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Walking Dead, tome 18 : Lucille…
Titre : Lucille…
Série : Walking Dead, tome 18
Scénariste : Robert Kirkman
Dessinateur : Charlie Adlard
Éditeur : Delcourt
Date de publication : 4 septembre 2013 (avril 2013 en VO chez Image Comics)Synopsis : La mort de (SPOILER !!) a été un grand traumatisme pour tous. À sa suite, Rick, qui n’est plus le chef de la communauté, semble accepter sa soumission à Negan, un choix également assumé par Michonne. Rick ne bronche pas quand le tueur revient l’humilier une nouvelle fois. Mais qu’en est-il de Carl ? Celui-ci a échappé à la surveillance de son père, et se trouve caché sous un matelas, armé d’un fusil…
Les règles nous gardent en vie. […] On survit, on apporte la sécurité aux autres. On ramène la civilisation en ce bas monde. On est les Sauveurs.
Walking Dead honore son rendez-vous de la rentrée avec ce dix-huitième tome, ténébreusement titré « Lucille… ».
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Je suis une légende
Titre : Je suis une légende
Réalisateur : Francis Lawrence
Acteur : Will Smith
Date de sortie : 2007Synopsis : Robert Neville était un savant de haut niveau et de réputation mondiale, mais il en aurait fallu plus pour stopper les ravages de cet incurable et terrifiant virus d’origine humaine. Mystérieusement immunisé contre le mal, Neville est aujourd’hui le dernier homme à hanter les ruines de New York. Peut-être le dernier homme sur Terre… Depuis trois ans, il diffuse chaque jour des messages radio dans le fol espoir de trouver d’autres survivants. Nul n’a encore répondu. Mais Neville n’est pas seul. Des mutants, victimes de cette peste moderne – on les appelle les « Infectés » – rôdent dans les ténèbres, observent ses moindres gestes, guettent sa première erreur. Devenu l’ultime espoir de l’humanité, Neville se consacre tout entier à sa mission : venir à bout du virus, en annuler les terribles effets en se servant de son propre sang.
Nothing happened the way it was supposed to happened.
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Je suis une légende
Titre : Je suis une légende
Auteur : Richard Matheson
Éditeur : Folio SF
Date de publication : 2001 (1954 pour la version originale)
Récompenses : Prix spécial Bram Stoker 2012Synopsis : Chaque jour, il doit organiser son existence solitaire dans une cité à l’abandon, vidée de ses habitants par une étrange épidémie. Un virus incurable qui contraint les hommes à se nourrir de sang et les oblige à fuir les rayons du soleil… Chaque nuit, les vampires le traquent jusqu’aux portes de sa demeure, frêle refuge contre une horde aux visages familiers de ses anciens voisins ou de sa propre femme. Chaque nuit est un cauchemar pour le dernier homme, l’ultime survivant d’une espèce désormais légendaire.
Le silence n’était jamais aussi mortel à l’air libre qu’entre quatre murs, en particulier ceux de cet énorme bâtiment de pierre grise abritant la littérature d’une civilisation éteinte. Mais peut-être était-ce juste le fait d’être enfermé ; une impression purement psychologique. Pas de quoi se réjouir, cependant : il n’existait plus de psychiatre auquel il pût confier ses névroses et ses hallucinations auditives. Le dernier homme sur Terre se trouvait irrémédiablement voué à supporter seul ses fantasmes.
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World War Z
Titre : World War Z
Auteur : Max Brooks
Éditeur : Le Livre de Poche
Date de publication : 2010 (2006 pour la version originale)Synopsis : La guerre des zombies a eu lieu, et elle a failli éradiquer l’ensemble de l’humanité. L’auteur, en mission pour l’ONU — ou ce qu’il en reste — et poussé par l’urgence de préserver les témoignages directs des survivants de ces années apocalyptiques, a voyagé dans le monde entier pour les rencontrer, des cités en ruine qui jadis abritaient des millions d’âmes jusqu’aux coins les plus inhospitaliers de la planète. Jamais auparavant nous n’avions eu accès à un document de première main aussi saisissant sur la réalité de l’existence — de la survivance — humaine au cours de ces années maudites. Prendre connaissance de ces comptes rendus parfois à la limite du supportable demandera un certain courage au lecteur. Mais l’effort en vaut la peine, car rien ne dit que la Ze Guerre mondiale sera la dernière.
