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Thermae Romae, tome 2
Titre : Thermae Romae
Cycle : Thermae Romae, tome 2
Auteur : Mari Yamazaki
Éditeur : Casterman
Date de publication : 2012Synopsis : Les aventures thermales de Lucius se poursuivent sur les chapeaux de roue. Si l’humour est toujours aussi présent (un orgueilleux citoyen romain pris pour un dieu japonais de la fertilité suite à un malentendu, puis enfermé dans l’enclos aux crocodiles d’un parc d’attractions, ou encore terrifié mais excité par sa première glissade sur un toboggan aquatique) notre architecte semble être de plus en plus dépassé par les événements : devenir un proche de l’empereur, s’est s’attirer l’inimitié de gens puissants. Lucius va-t-il se retrouver au centre d’un complot politique ?
Jadis à Sparte on faisait subir un entraînement sévère aux enfants au motif que cela renforçait la puissance de la cité… Dans cette contrée-ci, on se sert peut-être de l’eau de source thermale pour leur inculquer la discipline. Dans quelle mesure la glissade sur de l’eau chaude peut-elle fortifier l’esprit ?
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Ça bulle fort : les sorties BD marquantes de mars 2014
En mars, les BD aussi vont tenter de délester un maximum notre porte-feuilles. Ce premier récapitulatif ne présentera sûrement pas toute la foisonnante production en la matière, mais juste de faire un panorama.
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Ça bulle fort : les sorties comics VF de mars 2014
En mars, on montre souvent du doigt les giboulées, mais n’oublions pas les rafales de publications de comics tentant de nous faire oublier tout ce que nous n’avons pas pu nous offrir les mois précédents.
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Locke & Key, tome 3 : La couronne des ombres
Titre : La couronne des ombres
Série : Locke & Key, tome 3
Scénariste : Joe Hill
Dessinateur : Gabriel Rodriguez
Éditeur : Milady Graphics
Date de publication : 2013Synopsis : Les Ténèbres se referment sur Keyhouse. Dodge poursuit son insatiable quête des mystérieuses clés de pouvoir et est prêt à tout pour les obtenir. Assiégés et isolés, les enfants Locke doivent livrer un combat désespéré, dans un monde où la nuit même est leur ennemie.
N’aie jamais d’enfants, Tyler, sauf si tu es prêt à vivre dans la peur, pour le restant de tes jours.
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#1Blog1Séance avec Les Toiles Enchantées
PriceMinister – Rakuten s’associe aux Toiles Enchantées pour offrir grâce aux blogueurs des séances de cinéma aux enfants et adolescents hospitalisés ou handicapés.Du 03/02 au 28/02 un article publié sur votre blog ou site se transforme en un don de 15€ de PriceMinister – Rakuten aux Toiles Enchantées pour les soutenir dans leur merveilleuse démarche d’offrir gratuitement aux enfants et adolescents hospitalisés ou handicapés les films à l’affiche sur grand écran, comme au cinéma !
En publiant cette mini-interview sur mon blog, PriceMinister – Rakuten s’engage à faire un don de 15€ aux Toiles Enchantées qui offre gratuitement aux enfants et adolescents hospitalisés ou handicapés les films à l’affiche sur grand écran, comme au cinéma !
Pour participer également, les instructions sont ici.
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Le Trône de fer, tome 3 : La bataille des rois
Titre : La bataille des rois (1ère partie de « A Clash of Kings »)
Cycle : Le Trône de Fer, tome 13 (A Song of Ice and Fire)
Auteur : George R. R. Martin
Éditeur : Pygmalion, puis J’ai Lu
Date de publication : 16 février 2000, puis 11 janvier 2002Synopsis : Le roi Robert n’est plus, tout comme son ami Ned Stark, exécuté. La dynastie Baratheon n’aura duré qu’une génération, et la paix plusieurs fois centenaire du royaume des Sept Couronnes a volé en éclats : Joffrey, le bâtard illégitime, se terre dans la capitale ; les frères de Robert rallient des troupes à leurs bannières ; le fils Stark a levé son armée et crie vengeance ; des pirates razzient les côtes et des brigands pillent les campagnes… Des quatre monarques qui se disputent la dépouille du royaume, chacun est bien décidé à faire parler l’acier.
Courage et folie sont cousins, du moins le prétend-on.
La Bataille des Rois. Rien qu’avec le titre et en connaissant les événements de la fin du tome 2, on se dit que Le Trône de Fer va encore nous envoyer du lourd. On ne se trompe pas : cette saga nous offre énormément rien que dans ce « petit » tome.
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Le Salon du Livre de Paris 2014 en approche !
Du 21 au 24 mars 2014 et à la Porte de Versailles se tiendra le 34e Salon du Livre de Paris et la communication autour de cet événement littéraire s’intensifie.
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Barjot !
