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  • L’Homme qu’on aimait trop

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    Titre : L’Homme qu’on aimait trop
    Cycle : D’après le livre « Une femme face à la mafia » de Renée et Charles Le Roux (Albin Michel)
    Réalisateur : André Téchiné
    Acteurs principaux : Guillaume Canet, Catherine Deneuve, Adèle Haenel, Jean Corso, Judith Chemla
    Date de sortie française : 16 Juillet 2014
    Récompenses : Présenté « Hors compétition » au Festival de Cannes 2014

    Synopsis : 1976. Après l’échec de son mariage, Agnès Le Roux rentre d’Afrique et retrouve sa mère, Renée, propriétaire du casino Le Palais de la Méditerranée à Nice. La jeune femme tombe amoureuse de l’homme de confiance de Renée, Maurice Agnelet, un avocat de dix ans son aîné et qui ne tarde pas à tomber en disgrâce auprès de sa mère. Il met alors en relation Agnès avec Fratoni, un mafieux, qui lui offre trois millions de francs pour qu’elle vote contre sa mère. Renée perd le contrôle du casino ce qu’Agnès supportera mal. Après une tentative de suicide, la jeune femme disparaît à la Toussaint 1977. On ne retrouvera jamais son corps. Trente ans après, Maurice Agnelet demeure l’éternel suspect de ce crime sans preuve ni cadavre. Convaincue de sa culpabilité, Renée se bat pour qu’il soit condamné…

    Note 3.0
     

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  • The Sixth gun, tome 1 : De mes doigts morts…

    The sixth gun

    Titre : De mes doigts morts…
    Série : The Sixth gun, tome 1
    Scénariste : Cullen Bunn
    Dessinateur : Bruan Hurtt
    Éditeur : Urban Comics (Indies)
    Date de publication : 2014 (juin)

    Synopsis : Alors que le continent américain se remet difficilement des blessures de la Guerre Civile, d’inquiétants individus sillonnent le Grand Ouest à la recherche de six pistolets maudits détenant à eux seuls assez de puissance pour mettre fin à l’humanité. Parmi eux, le général confédéré Oleander Hume, créature suspendue entre la vie et la mort, attend dans son cercueil le jour où il pourra enfin remettre la main sur l’un de ces artefacts. Pour l’heure, son épouse et quatre de ses cavaliers les plus fidèles ont retrouvé la trace de l’une de ces armes entre les mains de Becky Montcrief, jeune femme cherchant à venger la mort de son père adoptif.

    Note 3.0

    Nombreux sont les augures et les secrets à découvrir de par le monde… Dès lors qu’on sait où regarder. Mais regarder au bon endroit et avoir le courage de maintenir les yeux ouverts, voilà qui ne va pas toujours de pair.

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  • The Cape : 1969

    The cape 1969

    Titre : The Cape : 1969
    Scénaristes : Joe Hill et Jason Ciaramella
    Dessinateur : Neslon Daniel
    Éditeur : Milady Graphics
    Date de publication : 2014 (juin)

    Synopsis : 1969, guerre du Vietnam. Gordon Chase est pilote d’hélicoptère d’évacuation médicale, sous le feu ennemi. Quand son hélicoptère est abattu par les soldats vietcong, s’engage alors un jeu du chat et de la souris au cœur de la jungle et des rizières. Mais son équipe et lui vont bientôt découvrir qu’il y a plus encore que les horreurs de la guerre en territoire hostile. Un graphic novel viscéral, qui retrace le destin poignant et fantastique du père des enfants découverts dans The Cape.

    Note 4.0

    Ils sont morts… Tous morts… J’ai perdu pied. Je le sais bien. Je vaux mieux que ça, cette croisade ne me ressemble pas, mais je m’en fous. Ce putain de vieillard m’a fait quelque chose, il m’a changé. Il m’a donné ce … ce pouvoir. Quoi qu’il puisse être. La magie, le vaudou, ça existe donc vraiment. Moi qui croyait que la magie, ça se bornait aux foires ou à la télé.

