• La Fleur de Dieu

    La Fleur de Dieu

    La Fleur de Dieu

    Titre : La Fleur de Dieu
    Cycle/Série : La Fleur de Dieu, tome 1
    Auteur : Jean-Michel Ré
    Éditeur : Albin Michel (Imaginaire) [site officiel]
    Date de publication : 29 mai 2019

    Synopsis : An 10996.
    Dans les déserts suspendus de la planète sacrée Sor’Ivanyia, un des dix-huit mille mondes de l’Empire, pousse la Fleur de Dieu. Ce remède à de nombreux maux est aussi un vecteur privilégié pour accéder au divin. Grâce à la Fleur de Dieu, l’Homme sait désormais ce qui advient de la mémoire après la mort.
    Alors qu’un impitoyable seigneur de la guerre fomente un coup d’état, la formule chimique de la Fleur de Dieu est dérobée par une organisation anarchiste paradoxalement très organisée. Au même moment, l’apparition sur Sor’Ivanyia d’un enfant aux pouvoirs extraordinaires bouleverse toutes les certitudes scientifiques et religieuses de l’Empire.
    Qui est cet enfant ? Est-il seulement humain ? Est-il ce Messie que certaines religions ont cessé d’attendre ?

    Quoi de plus précieux qu’un trésorier borné quand on veut gérer au mieux d’immenses fortunes et qu’un prédicateur aveuglé par sa propre parole lorsqu’on veut subjuguer des prosélytes ?

    Albin Michel Imaginaire nous propose un nouvel auteur, Jean-Michel Ré, dont La Fleur de Dieu est le premier roman !

  • Ali Pacha

    Ali Pacha

    Ali Pacha

    Titre : Ali Pacha
    Auteur : Alexandre Dumas
    Éditeur : Libretto [site officiel]
    Date de publication : 17 septembre 2009 (1862 pour la première édition)

    Synopsis : « ‘‘Mon père, dit Haydée en relevant la tête, était un homme illustre que l’Europe a connu sous le nom d’Ali-Tebelin, pacha de Janina, et devant lequel la Turquie a tremblé.’’ Ali Pacha, personnage historique utilisé comme ressort dramatique secondaire dans Le Comte de Monte-Cristo, réapparaît presque vingt ans plus tard sous la plume de Dumas, dans une chronique historique qui lui est tout entière consacrée et qui, jusqu’à aujourd’hui inédite en français, est imprimée en italien dans L’Indipendente, journal napolitain de Dumas, entre octobre et décembre 1862.
    Sa genèse est marquée du coin de l’extravagance : séduit par des lettres que lui adresse « S.A. le prince Georges Castriote Skanderberg, président de la junte gréco-albanaise » (et que nous publions en annexe), Alexandre Dumas, à peine remis de son épopée au côté de Garibaldi, s’enflamme pour la cause de l’indépendance de la Grèce et de l’Albanie, multipliant par ailleurs dans son journal les articles relatifs à la question grecque, jusqu’à ce qu’une cruelle désillusion ne dissipe le mirage politique.
    Ce portrait du terrible pacha de Janina, tyran d’origine albanaise entré en révolte ouverte contre l’Empire ottoman, constitue donc un écrit de circonstance, voire de propagande, un biais pour populariser la cause que l’auteur a embrassée : Ali Pacha, « homme qui avait à la fois en lui du Tibère, du Caligula et du Néron », symbole de la résistance face à l’oppression turque qui jadis avait tant impressionné Byron, est en même temps une figure éminemment romantique de la force qui va. »

    Bibliocosme Note 3.0

    Ces Klephtes n’étaient soumis à aucune discipline. Dans la bataille, ils ne marchaient point en ligne, mais combattaient dispersés et, chacun à sa guise, se garantissaient autant que possible du feu de l’ennemi à l’aide du premier objet venu : arbre, rocher, pan de mur, accident de terrain. Ils faisaient feu debout ou à genoux, puis se couchaient sur le flanc ou sur le dos pour recharger leurs fusils ; étaient-ils enveloppés de toutes parts et de manière à n’échapper à la mort qu’en s’ouvrant un chemin de vive force à travers l’ennemi, ils jetaient leur fusil sur l’épaule, tiraient leur sabre et faisaient le ghioroussi, c’est-à-dire la « trouée du désespoir ».

    Qui osera se lever et avouer qu’il ne se souvient pas de l’intervention décisive d’Haydée de Janina dans le mythique Comte de Monte-Cristo d’Alexandre Dumas ? Encore faut-il l’avoir lu (ou vu), me direz-vous…

  • Interview d'Enrico Marini à Quai des Bulles 2016

    Interview littéraire Logo

    Au festival Quai des Bulles de Saint-Malo 2016, nous avons eu l’honneur et l’avantage de pouvoir converser un certain temps avec Enrico Marini, venu notamment pour la sortie du cinquième de sa série d’Antiquité romaine, Les Aigles de Rome.

