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Ganesha, Mémoires de l’homme-éléphant
Titre : Ganesha : Mémoires de l’homme-éléphant
Auteur : Xavier Mauméjean
Éditeur : Mnémos
Date de publication : 2007Synopsis : Londres, fin du XIXe siècle. Qui est réellement Joseph Merrick, celui qu’on surnomme « l’Homme-Elephant » ? Homme ou bête ? Monstre de foire ou curiosité scientifique ? Une simple anomalie de la nature ou… un dieu ? Lorsqu’il rédige ses « Mémoires », il n’a pas trente ans et réside depuis quelque temps à l’hôpital de Whitechapel sous la protection du médecin Frederick Treves. Un refuge qui lui permet d’observer les splendeurs et les misères de la capitale, et de mener l’enquête : quatre affaires, précisément, soit autant que de saisons dans une année. De leur résolution dépendra peut-être plus que son destin, car « le monde s’efface dans les rêves de l’éléphant… »
La perfection du jardin anglais réside dans l’absence apparente de composition et de structure. Le jardin s’oublie comme tel et s’efface devant la Nature. Étrange modestie d’Albion qui marque de sa puissance les contrées reculées, asservit les peuples, et recule chez elle devant la fleur des champs.
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Le nez de Cléopâtre
Titre : Le nez de Cléopâtre
Auteur : Robert Silverberg
Nouvelles : Légendes de la forêt Veniane ; Le traité de Düsseldorf ; Tombouctou à l’heure du lion ; Le sommeil et l’oubli ; Entre un soldat, puis un autre ; Basileus
Éditeur : Folio SF (Denoël)
Date de publication : 2001 (2000 pour la première version)
Récompenses : Prix Hugo 1990 (catégorie novelette) pour « Entre un soldat, puis un autre »Synopsis : S’il eût été plus court, toute la face du monde aurait changé. Avec les textes du Nez de Cléopâtre, Robert Silverberg nous invite à détourner le cours de notre Histoire pour imaginer ce qui aurais pu advenir si… Si l’Empire romain, loin de prendre fin sous le choc des invasions barbares, s’était maintenu et élargi au monde entier ? Si les « réalités virtuelles » auxquelles donne accès l’informatique se constituaient en mondes parallèles autonomes, des mondes où Socrate pourrat rencontrer le conquistador Pizarre pour un incroyable duel intellectuel ? Et si la Peste noire de 1348 avait emporté les trois quarts de l’Europe occidentale ?
A l’origine, les programmateurs français voulaient inclurent des hologrammes de personnages célèbres dans les spectacles touristiques de leurs monuments historiques. Pas seulement des simulacres robotisés, mais d’apparentes réincarnations de grands personnages, capables de se promener librement, de bavarder, voire de lancer de petits traits d’esprit. Imaginez Louis XIV vantant les fontaines du château de Versailles, Picasso faisant la visite des musées parisiens, Sarte échangeant des bons mots avec les passants depuis la terrasse du Café de Flore ! Et pourquoi pas Napoléon, Jeanne d’Arc, Alexandre Dumas ! Et ça ne s’arrêtait pas là : on pouvait les rendre capable de compléter, d’améliorer les réalisations de leurs modèles, d’enrichir le monde d’une foule de tableaux, romans, traités philosophiques et visions architecturales grandioses de maîtres disparus.
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Long John Silver, tome 1 : Lady Vivian Hastings
Titre : Lady Vivian Hasings
Série : Long John Silver, tome 1
Scénariste : Xavier Dorison
Dessinateur : Mathieu Lauffray
Éditeur : Dargaud
Date de publication : 2007Synopsis : Il est l’enfant de l’encre et de la plume, la figure de proue de » L’île au trésor » de R. L. Stevenson. Il a vécu de crimes et de rêves, connu les galions de madère, le sac de Maracaibo et les révoltes des boucaniers. Il va mêler l’or et le sang pour sceller son destin aux confins des royaumes perdus de l’Amazonie. Il est le dernier pirate. Il est la légende. Long John Silver
Guyanacapac existe my Lady. Moxtechica a vu la cité. La canne de mon frère en a foulé le sol. Il y a longtemps déjà, Don Almeda racontait « L’Inca Atahualpa aurait pu payer cent fois sa rançon d’or à Cortès s’il avait connu l’existence de cette cité. » Cent fois un temple rempli d’or… Lord Byron a réussi my Lady, et voici la preuve : cette carte est une voie toute tracée vers la plus fabuleuse cité perdue…
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La voie du cygne
Titre : La voie du cygne
Auteur : Laurent Kloetzer
Éditeur : Mnémos (Folio SF en poche)
Date de publication : 1999 (2001 pour la version poche)Synopsis : Pour Jeophras Denio, rien n’est impossible ! Tout le monde sait qu’il est le meilleur inventeur de la ville. Si seulement son engin volant arrivait à fonctionner… Mais quelle machine, quelle équation pourrait l’aider à conjurer le malheur de sa fille Carline ? Elle a été jetée en prison à la suite d’une réception au palais. Pour elle, c’est la potence, s’il ne parvient pas à l’innocenter du meurtre de Nerio de Lethys. Endosser le rôle d’un détective n’est pas une mince affaire, même avec l’aide d’un garçon débrouillard comme Alexis. Mais Jeophras ne pensait pas se faire piéger dans un tel engrenage… Dvern est une cité d’intrigues où les puissants jouent à des jeux dangereux. Lequel d’entre eux convoite le pouvoir ? Qui, à la cour, fomente ce complot ? Une séduisante comtesse, un maître d’armes, le prince en personne ? Jeophras ferait bien de se méfier, s’il ne veut pas tomber au fond du labyrinthe. Derrière cette affaire se cache un mystérieux secret, vieux de dix-huit ans… Mais pour le découvrir il vous faudra pratiquer le jeu de l’oie. Suivez donc Jeophras sur la Voie du Cygne…
Ils traversèrent Dvern figée en sa gangue de pierre, déserte et abandonnée à leur volonté. Nerio se sentait la force de devenir le maître de ce navire de roc, il se sentait la force d’affronter les fantômes et les dieux enfouis de cette cité millénaire. En cette nuit de tempête, la ville laissait apercevoir sa véritable nature, lavée de ses dorures et de ses fanfreluches atlanes… Elle apparaissait telle qu’elle était, une cité cruelle et sanglante, vénérée jusqu’à la mort, destinée à régner !