Titre : Barjot !
Auteur : Jean-Hugues Oppel
Éditeur : Rivages (Rivages/Noir)
Date de publication : 2011 (1ère édition chez Gallimard en 1987)Synopsis : D’habitude, une crevaison, ça vous envoie dans le décor. Jérôme-Dieudonné Salgan, lui, ça lui a sauvé la vie : grâce à ce retard providentiel provoqué par un chauffard, il évite le massacre en règle de toute sa famille et des amis qui l’attendaient chez lui. Lorsqu’il recroise la même voiture un peu plus tard, il se persuade vite qu’elle a quelque chose à voir avec ce crime. Mais en remontant la piste de ses bourreaux, il se heurte à une police parallèle qui étouffe l’affaire, sacrément gênante pour elle : ces exécutions constituaient une bavure, les exécuteurs s’étaient trompés de cibles.
Entre parodie, manipulation et délire de vengeance, Jean-Hugues Oppel, lauréat de nombreux prix (notamment le Prix mystère de la critique et le Grand Prix de littérature policière), s’attaque, dans ce premier roman écrit en solo et enfin réédité, à ce qui restera l’un de ses thèmes fétiches : la raison d’État et l’impunité des puissants.Alors elle est plantée dans son encoignure, stoïque. Au risque de se faire emballer. Ça vaut mieux que de perdre une occasion de remplir sa bourse en vidant celles d’une âme en peine de coït.
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L’évangile cannibale
Titre : L’évangile cannibale
Auteur : Fabien Clavel
Éditeur : ActuSF
Date de publication : 2014 (janvier)Synopsis : Aux Mûriers, l’ennui tue tout aussi sûrement que la vieillesse. Matt Cirois, 90 ans et des poussières, passe le temps qu’il lui reste à jouer les gâteux. Tout aurait pu continuer ainsi si Maglia, la doyenne de la maison de retraite, n’avait vu en rêve le fléau s’abattre sur le monde. Et quand, après quarante jours et quarante nuits de réclusion, les pensionnaires retrouvent la lumière et entrent en chaises roulantes dans un Paris dévasté, c’est pour s’apercevoir qu’ils sont devenus les proies de créatures encore moins vivantes qu’eux. Que la chasse commence…
Il fallait nous voir quand on a passé la porte de Champerret ! La horde sauvage ! La chevauchée fantastique ! On montait bien à sept kilomètres à l’heure ! Yan chantait « Quand on arrive en ville / tout le monde change de trottoir ». C’est dire s’il était content ! Voilà comment les vieux sont entrés dans Paris. Après la 2e db du général Leclerc, la 2e dfr division de fauteuils roulants du général Cirois !
Un road-movie en fauteuil roulant, ça vous tente ? Parce que c’est justement ce que nous propose « L’Évangile cannibale », un roman décapant qui redonne un sacré coup de fouet aux histoires de zombies traditionnelles. Après la fantasy, l’uchronie, le space-opéra ou encore la bit-lit, Fabien Clavel se lance donc avec un enthousiasme contagieux dans le post-apo.
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Le Nom de la Rose
Titre : Le Nom de la Rose (Il Nome della Rosa)
Auteur : Umberto Eco
Éditeur : Grasset
Date de publication : 1982 (1980 en VO chez Fabri-Bompiani)
Récompenses : Prix Médicis étranger 1982Synopsis : En l’an de grâce et de disgrâce 1327, rien ne va plus dans la chrétienté. Des bandes d’hérétiques sillonnent les royaumes. Lorsque Guillaume de Baskerville, accompagné de son secrétaire, arrive dans le havre de sérénité et de neutralité qu’est l’abbaye située entre Provence et Ligurie – que tout l’Occident admire pour la science de ses moines et la richesse de sa bibliothèque –, il est aussitôt mis à contribution par l’abbé. La veille, un moine s’est jeté du haut des murailles. C’est le premier des assassinats qui seront scandés par les heures canoniales de la vie monastique. Crimes, stupre, vice, hérésie, tout va advenir en l’espace de sept jours.
On raconte qu’un calife oriental un jour livra aux flammes la bibliothèque d’une ville célèbre et glorieuse et orgueilleuse et que, devant ces milliers de volumes en feu, il disait qu’ils pouvaient et devaient disparaître : car ou bien ils répétaient ce que le Coran disait déjà, et donc ils étaient inutiles, ou bien ils contredisaient ce livre sacré pour les infidèles, et donc ils étaient pernicieux.
Mélangez Sherlock Holmes dans sa période « Baskerville » avec l’ambiance d’une abbaye bénédictine du XIVe siècle soumise aux turpitudes liées à l’Inquisition et à la crainte de la sorcellerie, vous obtiendrez de quoi créer un chef-d’œuvre littéraire. Incontestablement, Le Nom de la Rose répond à cette exigence !