  • Ultime bande-annonce de Star Wars VII : Le Réveil de la Force (The Force awakens)

    Star Wars VII Affiche The Force awakens Le Réveil de la Force

    C’est décidé : le 16 décembre 2015, nous repartirons dans une galaxie lointaine, très lointaine, pour une troisième trilogie ! Star Wars, épisode VII : Le Réveil de la Force (The Force awakens), réalisé par J. J. Abrams, s’annonce déjà comme un carton assuré et se pare d’une ultime bande-annonce et d’une ultime affiche, toutes deux très alléchantes.

    Synopsis : Plus de 30 ans après la bataille d’Endor, la galaxie n’en a pas fini avec la tyrannie et l’oppression. Les membres de l’Alliance rebelle, devenus la « Résistance », combattent les vestiges de l’Empire réunis sous la bannière du « Premier Ordre ». Un mystérieux guerrier, Kylo Ren, semble vouer un culte à Dark Vador et pourchasse les ennemis du Premier Ordre à travers la galaxie. Au même moment, une jeune femme nommée Rey, pilleuse d’épaves sur la planète désertique Jakku, va faire la rencontre de Finn, un Stormtrooper en fuite, une rencontre qui bouleversera sa vie.

  • Marco Polo, tome 2 : A la cour du Grand Khan

    Marco polo tome 2

    Titre : A la cour du Grand Khan
    Série : Marco Polo, tome 2
    Scénaristes : Christian Clot, Didier Convard et Eric Adam
    Dessinateur : Fabio Bono
    Éditeur : Glénat (collection Explora)
    Date de publication : 2014 (octobre)

    Synopsis : Après un long voyage sur la route de la soie, Marco Polo le marchand vénitien est parvenu à Chang-Tou, la capitale que le grand Khan Kubilaï a fait ériger au cœur des steppes. Agréablement surpris par ses connaissances, l’empereur mongol ne tarde pas à se lier avec le jeune explorateur qui sait parler sa langue et à lui confier d’importantes missions. Il ira jusqu’à faire de lui son ambassadeur. On sait qu’à son retour, le récit de Marco Polo et ses découvertes ont bouleversé l’image du monde et de la cartographie pour les siècles à venir… Mais que sait-on vraiment de son voyage ?

    Note 3.5

     -Notre galère fait eau de toutes parts et le pont sera bientôt un véritable enfer. Il faut quitter le navire, seigneur Polo !
    -Tu peux fuir avec les marins, c’est ton droit. Moi je reste sur mon navire! J’ai déjà vécu mille fois ce que vit le commun des mortels, mourir aujourd’hui ou demain, que m’importe ?

  • La Route de la conquête

    La Route de la Conquête

    Titre : La Route de la conquête
    Novella/Nouvelles : La Route de la conquête ; Au-delà des murs ; La Fin de l’histoire ; Bataille pour un souvenir ; Le Guerrier au bord de la glace ; Quelques grammes d’oubli sur la neige
    Cycle : Univers d’Évanégyre
    Auteur : Lionel Davoust
    Éditeur : Critic (Fantasy)
    Date de publication : 21 août 2014
    Récompenses : Prix Exégète 2015

    Synopsis : En son cœur, en son âme, l’espèce humaine est déséquilibrée. Nous apportons l’équilibre, la durée, la stabilité. C’est juste, et indispensable. C’est notre mission. Mais… que se passe-t-il quand on rencontre un peuple déjà équilibré ?
    On la surnomme la Faucheuse. Débarquée trente ans plus tôt dans le sud, la généralissime Stannir Korvosa assimile méthodiquement nations et tribus au sein de l’Empire d’Asreth, par la force si nécessaire. Rien ne semble résister à l’avancée de cette stratège froide et détachée, épaulée par des machines de guerre magiques.
    Parvenue à l’ultime étape de sa route, elle est confrontée à un nouveau continent – un océan de verdure où vivent des nomades qui ne comprennent pas les notions de frontières ou de souveraineté. Elle doit pourtant affirmer l’autorité impériale car, dans le sous-sol de la steppe, se trouvent des ressources indispensables pour Asreth. Mais après une vie de conquête, Korvosa pourrait bien rencontrer la plus grande magie qui soit… et affronter un adversaire inédit : le pacifisme.

    Note 3.5

    L’humilité n’est jamais une marque de faiblesse pour qui détient l’avantage Je l’ai amplement vérifié : l’humble s’attire des amis… et pousse ses ennemis à le sous-estimer. Soyez humble, lieutenant… et le jour où vous écraserez vos opposants, on vous surnommera la Faucheuse.

