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Lasser, détective des dieux, tome 4 : Dans les arènes du temps
Titre : Dans les arènes du temps
Cycle : Lasser, détective des dieux, tome 4
Auteurs : Sylvie Miller et Philippe Ward
Éditeur : Critic
Date de publication : 2015 (novembre)Synopsis : 1937, Le Caire. Ils sont fous, ces Romains ! Quand la déesse Isis lui ordonne de partir à Pompéi récupérer une statue volée, Lasser se demande dans quel pétrin il va bien pouvoir se fourrer. Son instinct ne le trompe pas : là-bas, il doit tour à tour frayer avec la Mafia, travailler pour Jupiter, affronter la colère d’un volcan et… devenir l’assistant de Fazimel. L’affaire se complique encore lorsque, par accident, Lasser est propulsé dans les arènes du temps, là où les dieux eux-mêmes n’osent pas mettre les pieds. Tentatives de meurtre, complots en tous genres, poursuites échevelées, ces aventures vont faire émerger de nouvelles facettes des deux détectives.
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Le monde d’Aïcha : Luttes et espoirs des femmes au Yémen
Titre : Le monde d’Aïcha : Luttes et espoirs des femmes au Yémen
Scénariste et dessinateur : Ugo Bertotti
Reporter et photographe : Agnès Montanari
Éditeur : Futuropolis
Date de publication : 2014Synopsis : Entre espoirs et luttes, rêves et incertitudes, un témoignage exceptionnel sur la condition actuelle des femmes yéménites. Agnès Montanari, reporter-photographe, a vécu plusieurs mois au Yémen et a réussi à approcher certaines d’entre elles jusque dans l’intimité de leur foyer. Ses récits mis en images par les dessins d’ombre et de lumière d’Ugo Bertotti deviennent une bande dessinée-documentaire empreinte d’humanité.
L’idée dont vous me parlez me plaît bien… Un reportage qui donne la parole aux mystérieuses femmes du Yémen… Elles sont si nombreuses, celles qui ont envie de parler d’elles, même si bon nombre ne le feront que sous couvert d’anonymat. Nous sommes tous, les hommes comme les femmes, prisonniers d’un cercle tribal qui se nourrit de pauvreté et d’ignorance, qui fait peur. C’est là mon pays : archaïque, abîmé et magnifique.
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Murena, tome 9 : Les épines
Titre : Les épines
Scénariste : Jean Dufaux
Dessinateur : Philippe Delaby
Éditeur : Dargaud
Date de publication : 7 juin 2013Synopsis : Dans ce neuvième tome de Murena, Jean Dufaux et Philippe Delaby reconstruisent Rome et exposent les racines de la culture judéo-chrétienne. Néron craint de voir le peuple romain, horrifié par le grand incendie de Rome, se retourner contre lui s’il ne trouve pas de coupables à lui donner en pâture. Les chrétiens seraient des boucs émissaires parfaits ! La relation qu’entame Lucius Murena avec la belle Claudia l’empêchera-t-elle de se battre contre cette injustice ?
Donne au peuple du pain et des jeux, il ne se révoltera pas. Donne-lui la peur et l’inconfort, il se baissera pour prendre un pavé au sol.
Cet épisode des Épines marque le début d’un nouveau cycle, celui de la Mort, car en effet la Mort avec un grand M entoure désormais Lucius Murena : quoi qu’il fasse ou dise, ses proches finissent toujours par côtoyer la lame de la Faucheuse et rien n’augure que cela va s’arranger prochainement.
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Plus grands sont les héros
Titre : Plus grands sont les héros
Auteur : Thomas Burnett Swann
Éditeur : Les Moutons Électriques (collection Hélios)
Date de publication : 2014 (septembre)Synopsis : Ceci est l’histoire d’une reine de Judée qui était plus qu’humaine, de son fils qui devint une légende etde leur ennemi cyclopéen dont le nom devint synonyme de colossal. Ceci est l’histoire des combats, des amours et des loyautés qui fixèrent pour toujours les fondations de la société humaine. Des cyclopes et des sirènes, des semi-humains et des demi-dieux, des héros et de simples hommes, l’amour de David et Jonathan, la lutte contre Goliath… Thomas Burnett Swann (1928-1976), le grand écrivain américain de fantasy mythologique, tisse un roman touchant et captivant sur la base d’éléments bibliques revus à la lumière enchantée du pouvoir des mythes.
