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Steve Jobs, celui qui rêvait le futur
Titre : Steve Jobs, celui qui rêvait le futur
Scénariste : Jason Quinn
Dessinateur : Amit Tayal
Éditeur : 21g (collection Destins d’histoire)
Date de publication : 2014 (juillet)Synopsis : Steve Jobs a changé la façon dont nous travaillons, dont nous jouons et le monde dans lequel nous vivons – et ce livre raconte la façon dont il a réalisé tout cela. Adopté à la naissance par une famille modeste, éjecté de la compagnie qu’il avait créée, visionnaire hors-pair, Steve a réussi à surmonter tous les obstacles et à révolutionner le monde de l’informatique avec Apple, du cinéma avec Pixar, de la musique avec iTunes, de la téléphonie avec l’iPhone… Sa vie est une vie de passion, d’innovation et de génie créatif à la poursuite de son rêve : un futur où les objets sont simples et beaux.
Voici les fous. Les marginaux. Les rebelles. Les fauteurs de trouble. Ceux qui font tâche. Ceux qui voient les choses différemment. Ceux qui n’aiment pas les règles. Et ceux qui ne respectent pas le statu quo. Vous pouvez les citer, ne pas être d’accord avec eux, les glorifier ou les calomnier. Mais la seule chose que vous ne pouvez pas faire, c’est les ignorer. Parce qu’ils changent les choses. Ils poussent la race humaine en avant. Et là où certains voient de la folie, nous voyons du génie. Parce que les gans qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde sont ceux qui le font. (Campagne Think Different d’Apple)
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Martin Luther King : J’ai fait un rêve
Titre : Martin Luther King : J’ai fait un rêve
Scénaristes : Michael Teitelbaum et Lewis Helfand
Dessinateur : Naresh Kumar
Éditeur : 21 g (collection Destins d’histoire)
Date de publication : 2014 (juillet)Synopsis : Cela paraît impossible à croire aujourd’hui, mais il y a moins de 50 ans, le Sud des États-Unis vivait encore dans un système ségrégationniste où les Noirs ne pouvaient pas bénéficier des même droits que les Blancs. Fils d’un pasteur baptiste et pasteur lui-même, MLK Jr. rêvait d’une nation où chacun serait jugé selon ses qualités et non selon la couleur de sa peau. Son discours devant le Mémorial Lincoln en Août 1963, resté célèbre par la formule « I have a dream – j’ai fait un rêve » en fait le principal artisan de la prise de conscience de tout un peuple. Disciple de Gandhi et de sa philosophie de la lutte non-violente, il prend la tête du combat pour les Droits Civiques et obtient du Président Lyndon B Johnson la reconnaissance des droits égaux pour les Noirs dans tous les États-Unis. Son assassinat à Menphis en avril 1968 déclencha des émeutes dans tout le pays. Depuis 1983, le troisième lundi de Janvier est férié aux USA en son honneur.
Après réflexion, je conclus qu’en attribuant ce prix [le prix Nobel de la Paix attribué à MLK en 1964] au mouvement dont je suis le représentant, les jurés ont voulu exprimer leur sentiment profond et reconnaître que la non-violence est la réponse à la question cruciale de notre temps en matière de politique et de morale : la nécessité pour l’homme de vaincre l’oppression et la violence sans recourir lui-même à la violence et à l’oppression. Pour y parvenir, l’humanité doit imaginer, afin de résoudre tous les conflits entre les hommes, une méthode qui exclut la vengeance, l’agression et les représailles. Le fondement de cette méthode, c’est l’amour.
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Les Seigneurs de Bagdad
Titre : Les Seigneurs de Bagdad
Scénariste : Brian K. Vaughan
Dessinateur : Niko Henrichon
Éditeur : Urban Comics (Vertigo Deluxe)
Date de publication : 2012 (mars) (2006 en VO chez DC Comics)Synopsis : Bagdad, 2003 : quatre lions emprisonnés dans le zoo, sont libérés suite à un raid aérien de l’armée américaine. Un jeune mâle dominant, deux femelles de deux âges différents et un petit lionceau vont découvrir, en errant dans la ville dévastée, que cette liberté soudaine s’avère plus dangereuse que leur ancienne prison dorée.
-Mais qu’est-ce qu’il racontait ?
-Je suis sûre que ce n’est rien, Ali. Le cerveau des tortues est tellement petit.