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Les conjurés de Florence
Titre : Les conjurés de Florence
Auteur : P. McAulay
Éditeur : Folio SF
Date de publication : 2004Synopsis : Florence, au tout début du XVIe siècle. Une Florence bien différente de celle qu’évoquent nos livres d’histoire : Léonard de Vinci a renoncé à la peinture pour donner vie aux machines qu’il dessinait dans ses carnets et l’Italie de la Renaissance connaît déjà sa révolution industrielle… La perle de la Toscane reste cependant la ville des grands peintres, des grands architectes, des fêtes… et des intrigues sophistiquées, des morts mystérieuses. Comme celles de Raphaël et de son assistant. Qui est à l’origine de ces meurtres ? Pour quel enjeu ? Sur fond de rivalité entre l’Italie et l’Espagne et de rébellion savonaroliste, Pasquale, jeune peintre apprenti, mène l’enquête en compagnie de Machiavel, journaliste à la Gazette de Florence, qui joue les Sherlock Holmes avant la lettre.
La magie n’est que de la science qui cherche à se faire passer pour autre chose.
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Qushmarrah : Le Prix de la liberté
Titre : Qushmarrah : Le prix de la liberté (The Tower of Fear)
Auteur : Glen Cook
Éditeur : L’Atalante
Date de publication : 2007 (1990 pour la version originale)Synopsis : Qushmarrah, cité fière et florissante, conquise par trahison, occupée depuis six ans par les Hérodiens. Qushmarrah, cité résistante, hantée par le retour possible de son maître assassiné, le prêtre-sorcier Nakar. Une ville aux nerfs portés à vif par les enlèvements récurrents d’enfants de six ans. Une ville en attente de la déflagration qui ne manquera pas de se produire. Dans un univers qui n’est pas celui de la Compagnie noire, non plus celui où Hérod serait Rome et Qushmarrah Carthage, à l’issue d’une guerre Punique, Glen Cook prend un malin plaisir à brouiller les pistes, inverser les rôles et redistribuer les alliances. Guerriers du désert, cohortes de soldatesque et leurs généraux, tueurs fous, kidnappeurs, sorcières et résistants s’affrontent, se trahissent et s’entre-tuent dans un récit échevelé à la manière incisive d’un grand styliste de la fantasy.
Yoseh n’avait commencé à se sentir tendu qu’au moment où la conviction qu’ils s’étaient lancés dans une course fatale contre la montre s’était emparée de lui. Sa tension n’avait pas cessé de monter depuis. Et, à présent, il se demandait pourquoi il s’était persuadé lui-même qu’il devait venir dans cette cité de dingues. Mo’atabar avait raison. C’était la ville de l’or et du plomb. Sauf que l’or était imaginaire et que vos rêves s’y changeaient en plomb.
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Long John Silver, tome 4 : Guyanacapac
Titre : Guyanacapac
Série : Long John Silver, tome 4
Scénariste : Xavier Dorison
Dessinateur : Mathieu Lauffray
Éditeur : Dargaud
Date de publication : 2013Synopsis : Long John Silver et les membres rescapés du Neptune découvrent enfin la mystérieuse cité de Guyanacapac. C’est ici qu’un trésor serait enfoui ; c’est ici aussi qu’un piège infernal va se refermer sur eux. Chacun va découvrir l’horrible secret de cette cité et la véritable personnalité de l’Indien Moxtechica. Quant à Vivian, enceinte, elle ne peut plus reculer ; elle va devoir surmonter cette ultime épreuve…
Cet homme, amoureux du présent et de la liberté, voulait marquer son temps et se survivre. A défaut de descendants, il lui fallait un témoin. A quoi bon être le plus grand des pirates ? A quoi bon triompher seul là où échouent les armées ? A quoi bon trouver le plus grand des trésors… si cette gloire se devait de finir dans l’oubli ?