J’étais reine, dans mon propre pays, et mes amants étaient aussi nombreux que les loges dans un rayon de miel. Mon peuple, les Sirènes, était venu en Crète durant l’Age d’Or ; venu de ses origines nordiques pour vivre en cette terre méridionale avec les habitants du bois d’Errance, satyres et dryades, léogryphes et télesphores. Des ailes pour voler, des jambes pour se déplacer, des doigts palmés pour nager : ne sommes-nous pas la race idéale ?
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Le tout nouveau Testament
Titre : Le tout nouveau Testament
Réalisateur : Jaco Van Dormael
Acteurs : Pili Groyne, Benoît Poelvoorde, Yolande Moreau, Catherine Deneuve, François Damiens, Laura Verlinden, Serge Larivière, Didier De Neck, Romain Gelin, Marco Lorenzini, David Murgia
Date de sortie : 2 septembre 2015Synopsis : Dieu existe. Il habite à Bruxelles. Il est odieux avec sa femme et sa fille. On a beaucoup parlé de son fils, mais très peu de sa fille. Sa fille c’est moi. Je m’appelle Ea et j’ai dix ans. Pour me venger j’ai balancé par SMS les dates de décès de tout le monde…
Tu sais c’qu’elle a fait ta fille ? Elle a balancé les dates de décès !
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Confidences à Allah [BD]
Titre : Confidences à Allah
Scénariste : Eddy Simon
Dessinateur : Marie Avril
Éditeur : Futuropolis
Date de publication : 2015 (juin)Synopsis : Jbara vit les montagnes du Maghreb, entre ses parents, ses cinq frères et soeurs, et ses brebis. Elle rêve d’ailleurs, d’une modernité qui lui paraît inaccessible. Ignorant et violent, son père la ramène constamment à sa condition de femme, et donc de soumission. Pour tromper son ennui, Jbara couche avec les bergers de passage en échange de quelques friandises. Mais un jour, elle se retrouve enceinte. Elle est alors bannie du village et contrainte d’aller s’installer en ville. Pragmatique et désabusée, elle tente de s’en sortir et raconte sa vie : la misère, la prostitution, la prison, le mépris dans le regard des autres, ces hommes qui ne voient en elle qu’un objet sexuel… Dans ce monde qui ne veut pas d’elle, elle parle à Allah, son seul confident.
Je me doute que tu n’aimes pas tout ce que je fais, que tu ne cautionnes pas et c’est normal ! Mais quand même, j’ai une question. Si j’étais née dans une famille bien, dans une ville bien, avec une éducation bien, j’aurais forcément été une fille bien, Allah. Je me serais mariée avec un homme bien et j’aurais fait des enfants bien. Mais c’est pas comme ça que ça s’est passé au départ. Tu avoueras que je suis parties avec vachement plus d’emmerdes ! Comment tu vas faire pour me juger ?
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Assassin’s Creed, tome 6 : Black Flag
Titre : Black Flag
Cycle : Assassin’s Creed, tome 6
Auteur : Oliver Bowden
Éditeur : Milady (Gaming) (fiche officielle)
Date de publication : 31 octobre 2013 (2013 en VO chez Penguin Books)Synopsis : C’est l’âge d’or de la piraterie et du Nouveau monde. Attiré par les promesses de fortune de ces temps troublés, Edward Kenway, fils cabochard d’un marchand de laine, rêve de prendre la mer en quête de gloire.
Le jour où la chaumière familiale est attaquée, il juge le moment opportun pour fuir sa vie de misère. Très vite, il devient l’un des plus redoutables pirates de son temps.
Mais la convoitise, l’ambition et la traîtrise sévissent dans son sillage et, lorsque Kenway découvre l’existence d’un terrible complot qui menace tout ce qui lui est cher, la vengeance devient son nouveau but.
C’est ainsi qu’il va se retrouver propulsé au cœur de la lutte séculaire qui oppose les Assassins et les Templiers.Qui n’a jamais entendu un homme hurler tandis qu’on lui réduit les rotules en miettes ne sait pas ce qu’est un cri de douleur.
Poursuivons tranquillement notre petit bonhomme de chemin dans les novellisations officielles de la saga de jeux vidéo Assassin’s Creed !
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Rex Mundi, tome 1 : Le Gardien du Temple
Titre : Le Gardien du Temple (The Guardian of the Temple)
Série : Rex Mundi, tome 1
Scénariste : Arvid Nelson
Dessinateur : Jeromy Cox et Eric J
Éditeur : Milady Graphics (fiche officielle)
Date de publication : 20 aout 2010 (2003 en VO chez Image Comics)Synopsis : En 1933, dans une Europe féodale sous le joug de l’Église catholique, où la magie existe et où les monstres rôdent dans l’ombre, un étrange médecin parisien mène l’enquête sur une série de meurtres rituels. Sa seule chance d’empêcher le monde de basculer dans une ère de terreur et de sang : découvrir le mystère du Saint-Graal.