-On aurait du le manger. Maman dit que les petits cerveaux sont fait pour être mangés. Pas pour être écoutés. -
Le sourire de Rose
Titre : Le sourire de Rose
Auteur : Sacha Goerg
Éditeur : Co édition : Arte éditions et Casterman (Label Professeur Cyclope)
Date de publication : 28 mai 2014Synopsis : Desmond, un gentil raté qui dispute à son ex-femme la garde de leur fils Théo, rencontre la jolie Rose. La jeune femme dissimule un secret : cleptomane, elle a dérobé à François, un vieux beau fortuné, un objet auquel il tient particulièrement. Tandis que Desmond sabandonne peu à peu à lattirance quil ressent pour Rose, les problèmes de celle-ci vont prendre une tournure pressante : flanqué de son garde du corps, François les prend en chasse, déterminé à récupérer son précieux objet à nimporte quel prix.
Cette jeune femme est un parasite qui tente de donner du sens à sa vie en volant des fragments d’histoire aux autres. Vous devriez garder vos distances
Ca va pas fort pour Desmond. Au chômage, sa femme l’a quittée et essaie de le priver de voir son fils Théo. Mais un jour, sa route croise l’énigmatique Rose. Deux hommes tentent alors de la kidnapper. Desmond intervient. Il aurait pas du !
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Chroniques de Jérusalem
Titre : Chroniques de Jérusalem
Scénariste et Dessinateur : Guy Delisle
Éditeur : Delcourt (Shampooing)
Date de publication : 16 novembre 2011Synopsis : Guy Delisle et sa famille s’installent pour une année à Jérusalem. Mais pas évident de se repérer dans cette ville aux multiples visages, animée par les passions et les conflits depuis près de 4 000 ans. Au détour d’une ruelle, à la sortie d’un lieu saint, à la terrasse d’un café, le dessinateur laisse éclater des questions fondamentales et nous fait découvrir un Jérusalem comme on ne l’a jamais vu.
Quand on voit le spectacle qu’offre la religion dans le coin, ça donne pas trop envie d’être croyant.
Ah, merci mon Dieu de m’avoir fait athée. -
Nelson Mandela : Une vie au service de la liberté
Titre : Nelson Mandela : Une vie au service de la liberté
Collection : Destins d’histoire
Scénariste : Lewis Helfand
Dessinateur : Sankath Banerjee
Éditeur : 21g
Date de publication : 2014 (janvier)Synopsis : Né dans un petit village d’Afrique du Sud, Nelson Mandela grandit avec un rêve apparemment ordinaire : être libre de choisir son propre destin. Noir dans un pays contrôlé par les blancs et leurs lois racistes, ce simple rêve lui était refusé. Pendant des années, la minorité blanche d’Afrique du Sud imposa à la majorité noire un ensemble de lois et de règles injustes connues sous le nom d’Apartheid. Des millions d’hommes et de femmes se virent interdire certaines professions, certains services publics et des quartiers entiers uniquement en raison de la couleur de leur peau. Un homme se leva parmi les opprimés pour exiger le justice la liberté pour tous, son nom : Nelson Mandela !
Du fond de la nuit qui me couvre,
Noire comme le gouffre du Nord au Sud,
Je remercie les Dieux quels qu’ils soient
Pour mon âme indomptable.Dans l’étreinte étouffante des circonstances,
Je n’ai ni crié ni gémi.
Sous les coups du hasard,
Mon front est sang mais toujours dressé.Au-delà de ce monde de colère et de larme,
Ne se profile que l’horreur de la nuit,
Et pourtant la menace des années
Me trouve, et me trouvera, libre de toute peur.Peu m’importe l’étroitesse du passage
Et le poids de l’acte d’accusation.
Je suis le maître de mon destin :
Je suis le capitaine de mon âme.
William Ernest Henley -
Chroniques birmanes
Titre : Chroniques birmanes
Auteur : Guy Delisle
Éditeur : Delcourt (Shampooing)
Date de publication : 2007Synopsis : Guy Delisle a suivi sa compagne durant 14 mois en Birmanie alors quelle y collaborait avec Médecins sans Frontières. Il raconte son expérience du pays, comment il a fini par apprivoiser son environnement, et petit à petit, comment il a découvert la réalité politique, sanitaire et sociale de ce pays dominé par une junte militaire, soutenue elle-même par de puissants groupes industriels.
Certains produits ont réussi à envahir le monde entier. Impossible de se rendre quelque part sans pouvoir trouver du Nescafé ou de la Vache qui rit.
Voilà le vrai visage de la mondialisation : une grosse vache rouge qui rigole.Guy Delisle nous offre avec ces « Chroniques birmanes » une immersion intéressante et légère dans un pays écrasé par la dictature.
