niko Henrichon
Éditeur : Urban Comics (Vertigo Deluxe)
Date de publication : 2012 (mars) (2006 en VO chez DC Comics)Synopsis : Bagdad, 2003 : quatre lions emprisonnés dans le zoo, sont libérés suite à un raid aérien de l’armée américaine. Un jeune mâle dominant, deux femelles de deux âges différents et un petit lionceau vont découvrir, en errant dans la ville dévastée, que cette liberté soudaine s’avère plus dangereuse que leur ancienne prison dorée.
-Mais qu’est-ce qu’il racontait ?
-Je suis sûre que ce n’est rien, Ali. Le cerveau des tortues est tellement petit.
-On aurait du le manger. Maman dit que les petits cerveaux sont fait pour être mangés. Pas pour être écoutés. -
Chroniques de Jérusalem
Titre : Chroniques de Jérusalem
Scénariste et Dessinateur : Guy Delisle
Éditeur : Delcourt (Shampooing)
Date de publication : 16 novembre 2011Synopsis : Guy Delisle et sa famille s’installent pour une année à Jérusalem. Mais pas évident de se repérer dans cette ville aux multiples visages, animée par les passions et les conflits depuis près de 4 000 ans. Au détour d’une ruelle, à la sortie d’un lieu saint, à la terrasse d’un café, le dessinateur laisse éclater des questions fondamentales et nous fait découvrir un Jérusalem comme on ne l’a jamais vu.
Quand on voit le spectacle qu’offre la religion dans le coin, ça donne pas trop envie d’être croyant.
Ah, merci mon Dieu de m’avoir fait athée. -
Chroniques birmanes
Titre : Chroniques birmanes
Auteur : Guy Delisle
Éditeur : Delcourt (Shampooing)
Date de publication : 2007Synopsis : Guy Delisle a suivi sa compagne durant 14 mois en Birmanie alors quelle y collaborait avec Médecins sans Frontières. Il raconte son expérience du pays, comment il a fini par apprivoiser son environnement, et petit à petit, comment il a découvert la réalité politique, sanitaire et sociale de ce pays dominé par une junte militaire, soutenue elle-même par de puissants groupes industriels.
Certains produits ont réussi à envahir le monde entier. Impossible de se rendre quelque part sans pouvoir trouver du Nescafé ou de la Vache qui rit.
Voilà le vrai visage de la mondialisation : une grosse vache rouge qui rigole.Guy Delisle nous offre avec ces « Chroniques birmanes » une immersion intéressante et légère dans un pays écrasé par la dictature.
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Une envie de vérité
Titre : Une envie de vérité
Auteur : Cécile Attias
Éditeur : Flammarion (Documents & Témoignages)
Date de publication : 9 octobre 2013Synopsis : Pour la première fois, Cécilia Attias nous livre le récit de sa vie hors du commun. De son enfance heureuse à son premier mariage avec Jacques Martin, de sa rencontre avec Nicolas Sarkozy et leur vie dans les palais de la République à sa séparation d’avec l’ancien président pour épouser Richard Attias et courir le monde afin d’aider les autres, elle n’omet rien. Et parce que l’image d’une personne correspond rarement à sa réalité – surtout quand les médias s’en emparent -, le lecteur découvrira ici un être qu’il ne soupçonnait pas : une femme de cœur et de décisions, guidée par ses valeurs autant que par son goût de la liberté. Dans ce livre élégant et passionné, celle qui s’est révélée sur la scène internationale en obtenant de Kadhafi la libération des infirmières bulgares prouve que la plus noble des qualités est l’indépendance de ton, comme d’esprit.
NOTE
Je suis une personne simple qui a eu une vie compliquée. Un tel aveu pourra surprendre, il n’en est pas moins vrai. Mes aspirations m’ont toujours poussée vers une existence discrète, consacrée à ma famille et au souci des autres, alors que la vie prenait plaisir à me placer sous les projecteurs de l’actualité. Longtemps je m’en suis accommodée, mais je restais légèrement en retrait. D’où quelques maladresses et de nombreux malentendus. J’ai regretté les premières et souffert des seconds. Mais au final, est-il si surprenant qu’on se soit beaucoup trompe sur mon compte alors que, moi-même, je ne savais plus toujours qui j’étais ?
Cécilia Attias se rend-elle compte combien elle devient pénible à palabrer ainsi pendant trois cents pages ? Voici l’une des nombreuses questions qui vient aux lèvres du lecteur finissant cette Envie de vérité.