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Le dernier chant d’Orphée
Titre : Le dernier chant d’Orphée (The Last song of Orpheus)
Auteur : Robert Silverberg
Éditeur : Actu SF (collection Perles d’épice)
Date de publication : 2012 (2008 en version originale)Synopsis : On dit qu’il pouvait, par son chant, charmer les animaux et les arbres, sa voix fit chavirer les sirènes elles-mêmes. Mais son coeur appartenait à Eurydice, et lorsque la mort vint la lui ravir, Orphée se présenta aux portes des enfers, armé de sa seule lyre, afin de reprendre à Hadès l’âme de sa bien-aimée.
C’est la musique qui me rend indispensable ; c’est elle qui fait de moi le demi-dieu que je suis. A travers elle, je contribue à apporter du sens au cosmos. La musique, ce sont les mathématiques des dieux. Mes chants, mes quartets, mes symphonies, la plus humble de mes mélodies, tous alimentent la clarté sous-jacente qui donne sa cohésion à l’univers.
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Les héritiers d’Homère
Titre : Les héritiers d’Homère
Anthologiste : Nathalie Dau
Auteurs : Franck Ferric (« La Bouteille, le barbu et le sens du monde ») ; Marie-Catherine Daniel (« La caverne des centaures mâles ») ; Claire Jacquet (« La mort d’Héraclès ») ; Jess Kaan (« Le syndrome de Midas) ; Sophie Dabat (« Le pacte d’Hécate ») ; Eliane Aberdam (« Aube ») ; Nadège Capouillez (« Cet éternel orgueil ») ; Tarik Ladlani (« Prisonnier de son image ») ; Jeanne-A Debats (« Mayday ») ; Olivier Boile (« L’esprit de l’Hellespont ») ; Fabrice Chotin (« Nyctate de Samothrace ») ; Charlotte Bousquet (« Le chêne et le tilleul ») ; Yan Marchand (« L’hospitalier ») ; Anthony Boulanger (« La descente aux Enfers d’Orphée et Eurydice ») ; Nicholas Eustache (« Pierce’s track : the Maid and the highway ») ; Romain Lucazeau (« Les sept derniers païens ») ; Philippe Guillaut (« Sémélé ») ; Céline Brenne (« Firestarter »)
Éditeur : Argemmios
Date de publication : 2009Synopsis : La mythologie grecque, ses dieux et ses héros nous sont souvent familiers, eux qui hantent même notre vocabulaire : nous sommes narcissiques, érotiques, nous avons parfois la beauté d’Apollon, la ruse d’Ulysse, nous tombons dans les bras de Morphée… Jusqu’à nos ordinateurs que tentent d’infiltrer des chevaux de Troie ! Qualifiés de classiques, les mythes grecs n’ont cessé d’inspirer les modernes. Aujourd’hui, ce sont 18 plumes francophones qui ont interrogé les Muses afin de vous offrir la quintessence de leurs rêves. Fantasy, fantastique, et même un peu de science-fiction… Les genres de l’Imaginaire se sont vêtus pour vous des couleurs de l’Olympe. Véritables aèdes du XXIème siècle, nos auteurs se sont fait tragiques, satiriques ou lyriques. Leurs récits vous entraîneront depuis les temps de l’Âge d’Or jusqu’aux étoiles de demain.
Des sommets de l’Olympe aux profondeurs des Enfers, une rumeur se hâte. Dieux et héros des anciens temps, nymphes, satyres, esprits des eaux, centaures… tous y prêtent attention, tous s’en font le relais. Oui, en ce début de XXIe siècle, il existe encore des aèdes capables de les chanter, capables d’écrire à leur sujet. Cela les émerveille. Cela les surprend. Et cela les intrigue. Comment certains secrets, soigneusement enfouis jadis, ont-ils pu parvenir à l’oreille des hommes? Comment ces mêmes hommes ont-ils su voir derrière les masques dont s’affublent aujourd’hui, ceux qui gambadaient librement sous le soleil de l’Age d’Or?
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Blanche neige
Titre : Blanche neige
Scénariste : Maxe L’Hermenier
Dessinateur : Looky
Éditeur : Ankama
Date de publication : 2012Synopsis : Le Royaume des Neiges se meurt. Figé dans les glaces éternelles, il subit le joug maléfique d’une reine aussi belle qu’impitoyable. Alors que s’étend le voile sombre de la sorcellerie, porté par les rites nécromanciens de la perfide souveraine, l’espoir renaît en la personne de la pure Blanche Neige, l’héritière légitime du trône que tout le monde croyait disparue à jamais. Des profondeurs de la forêt où siège le conseil des nains cannibales aux portes du palais, le destin de la jeune fille va enfin s’accomplir…
Les messagers du royaume se répandirent pour annoncer la triste nouvelle, la mort du souverain des neiges, allant jusqu’aux confins des frontières connues. Peu en revinrent vivants. Mais nul suzerain ni gueux ne pouvait désormais ignorer le visage de la nouvelle souveraine. Ainsi débuta la tyrannie de celle que tous plus tard appelèrent la reine sorcière.