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Sin City, tome 4 : Cet enfant de salaud
Titre : Cet enfant de salaud (That Yellow Bastard)
Série : Sin City, tome 4
Scénariste et Dessinateur : Frank Miller
Éditeur : Rackham
Date de publication : 18 mars 2014 (1996 en VO chez Dark Horse Comics)Synopsis : Hartigan, vieux flic brisé par le sénateur Roark, est libéré après huit ans de prison et se bat jusqu’à la mort pour sauver Nancy Callahan des griffes d’un violeur et tueur en série, qui n’est rien d’autre que le fils du tout puissant Roark.
Corruption, dépravation mais aussi exaltation du sacrifice, sont au centre de Cet enfant de salaud, où Miller revient aux registres narratifs de The Hard Goodbye tout en déployant un effort particulier dans la construction de la psychologie du personnage. Pour la première fois, l’auteur utilise la couleur dans une série jusqu’là rigoureusement en noir en blanc.Le pouvoir, ça ne vient pas d’un badge ou d’un flingue. Le pouvoir, ça vient du mensonge, du gros mensonge et de faire en sorte que le monde entier collabore avec toi une fois que tout le monde s’est mis d’accord sur des choses qu’au fond d’eux-mêmes ils savent fausses, alors c’est dans la poche. T’es le patron. Tu peux déformer la réalité autant que tu veux et ils t’y encourageront.
John Hartigan est le troisième personnage principal de l’univers de Sin City. Dans Cet enfant de salaud, lui, le flic pré-retraité qui lutte contre la corruption et les abus sexuels, affronte en deux temps le fils du puissant Roark.
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Sin City, tome 3 : Le grand carnage
Titre : Le grand carnage (The Big Fat Kill)
Série : Sin City, tome 3
Scénariste et Dessinateur : Frank Miller
Éditeur : Rackham
Date de publication : 18 mars 2014 (1995 en VO chez Dark Horse Comics)Synopsis : La vieille ville de Sin City est une forteresse bien gardée dont les belles de nuit ont fait leur quartier général. A la différence de bien des quartiers chauds connus à travers le monde, ici il n’y a pas besoin de souteneurs. Les filles sont armées jusqu’aux dents et ce sont elles qui font régner « la loi ». Alors, quand un flic ripou armé de mauvaises intentions pénètre dans la vieille ville pour malmener l’une d’elles, il ne sait pas qu’il va y perdre la tête et déclencher un grand carnage ! L’épisode permet de retrouver Dwight (J’ai tué pour elle) et surtout la « prostituée-acrobate-Ninja », Miho.
On doit défendre ses amis. Parfois, ça signifie mourir. Parfois, ça signifie tuer un paquet de gens.
Dwight, le héros de J’ai tué pour Elle, est de retour et il a du pain sur la planche. Sa nouvelle copine s’est faite sauvagement aborder par Jack, son ex particulièrement violent, et ses potes. Basin City recèle une nouvelle histoire louche, glauque et sale où la violence est quotidienne et où défourailler est un sport national.
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Le Chien qui louche
Titre : Le Chien qui louche
Scénariste et Dessinateur : Étienne Davodeau
Éditeur : Futuropolis (Musée du Louvre)
Date de publication : 24 octobre 2013Synopsis : Fabien est agent de surveillance au Louvre. Il aime son métier. Depuis quelques semaines, il aime aussi Mathilde. Celle-ci décide d’aller présenter son ami à sa famille, le clan Benion, comme elle l’appelle. Puisqu’ils ont désormais sous la main un «expert», les Benion tiennent absolument à soumettre à Fabien un tableau qui moisit dans le grenier depuis des décennies, et qui a été peint par l’aïeul Gustave. Une pauvre toile représentant un chien qui louche. La question des Benion est claire : Le Chien qui louche a-t-il droit au Louvre ? Dans un premier temps, n’osant pas décevoir sa (presque) belle-famille, Fabien ne fournit pas de réponse catégorique… Il aurait dû.
Je me suis souvent demandé quel réflexe mystérieux poussait ces gens à refaire une énième photo d’une statue déjà représentée des millions de fois dans des milliers de livres dans le monde entier.
En voilà un titre peu commun ! Le chien qui louche est le tableau tout aussi peu conventionnel qui va servir à la fois de cadre, de support et d’excuse à la nouvelle aventure servie par Étienne Davodeau. Merci à PriceMinister et à la librairie Pages après Pages de m’en avoir fait profiter.