La guerre reste un sujet extrêmement sensible en Amérique, le peuple commence à gronder au moindre sentiment de défaite imminente. Je dis « sentiment », parce que la société américaine s’est construite sur le principe du quitte ou double. On y aime les triomphes, les gros coups, les KO au premier round. On aime que la victoire soit non seulement incontestable, mais dévastatrice.
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La Tour Sombre, tome 1 : Le Pistolero
Titre : Le Pistolero
Cycle : La Tour Sombre, tome 1
Auteur : Stephen King
Éditeur : J’ai Lu
Date de publication : 2004 (version originale de 1982, révisée en 2003 par l’auteur)Synopsis : « L’homme en noir fuyait à travers le désert, et le Pistolero le suivait… » Ce Pistolero, c’est Roland de Gilead, dernier justicier et aventurier d’un monde qui a changé et dont il cherche à inverser la destruction programmée. Pour ce faire, il doit arracher au sorcier vêtu de noir les secrets qui le mèneront vers la Tour Sombre, à la croisée de tous les temps et de tous les lieux. Roland surmontera-t-il les pièges diaboliques de cette créature? A-t-il conscience que son destin est inscrit dans trois cartes d’un jeu de tarot bien particulier ? Le Pistolero devra faire le pari de le découvrir, et d’affronter la folie et la mort. Car il sait depuis le commencement que les voies de la Tour Sombre sont impénétrables…
Il est des quêtes et des routes qui mènent toujours plus avant, et toutes s’achèvent au même endroit… dans le charnier.
Un mythe, un vrai, cette Tour Sombre. Pompeusement titrée « Jupiter de mon imaginaire » par son auteur, il faut bien s’y attaquer un jour !
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Total Chaos
Titre : Total Chaos
Auteurs : Jean-Bernard Pouy (« Scato intégriste »), Julien Heylbroeck (« Le goût amer des empanadas »), Vincent Herbillon (« Les oubliés »), Jilali Hamham (« 93 Panthers »), Éric Lainé (« Émeute »), Jérôme Verschueren (« Extrasystole »), Jean-Hugues Villacampa (« Samedi noir »), Robert Darvel (« On se revoit à la Saint-Truphème »), Dominique Delahaye (« Tir aux pigeons »)
Illustrateurs : Arro, Gérard Berthelot, Gregor
Éditeur : ImaJn’ère
Date de publication : 2013Synopsis : Notre société n’a jamais attendu les prévisions apocalyptiques des fin-du-mondistes de tout poil pour concocter les pires atteintes aux droits fondamentaux de l’Homme et de l’imagination diabolique des hommes de pouvoir surprend chaque jour un peu plus le commun des mortels. La notion d’apocalypse ou de fin du monde se décline sous les formes les plus diverses selon sa propre perception du cataclysme ultime.
Né avec une cuillère en argent dans la bouche. Mort avec un couteau en inox dans les couilles.
L’association ImaJn’ère, qui met en valeur les littératures populaires (thriller, polar et roman noir) et de l’imaginaire (science-fiction, fantastique et fantasy), consacrait cette année une de ses anthologies au Total Chaos, au thème de l’ « apocalypse sociétale », à travers neuf nouvelles misant tantôt sur le roman noir, tantôt sur le thriller. Ce thème apocalyptique fut choisi, semble-t-il, en réponse à cette fameuse fin du monde du 21 décembre 2012.