Vous ne pouvez rien prouver si vous êtes mort !
Avant de renaître en s’appuyant de manière très franche sur les œuvres de Joe Hill (The Cape, Locke & Key), Milady Graphics nous proposait des séries méconnues misant sur des concepts susceptibles de parler plus directement à des lecteurs européens. C’est clairement le cas avec ce Rex Mundi d’Arvid Nelson, Ericj et Jeromy Cox.
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Mère Teresa de Calcutta : Au nom des plus pauvres parmi les pauvres
Titre : Mère Teresa de Calcutta : Au nom des plus pauvres, parmi les pauvres
Scénariste : Lewis Helfand
Dessinateur : Sachin Nagar
Éditeur : 21g (collection Destins d’histoire)
Date de publication : 2014 (novembre)Synopsis : La fameuse mère Teresa s’appelait en réalité Gonxha Bojaxhiu. Née albanaise, elle vit dans l’empire ottoman à Skopje. Alors qu’elle est une toute jeune enfant, Gonxha croit déjà farouchement en Dieu et refuse de suivre ses frères et sœurs, qui ne font que des bêtises. Au contraire, elle essaie de comprendre ses parents qui ne cessent de recevoir de pauvres gens à manger le repas du soir. La mère lui explique qu’ils gagnent plus que ce dont ils ont besoin et que cet argent donné par Dieu doit être dépensé pour aider l’autre. Le papa Nikola est, du coup, très populaire et il fait partie du conseil municipal. Il est toujours très engagé pour défendre la cause des minorités et de ceux qui sont dans le besoin. Pourtant, un jour, la famille est brisée : Nikola meurt dans des circonstances douteuses et son associé récupère tous les biens de la maison. En vivant dans la difficulté, la famille n’aura de cesse de laisser sa porte aux affamés et aux nécessiteux. Un exemple pour celle qui deviendra « Mère Teresa »…
Je suis reconnaissante, je suis très heureuse de recevoir ce prix au nom des affamés, des nus, des sans-logis, des infirmes, des aveugles, des lépreux, de tous ces gens qui ne se sentent pas voulus, pas aimés, pas soignés, rejetés, ces gens qui sont devenus un fardeau pour la société et qui sont humiliés par tout le monde. C’est en leur nom que j’accepte ce prix. (Extrait du discours prononcé par Mère Teresa en 1979 à Oslo au moment d’accepter le Prix Nobel de la paix)
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La voie des oracles, tome 1 : Thya
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Cycle : La voie des oracles, tome 1
Auteur : Estelle Faye
Éditeur : Scrinéo
Date de publication : 2014
Récompenses : Prix Elbakin (meilleur roman fantasy français jeunesse)Synopsis : La Gaule, Ve siècle après Jésus-Christ. Cerné par les barbares, miné par les intrigues internes et les jeux du pouvoir, l’Empire romain, devenu chrétien depuis peu, décline lentement. Les vieilles croyances sont mises au rebut, les anciens dieux se terrent au fond des bois, des montagnes et des grottes, les devins sont pourchassés par la nouvelle Église. Thya, fille de l’illustre général romain Gnaeus Sertor, a toujours su qu’elle était une Oracle. Il lui faut vivre loin de Rome, presque cachée, en Aquitania, perdue au milieu des forêts. Que faire alors, quand son père, son protecteur, tombe sous les coups d’assassins à la solde de son propre fils ? Il faut fuir, courir derrière la seule Chance qu’elle a de le sauver… Se fier à ses visions et aller vers Brog, dans les montagnes du nord, là où, autrefois, Gnaeus a vaincu les Vandales. Et peut-être, le long de ce chemin pavé d’embûches et d’incroyables rencontres, voir le passé refaire surface, et réécrire l’Histoire…
Le faune se souvenait avec nostalgie des temps anciens, où des prêtres-loups les priaient en grand pompe, lui et ses semblables, à chaque fin d’hiver. Depuis, il avait vu les sylvains, les naïades, les centaures… tout son peuple surnaturel reculer au fond des forêts, dans les recoins obscurs des cavernes et des combes. Ils avaient laissé les chrétiens prendre le pas sur eux, pénétrer dans les clairières interdites, piétiner les cercles des fées, arracher les arbres et briser les branches des buissons… Des moines en haillons répandaient la nouvelle foi dans tout l’Empire, prônaient un monde sans magie, en prêchant sous les yeux de bronze des statues de Cybèle et Diane.