    Évanégyre ? Stannir Korvosa ? Pas même l’expression de la « Volonté du Dragon » ne vous dit quoi que ce soit ? C’est donc qu’il est grand temps pour vous de vous plonger dans le monde fantasy créé par Lionel Davoust et dont tous les textes composant le recueil La Route de la Conquête font pleinement partie.

  • La Volonté du Dragon

    La volonté du dragon

    Titre : La Volonté du Dragon
    Auteur : Lionel Davoust
    Éditeur : Critic (Fantasy)
    Date de publication : 30 mars 2010

    Synopsis : Une reine dont les yeux émeraude lisent l’avenir… Un enfant-roi, passablement fou, gardien d’un savoir oublié… Du déroulement de leur partie d’échecs pourrait bien se décider l’issue de la guerre…
    Entre les derniers royaumes libres et les forces d’invasion de l’Empire d’Asreth se dresse l’imprenable Qhmarr, petit pays à peine sorti de l’ère médiévale. Gouverné par un roi trop jeune et un conseiller trop confiant, il ne devrait représenter dans le plan de conquête de l’Empire qu’une note de bas de page. Et alors que le généralissime D’eolus Vasteth s’emploie à négocier les modalités d’une reddition diplomatique, déjà, aux portes de la capitale, se presse l’implacable armada… La conclusion du conflit ne fait aucun doute. D’une manière ou d’une autre, Qhmarr passera sous pavillon asrien.
    Pourtant, malgré la défaite annoncée, Vasteth découvre des dirigeants qhmarri inflexibles, prêts à confier le destin de leur nation à d’absurdes croyances ancestrales. À travers le défi lancé par l’enfant-roi, ce sont toutes les certitudes du généralissime qui vont se voir ébranlées, tandis que, sur la mer, les soldats meurent, simples pions sur un échiquier qui les dépasse…

    Note 3.5

    Vous détenez leur sort entier, leurs vies entre vos mains, bien plus intimement que n’importe quel général ; vous n’êtes plus un élément de combat, vous êtes le combat.

    N’avez-vous jamais rêvé de jouer une partie d’échecs à l’ancienne (plateau, pièces et stratégies), mais avec de véritables pièces d’artillerie sophistiquées et des conséquences réellement mortelles en guise de motivation ? C’est à cet exercice que se plie Lionel Davoust dans La Volonté du Dragon, court roman paru chez les éditions Critic.

  • Des milliards de tapis de cheveux

    Des milliards de tapis de cheveux L'Atalante

    Titre : Des milliards de tapis de cheveux (Die Haarteppichknüpfer)
    Auteur : Andreas Eschbach
    Éditeur : L’Atalante (La Dentelle du Cygne) / J’ai Lu (Science-Fiction)
    Date de publication : 1999, puis 2004 (1995 en VO)
    Récompenses : Prix Bob-Morane 2001 du roman étranger, Grand Prix de l’Imaginaire 2001 du roman étranger, Prix Bob-Morane 2008 spécial

    Synopsis : Noeud après noeud, jour après jour, toute une vie durant, ses mains répétaient les mêmes gestes, nouant et renouant sans cesse les fins cheveux, comme son père et le père de son père l’avaient fait avant lui…
    N’est-ce pas étrange qu’un monde entier s’adonne ainsi au tissage de tapis en cheveux ? L’objet en est, dit-on, d’orner le Palais des Etoiles, la demeure de l’Empereur. Mais qu’en est-il de l’Empereur lui-même ? N’entend-on pas qu’il aurait abdiqué ? qu’il serait mort, abattu par des rebelles ?
    Comment cela serait-il possible ? Le soleil brillerait-il sans lui ? Les étoiles luiraient-elles encore au firmament ?
    L’Empereur, les rebelles, des milliards de tapis de cheveux ; il est long le chemin qui mène à la vérité, de la cité de Yahannochia au Palais des Etoiles, et jusqu’au Palais des Larmes sur un monde oublié…

    Note 4.0

    Nœud après nœud, jour après jour, une vie durant, les mains de l’exécutant répétaient sans cesse les mêmes gestes, nouant et renouant sans cesse les fins cheveux, des cheveux si fins et si ténus que ses doigts finissaient immanquablement par trembler et ses yeux par faiblir de s’être si intensément concentrés – et pourtant, l’avancée de l’ouvrage était à peine perceptible ; une bonne journée de travail avait comme maigre fruit un nouveau fragment de tapis dont la taille approximative n’excédait pas celle d’un ongle.

    Ils sont beaux, mes tapis, ils sont beaux ! Tout de cheveux tissés, ils sont le but ultime de tout bon père de famille désireux d’assurer un certain train de vie à sa descendance ! Grâce à ce système social à première vue capillotracté, et pourtant diablement original, Andreas Eschbach nous tisse une histoire touffue certes, mais également moelleuse et confortable.