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The Walking Dead, tome 2 : La route de Woodbury
Titre : La route de Woodbury
Cycle : The Walking Dead, tome 2
Auteurs : Robert Kirkman et Jay Bonansinga
Éditeur : Le Livre de Poche
Date de publication : 2012Synopsis : Quand l’invasion zombie a dressé les vivants contre les morts, Lilly Caul a fui la banlieue d’Atlanta. D’abris de fortune en campements improvisés, elle essaie à présent de survivre. Mais les zombies sont de plus en plus nombreux, et leur appétit pour la chair est sans limites. Terrorisée, Lilly trouve refuge dans une ville fortifiée connue sous le nom de Woodbury. De prime abord, c’est un parfait havre de paix : les habitants troquent de la nourriture contre des services, les barricades sont solides et le mystérieux leader qu’on appelle Philip Blake veille sur les citoyens. Pourtant, Lilly commence à douter : Blake veut qu’on l’appelle le Gouverneur, et ses idées sur la loi et la justice sont déviantes. Avec une bande de rebelles, elle ouvre la boîte de Pandore et défie le Gouverneur. La route de Woodbury se transforme alors en autoroute pour l’enfer.
Lilly regarde au loin la foule qui se déverse dans l’arène. L’espace d’un instant, elle se remémore avec angoisse des scènes de vieux films d’horreur, de foules de villageois armés de torches et de fourches se ruant sur le château de Frankenstein pour faire couler le sang du monstre. Elle se rend compte qu’ils sont tous devenus des monstres à présent. Tous. Elle compris. Que Woodbury est devenue une monstruosité.
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The Walking Dead, tome 1 : L’ascension du Gouverneur
Titre : L’ascension du Gouverneur
Cycle : The Walking dead, tome 1
Auteurs : Robert Kirkman et Jay Bonansinga
Éditeur : Le Livre de Poche
Date de publication : 2012Synopsis : Dans le monde de The Walking Dead, envahi par les morts-vivants où quelques-uns tentent de survivre, il n’y a pas plus redoutable que le Gouverneur. Ce tyran sanguinaire qui dirige la ville retranchée de Woodbury a son propre sens de la justice, qu’il organise des combats de prisonniers contre des zombies dans une arène pour divertir les habitants, ou qu’il tronçonne les extrémités de ceux qui le contrarient. Mais pourquoi est-il si méchant ? Dans L’Ascension du Gouverneur, le lecteur découvre pour la première fois comment Philip Blake est devenu… le Gouverneur.
Peut-être était-ce pour cela que tous ces trucs arrivaient. Une petite blague du bon Dieu. Quand les sauterelles déferlent et que les rivières charrient du sang, c’est le type qui a le plus à perdre qui prend la tête de la meute.
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Gueule de Truie
Titre : Gueule de truie
Auteur : Justine Niogret
Éditeur : Critic
Date de publication : 2013Synopsis : Gueule de Truie est un inquisiteur, envoyé en mission par les Pères de l’Église après l’apocalypse. Ces gens sont persuadés que la fin des temps a été envoyée par Dieu lui-même, et que la Terre est morte. Leur but? Détruire le peu qui reste afin de, une bonne fois pour toutes, tourner la page de l’humanité. A leur service, Gueule de Truie, caché derrière le masque qui lui donne son nom, trouve les poches de résistance et les détruit les unes après les autres. Un jour, pourtant, il croise la route d’une fille qui porte une boîte étrange, pleine de… pleine de quoi, d’abord? Et pourquoi parle-t-elle si peu? Où va-t-elle, et pourquoi prend-elle le risque de parcourir ce monde mort?
La fille est assise par terre, les deux mains au sol, le bas du visage brouillé de sang. Gueule de Truie lui tend la main et comprend, et ce qu’il cherchait lui, et ce que doit entendre la fille.
-Je ne voulais pas être le seul à avoir mal.
La fille lève les yeux sur lui. Elle le regarde d’en dessous, entre ses cheveux. Il lui tend toujours la main. Un peu de sang coule encore de son nez à elle, qui tombe sur son menton. La fille bouge les lèvres, les ouvre. Les referme. Elle semble hésiter.
-Je ne voulais pas être seul, fait encore Gueule de Truie.
Elle secoue la tête. Plus pour reprendre ses esprits que pour dire non, il le sent. Il se force à ne rien ressentir quand la paume de la fille se pose dans la sienne. Il se force et n’y parvient pas.