• Blacksad, tome 4 : L’Enfer, le silence

    Blacksad tome 4

    Titre : L’Enfer, le silence
    Série : Blacksad, tome 4
    Scénariste : Juan Diaz Canales
    Dessinateur : Juanjo Guarnido
    Éditeur : Dargaud
    Date de publication : 2010

    Synopsis : Années 1950, La Nouvelle-Orléans, où la fête de Mardi gras bat son plein. Grâce à Weekly, un producteur de jazz dénommé Faust fait la connaissance de Blacksad. Faust demande à ce dernier de s occuper d une affaire : un de ses musiciens, le pianiste Sebastian, a disparu. Il n a pas donné signe de vie depuis des mois, mettant en péril le label musical privé d une star. Faust craint que Sebastian ait, une fois de trop, sombré dans la drogue. Sa requête est d autant plus pressante que Faust se sait atteint d un cancer. John accepte la mission et découvre peu à peu que Faust ne lui a pas tout dit. Il s aperçoit qu il est lui-même manipulé, mais décide tout de même de retrouver Sebastian pour comprendre les raisons de sa disparition. Il ne sait pas encore qu il va connaître son enquête la plus éprouvante, à plus d un égard.

    Note 5.0

    -Est-ce qu’il existe un seul félin qui aime l’eau?…
    -En tout cas, on dirait que tu as une étrange tendance à t’y laisser tomber…
    -Nous nous connaissons?…
    -Peut-être bien. Après tout, nous sommes des chats tous les deux…nous avons dû nous croiser dans une de nos neuf vies…

  • Johan Héliot vous présente ses hommages

    Johan Héliot vous présente ses hommages

    Titre : Johan Héliot vous présente ses hommages
    Auteur : Johan Héliot
    Nouvelles : Au plus élevé trône du monde ; Pax Bonapartia ; Paris avant l’orage ; La véritable toute première affaire ; Trouver son cœur et tuer la bête ; Monsieur Mouche et la grande demoiselle ; Le robot du devoir ; Le rêve d’Amerigo Vespucci ; Le souffle du destin ; Une étude au rouge ; Idylle du temps des ombres ; La chose dans la glace ; La nuit du Grand Duc ; Opération Münchhausen ; Vous rêvez trop de Fantômas ; Toujours plus, toujours ! ; L’huile et le feu ; La musique des âmes ; A la Bastille, gabba gabba hey ! ; Faërie Boots
    Éditeur : Les Moutons Electriques
    Date de publication : 2013

    Synopsis : Le prince Paul Sernine, alias Arsène Lupin, lève le voile sur le plus fabuleux complot de l’Histoire – attendez-vous à un choc ! Charles de Gaulle enfile son masque et son costume de super-héros pour sauver la République d’une tentative de coup d’État. Fantômas revient du fin fond de l’espace, radicalement transformé, vivre une ultime aventure. Sherlock Holmes repousse une invasion extra-terrestre sans sortir du 221b, Baker Street. Aristide Bruant propose un drôle de contrat aux nouveaux frangins Ramones. Hermann Göring s’envole pour les glaces du pôle. James Bond affronte le futur de l’humanité, Cyrano et d’Artagnan guerroient sur la Lune… Et beaucoup d’autres encore, héros super ou ordinaires, empruntés le temps d’un hommage aux pages des manuels d’histoire et des récits de fiction qui ont nourri l’imaginaire de Johan Heliot pendant son adolescence.

    Note 3.5

    Il ne s’agit pas de follie mais de désir. De désir et d’angoisse. De la plus grande angoisse éprouvée par les hommes depuis qu’ils ont quitté l’abri de leurs grottes primitives. A leurs manières, les explorateurs de la Renaissance ont fait franchir à l’humanité un second pas en dehors de la grotte qu’est notre Vieux Monde. Et ils l’ont franchi porteurs d’un espoir sans bornes, animés par un désir aussi vieux que la vie : découvrir et agrandir l’univers. Mais si cet espoir vient se heurter au mur froid de la réalité, le choc est rude. Plus rude qu’il est possible de le supporter. Alors, une mécanique merveilleuse, faite de mille rouages infinitésimaux, se met en branle dans l’esprit des pionniers. S’il n’y a rien à découvrir, il y a tout à inventer ! Le pari est beaucoup plus excitant, d’ailleurs. » (Le rêve d’Amerigo Vespucci)

  • Broadway. Une rue en Amérique, tome 1

    Broadway 1

    Titre : Broadway. Une rue en Amérique
    Série : Broadway, tome 1
    Scénariste : Djief
    Dessinateur : Djief
    Éditeur : Soleil
    Date de publication : 2014 (juillet)

    Synopsis : Carrefour entre les extravagances du music-hall et les « speakeasies » baignant dans les vapeurs prohibées d’alcool frelaté, Broadway ne dort jamais. Gangsters, écrivains, danseuses, nouveaux riches ou célébrités, tous se donnent rendez-vous sur la « grande voie blanche », animés d’un même désir : saisir le rêve et le faire sien. Le « Chapman’s Paradise » est fermé momentanément : à la mort de Walter, Lenny et George Chapman décident de reprendre la direction de l’établissement. Mais le suicide de l’aîné des trois frères a couvert le club d’une mauvaise aura : il est déserté par ses chorus girls, et les deux frères ne connaissent pas encore grand-chose au monde du showbiz. Faisant fi de leur inexpérience, Lenny et George font le pari de rassembler une nouvelle troupe, et surtout de faire du cabaret un lieu incontournable de Broadway.