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  • Jimmy’s hall

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    Titre : Jimmy’s hall
    Origine : D’après l’œuvre de Donal O’Kelly, scénario de Paul Laverty
    Réalisateur : Ken Loach
    Acteurs principaux : Barry Ward, Simone Kirby, Andrew Scott, Jim Norton, Aisling Franciosi, Francis Magee, Karl Geary
    Date de sortie française : 2 Juillet 2014
    Récompenses : Sélection officielle au Festival de Cannes 2014

    Synopsis : 1932 – Après un exil de 10 ans aux États-Unis, Jimmy Gralton rentre au pays pour aider sa mère à s’occuper de la ferme familiale. L’Irlande qu’il retrouve, une dizaine d’années après la guerre civile, s’est dotée d’un nouveau gouvernement. Tous les espoirs sont permis… Suite aux sollicitations des jeunes du Comté de Leitrim, Jimmy, malgré sa réticence à provoquer ses vieux ennemis comme l’Eglise ou les propriétaires terriens, décide de rouvrir le « Hall », un foyer ouvert à tous où l’on se retrouve pour danser, étudier, ou discuter. À nouveau, le succès est immédiat. Mais l’influence grandissante de Jimmy et ses idées progressistes ne sont toujours pas du goût de tout le monde au village. Les tensions refont surface.

    Note 4.0

    Difficile pour moi de donner un avis complètement objectif, Ken Loach étant l’un de mes cinéastes préférés. Pour sa dernière réalisation (espérons que Loach revienne sur sa décision) les adieux sont de belles factures. Car même si « Jimmy’s Hall » n’est pas le meilleur film de ce géant, il n’en est pas moins hautement estimable. Loach filme cette Irlande qu’il aime tant avec la même envie de dénoncer la bêtise des hommes et les drames qu’elle engendre. Sous une apparence légère (la musique adoucit les mœurs dit-on) c’est bien une nouvelle fois l’intolérance insupportable par d’ignorants rigides qui est le cœur du film. Loach montre cette tension qui prend corps entre catholiques et protestants, amenant à des actes condamnables. La caméra de Loach capte ces tensions avec le talent qu’on lui connait. Avec une belle révélation dans le rôle de Jimmy, le charismatique Barry Ward. Sa scène avec Oonagh (Simone Kirby) d’une sensualité folle méritant à elle seule la vision du film. Plus léger que « Le vent se lève » palme d’or à Cannes, cette histoire montre que le chemin est encore bien long pour accepter les différences.

    Certains reprocheront peut-être au grand Loach un certain académisme dans sa réalisation. N’empêche après Clint Eastwood et son excellent « Jersey Boys », les papys ont fiers allures. Voilà que retentit le «Amhran na bhFiann ». Thank You Mister Loach. 

     

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  • Du goudron et des plumes

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    Titre : Du goudron et des plumes
    Scénario: Scénario Pascal Rabaté et Antoine Pinson
    Réalisateur : Pascal Rabaté
    Acteurs principaux : Sami Bouajila, Isabelle Carré, Daniel Prévost, Talina Boyaci, Laura Genovino, Charles Schneider, Zinedine Soualem, David Salles
    Date de sortie française : 9 juillet 2014

    Synopsis : L’été arrive à Montauban, avec les vacances, les barbecues… et le « Triathlon de l’été », compétition populaire télédiffusée. Christian, divorcé et commercial aux petites combines, n’a d’autre joie que sa fille de 12 ans. Par amour pour elle et pour racheter tous ses petits mensonges, il accepte de participer à ce grand rendez vous sportif. Le jour où il rencontre Christine, mère célibataire et enceinte, tout semble concorder pour que Christian prenne un nouveau départ …

    Note 3.0

    Troisième réalisation de Pascal Rabaté et nouveau plaisir assuré. Rabaté aime filmer les gens de petites conditions qui se battent quotidiennement pour rendre la vie plus douce. Le combat de ce père divorcé pour être un homme bien aux yeux de sa fille est juste et touchant. Ce cinéaste venu de la BD filme ses acteurs avec un œil bienveillant. Il serait facile de se moquer de ces gens-là, de leur petite vie, son regard à lui est plein de tendresse et d’humanité. Les personnages de « Du goudron et des plumes » ne dérogent pas à son univers ou l’humour sert de soupape pour faire passer la pilule. Sami Bouajila , Isabelle Carré mais aussi les seconds rôles sont excellents, mention bien sur à Daniel Prévost (héros du premier film de Rabaté), une nouvelle fois impeccable.

