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Zapping ciné décembre 2021 (bis)
Quatre films pour vous donner envie d’aller au chaud dans les salles obscures ce mois-ci !
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Zapping ciné décembre 2021
Trois films pour vous donner envie d’aller au chaud dans les salles obscures ce mois-ci !
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Zapping ciné octobre 2017
Un zapping ciné d’octobre plutôt alléchant. En tout cas, l’un des quatre films présentés ici se place directement dans mon ton top 3 de l’année !
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Zapping ciné juin 2017
Quelques idées ciné pour ce week-end de la Pentecôte… où il est beaucoup question d’amants… (l’été sera t-il chaud ?)
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Zapping ciné mai 2017 (ter)
Un cinéma pour ce week-end ! Voici quelques avis, si le cœur vous en dit.
Adieu Mandalay
Liangqing et Guo, deux jeunes Birmans, tentent une nouvelle vie à Bangkok, mais alors que Liangging veut régulariser sa situation, Guo n’est pas du même avis. Drame de l’immigration clandestine, quotidien de ces jeunes qui veulent travailler sans la crainte d’être dénoncé et/ou arrêté… : Midi Z réussit un film puissant, évitant toute la sensiblerie que le sujet pouvait laisser craindre. Son sens de la mise en scène fait merveille, les scènes dans l’usine filmées quasiment comme un documentaire renforcent la puissance du récit jusqu’à un dénouement qui vous laisse KO. Wu Ke-Xi en femme au caractère fort et indépendante est remarquable. A voir.
Les fantômes d’Ismael
Quelle déception ! Alors que les critiques presse déroulent le tapis rouge au dernier film d’Arnaud Desplechin, moi, humble et inconnu spectateur me demande bien pourquoi ? En effet pourquoi autant d’éloges à un réalisateur qui se regarde constamment le nombril, et ne nous montre que des personnages bien peu crédibles ? Desplechin nous conte deux histoires, celle d’Ismael et celle d’un film que lui-même tourne. Deux histoires croisées pour raconter la solitude, l’abandon, l’amour, la création, la souffrance de la création. Tout ça est recouvert d’un pseudo regard intellectualisé, (« forcément vous n’aimez pas car vous n’avez pas ma vue d’esprit »…). Franchement quel gâchis, AUCUNE empathie pour les personnages, dialogues insipides, histoire volontairement foutraque qui n’arrive jamais à nous émouvoir et à avoir un semblant d’intérêt. Desplechin veut mélanger les genres, pourquoi pas ! Encore faut-il un minimum de cohérence, et là, malheureusement, ça devient très vite navrant (voir la scène entre Amalric et Girardot). On est bien triste de voir deux grandes actrices tenter d’éviter le naufrage mais leurs personnages est à l’image du film, prétentieux et vain. Y a t’il encore un spectateur dans la salle ?
Cinéma, mon amour
Un documentaire touchant sur la foi d’un homme amoureux de cinéma et qui, tel un Don Quichotte contre les moulins à vent, tente de garder en vie la salle de cinéma qu’il dirige malgré une hausse incroyable des fermetures de salles en Roumanie. Alexander Belc filme ce formidable personnage engagé qu’est Victor Purice qui, à lui seul, rend ce documentaire intéressant et attachant.
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Zapping ciné mai 2017
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Un petit tour vers les salles obscures ce week-end ? Voici quelques idées de films à voir (ou pas…).
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Zapping ciné avril 2017 (ter)
Si vous ne partez pas vous ressourcer entre ce deuxième tour présidentiel rude pour nos nerfs, évadez-vous au cinéma ! Voici quelques avis de votre serviteur.
Les initiés
Un sujet tabou, l’homosexualité en Afrique du Sud, est le fil conducteur de ce premier film. Une réflexion aussi sur la place de l’homme dans une société qui refuse toute autre sexualité que celle d’être hétéro. Trengove filme les rapports au plus près des corps avec une forme de brutalité comme si, malgré leur désir, l’acte se devait d’être viril, sans la moindre tendresse. Remarquablement dirigé, « Les initiés » propose une réflexion intéressante sur la place des homosexuels dans une société repliée sur la « normalité » hétéro. Jusqu’à une fin violente et radicale. Après « Moonlight » un nouveau film fort et prenant.
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Zapping ciné avril 2017 (bis)
Trois propositions à découvrir au ciné, si le cœur vous en dit !
Orpheline
Orpheline est un film qui ne laisse pas indifférent. Il pourra irriter tant le réalisateur filme au plus près cette femme, comme un objet sexuel ou maternel, mais, Arnaud des Pallières s’appuie aussi sur un puissant scénario qu’il mène parfaitement grâce à un montage d’une grande efficacité. Et puis, il y a ces magnifiques actrices qui nous bouleversent tour à tour, Adèle Haenel, Solène Rigot et Adèle Exarchopoulos : elles portent le film avec un talent fou. Rien que pour elles (et pour la force de son récit), « Orpheline » est un très beau film.