    Un film attachant sur la France d’en bas et qui mérite qu’on s’y arrête. Histoire de mettre à mal les préjugés.

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  • Goodbye Billy

    Good bye Billy

    Titre : Goodbye Billy
    Auteur : Lauren Whale
    Éditeur : Critic
    Date de publication : 2014 (juin)

    Synopsis : 14 juillet 1881, Old Fort Sumner. Lorsque la nuit tombe sur ce coin perdu du Nouveau-Mexique, l’Ouest américain ne le sait pas encore, mais on va l’amputer d’une légende. Tapi dans l’ombre, Billy the Kid attend son heure. Dans quelques secondes, ses actes changeront à jamais le cours de l’Histoire. Décembre 2012, Washington, bibliothèque du Congrès. Un archiviste examine un exemplaire du Miami Chronicle daté de 1934. Soudain, une photo retient son attention : les revenants existeraient-ils ? Tandis que les sbires d’un candidat à la présidence suppriment les dossiers compromettants de leur employeur, un groupe d’historiens de choc, dirigé par Richard Benton, se met en quête de la vérité. Quel lien unit donc un jeune hors-la-loi du XIXe siècle à un requin politique de l’ère spatiale ? Dick Benton et son équipe feront l’impossible pour le savoir.

    Note 4.0

    Un instant, il tenta d’imaginer ce que représentait une fusillade dans le vieux Far West. Les balles qui sifflent, la fumée des colts, les détonations et les cris. L’odeur âcre du tabac dans les saloons, les danseuses, les parties de cartes qui ne finissent pas toujours bien. Quel effet cela faisait-il de se camper au milieu d’une rue poussiéreuse, le revolver bas sur la hanche, à dévisager son vis-à-vis ? De quel bois fallait-il être constitué pour ne pas en mourir de peur ? Même si la dernière vision ne représentait probablement que celle du cinéma, elle véhiculait dans l’imaginaire populaire plus de signification que toues les autres réunies. Et cet homme là, Billy the Kid, incarnait tout cela et plus encore. Lui aussi avait manié le Colt, chevauché avec et contre la loi, lui aussi avait ri à la face de la mort. Il était le dernier des géants.

     

    Lorsqu’on lui annonce qu’il passera la fin de sa carrière aux archives de la bibliothèque du Congrès, Dick Benton, tout juste congédié par le FBI, comprend que ses supérieurs entendent bien le mettre au placard et ne plus jamais entendre parler de lui. Ils en auront pour leur frais, car dès son arrivée l’ex-agent découvre que des liens un peu louches existent entre le populaire candidat républicain à la présidence et … le célèbre hors-la-loi Billy the Kid ! Une information que beaucoup semblent près à tout pour faire disparaître…

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  • Batman & Robin, tome 1 : Tueur né

    Batman et Robin 1 Tueur né

    Titre : Tueur né
    Série : Batman & Robin, tome 1
    Scénariste : Peter J. Tomasi
    Dessinateur : Patrick Gleason
    Éditeur : Urban Comics (DC Renaissance)
    Date de publication : 11 juillet 2014 (2012 en VO chez Urban Comics)

    Synopsis : Batman a toujours eu à ses côtés un Robin, mais pour la première fois, Bruce Wayne fait équipe avec la chair de sa chair : le turbulent Damian Wayne. Élevé par la Ligue des Assassins, ce dernier tente tant bien que mal de se montrer digne de son père, mais l’arrivée de Morgan Ducard va l’amener à faire un choix cornélien.

    Note 4.0

    Il y a des fois où je me dis que même tes secrets ont des secrets.

    Le duo mythique Batman et Robin opte pour une nouvelle configuration ! Bruce Wayne et Damian Wayne voient leur aventure narrée par Peter J. Tomasi et Patrick Gleason, à partir du relaunch de 2011 (DC Renaissance, New 52, etc.). Urban Comics lance cette série en librairie après avoir fait le bonheur de leurs parutions en kiosque.

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  • Green Arrow, tome 1 : Machine à tuer

    Green Arrow 1 Machine à tuer

    Titre : Machine à tuer
    Série : Green Arrow, tome 1
    Scénariste : Jeff Lemire
    Dessinateur : Andrea Sorrentino
    Éditeur : Urban Comics (DC Renaissance)
    Date de publication : 11 juillet 2014 (2013 en VO chez DC Comics)

    Synopsis : Oliver Queen est l’héritier d’une fortune colossale qu’il utilise pour financer la croisade de son alter ego :le justicier masqué Green Arrow. Mais tout ceci vole en éclats le jour où l’assassin Komodo s’en prend à ses plus proches alliés et lui révèlent les secrets sur la disparition de son père.

    Note 3.5

    Parfois, un homme ne sait ce qu’il est que lorsqu’il a tout perdu.

    Vous ne le savez peut-être pas, mais Urban Comics ne publie pas Green Arrow maintenant uniquement parce que la série télévisée Arrow attire de plus en plus de fans, non, cette publication arrive surtout parce que l’histoire qu’elle contient vaut le détour après des numéros largement critiqués et critiquables. Jeff Lemire et Andrea Sorrentino reprennent au numéro 17 une série qui partait à vau-l’eau et balaient dès la première page tout ce qui n’allait pas précédemment, « comme une vaste blague » ! Prêt pour un nouveau départ ? Oliver Queen a intérêt à l’être !

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  • Fin de mi-temps pour le soldat Billy Lynn

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    Titre : Fin de mi-temps pour le soldat Billy Lynn
    Auteur : Ben Fountain
    Éditeur : Albin Michel
    Date de publication : Janvier 2013
    Récompenses : National Book Critics Circle Award 2013

    Synopsis : Un accrochage avec des insurgés irakiens, trois minutes quarante trois de pure violence filmées par Fox News, désormais en boucle sur YouTube, et les huit survivants de la compagnie Bravo deviennent du jour au lendemain les enfants chéris de l’Amérique. Les stars de la « Tournée de la Victoire », montée pour ranimer la flamme du soutien à la guerre, qui doit se clôturer par leur présence à la mi-temps du grand match de football de Thanksgiving à Dallas, aux côtés d’un célébrissime groupe pop. Mais rien ne va se dérouler comme prévu. Perdu entre les richissimes propriétaires et les joueurs du club des Cowboys, les sponsors, un vieux producteur hollywoodien et une pulpeuse pom-pom girl évangéliste, Billy Lynn, dix-neuf ans, héros malgré lui, ne pense, comme ses frères d’armes, qu’à une seule chose : profiter au maximum de ses derniers jours de permission. Repartira-t-il pour l’Irak laissant derrière lui ses illusions et son innocence ? Un livre ravageur sur le monde d’aujourd’hui : le « Catch 22 » de la guerre d’Irak. « « À la fois hilarant et déchirant. » Pat Conroy »

    Note 4.0

    Les américains sont incroyablement aimables tant qu’ils obtiennent ce qu’ils demandent.

    Billy Lynn se demande bien se qu’il fout dans ce stade des Cowboys de Dallas, accueilli en grandes pompes par des sponsors, de richissimes propriétaires. Il y a quelques semaines, il se trouvait en Irak défendant sa peau contre des insurgés Irakiens.

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  • Faut-il aller voir… Les vacances du Petit Nicolas ?

    Les Vacances du Petit Nicolas

    Après une première adaptation en 2009, Les vacances du Petit Nicolas reprennent là où l’histoire s’était arrêtée en 2009. Sortie pour les vacances, le 9 juillet 2014 !

    Synopsis : Pour Nicolas arrive enfin le moment qu’il attendait le plus : les vacances scolaires. Accompagné de ses parents, ses camarades et Mémé, il met le cap sur la mer où toute la compagnie s’installe à l’Hôtel Beau-Rivage. Sur la plage, Nicolas ne tarde pas à se faire de nouveaux copains : Blaise, qui n’est pas en vacances parce qu’il réside ici, Fructueux, qui aime tout, même le poisson, Djodjo, qui parle anglais et qu’on ne comprend pas, Crépin, qui pleure sans arrêt et Côme qui veut toujours avoir raison, ce qui met en colère tout le monde. Mais, Nicolas sympathise aussi avec Isabelle, petite fille dont il devient vite amoureux. Dans la bande de Nicolas, les bêtises arrivent déjà et les mésententes éclatent…Les vacances de notre jeune ami promettent d’être bigrement formidables.

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