    Note 3.0

    – Est-ce qu’il y a vraiment de l’argent à faire avec ce cabaret ?
    – Tu rigoles ? C’est Broadway ! La plus grande machine à fric d’Amérique ! Regarde, Lenny ! Voguons sur un océan de billets. Il suffit de lancer notre filet ! Tu vois toutes ces enseignes éclairées ? C’est la grande voie blanche de la fortune ! Un phare qui guide tous les riches vouant un culte sans limite à la vie nocturne. Des gens à l’appétit vorace, qui rythment le pays à coup de festivités, ne recherchant qu’une chose : vivre l’excitation du moment ! Alors à nous de les faire rassasier nuit après nuit puisque Broadway ne dort jamais !

  • New York Melody

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    Titre : New York Melody
    Scénario : John Carney
    Réalisateur : John Carney
    Acteurs principaux : Keira Knightley, Mark Ruffalo, James Corden,Hailee Steinfeld, Adam Levine, Catherine Keener, Yasiin Bey, Aya Cash, Cee-Lo Green
    Date de sortie française : 30 juillet 2014

    Synopsis : Gretta et son petit ami viennent de débarquer à NYC. La ville est d’autant plus magique pour les deux anglais qu’on leur propose de venir y vivre pleinement leur passion : la musique. Le rêve va se briser et l’idylle voler en éclat quand, aveuglé par la gloire naissante, il va la plaquer pour une carrière solo et… une attachée de presse. Ses valises prêtes et son billet de retour pour Londres en poche, elle décide de passer une dernière nuit à New York avec son meilleur pote. Ce dernier l’emmène dans un pub, la pousse sur scène et la force à chanter. Dans la salle un producteur s’adonne à sa plus dangereuse passion : l’alcool. Revenu de tout, du succès et de sa gloire passée, amer, rancunier, il a perdu le fil de sa vie,… Et soudain il entend cette voix, découvre cette grâce, ce talent brut et authentique… Une rencontre enchantée qui pourrait finir en chansons…

  • Jersey Boys

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    Titre : Jersey Boys
    Scénario : Rick Elice et Marshall Brickman
    Réalisateur : Clint Eastwood
    Acteurs principaux : John Lloyd Young, Vincent Piazza, Erich Bergen, Michael Lomenda, Christopher Walken, Freya Tingley, Renée Marino, Katherine Narducci
    Date de sortie française : 18 juin 2014

    Synopsis : Quatre garçons du New Jersey, issus d’un milieu modeste, montent le groupe « The Four Seasons » qui deviendra mythique dans les années 60. Leurs épreuves et leurs triomphes sont ponctués par les tubes emblématiques de toute une génération qui sont repris aujourd’hui par les fans de la comédie musicale…

    Note 3.5

    « Jersey Boys » est un biopic musical qui nous fait découvrir un groupe qui ne me disait rien, les « Four seasons », mais très vite la bande son m’a fait reconnaitre quasiment tous les titres. De la création du groupe, au succès puis à la chute inéluctable, Clint Eastwood signe un film certes classique mais sacrément emballant. Car si ses dernières réalisations m’avaient laissé sur ma faim, on retrouve ici l’excellent faiseur de film. Avec une belle reconstitution des années 50/60, Eastwood enchaîne les scènes musicales et intimistes avec un sens du rythme qui rend le film incroyablement vivant. Le choix de prendre des acteurs inconnus renforce la crédibilité de leur jeu. Visiblement papy Clint a pris beaucoup de plaisir à redonner vie à ce groupe légendaire, en bon camarade, il sait nous le faire partager. Retrouver Christopher Walken dans le rôle d’un parrain de la mafia est là aussi une très bonne idée. Et si certains trouveront que Clint Eastwood cède parfois à la facilité, ça reste quand même du très bon cinéma.

    Ces quatre garçons dans le vent méritent largement les applaudissements et les cris hystériques de ces groupies.

  • Bardes et Sirènes

    Bardes et sirènes

    Titre : Bardes et Sirènes
    Anthologistes: Sylvie Miller et Lionel Davoust
    Auteurs : Carina Rozenfeld (« La boîte à musique ») ; Samantha Bailly (« Plaie étoilée ») ; Yann de Saint-Rat (« Tant que nous demeurons ensemble ») ; Estelle Faye (« La tête de singe ») ; Frédéric Petitjean (« Au bar des sirènes ») ; Maïa Mazaurette (« La mise en pièces ») ; Régis Goddyn (« Tant qu’il y aura des sirènes ») ; Mélanie Fazi (« Le chant des autres ») ; Pierre Bordage (« Le chant du solstice ») ; Anne Fakhouri (« Ci-gît mon cœur ») ; Thomas Geha (« Le guetteur de nuages »)
    Éditeur : Mnémos
    Date de publication : 2014 (mai)

    Synopsis : Bardes et Sirènes se place sous le signe de la musique, du conte et du merveilleux. Amours idéales ou déçues, bardes voyageurs, roublards ou arnaqueurs, sirènes fantastiques, retorses ou d’une humanité troublante, des dizaines de rencontres et de coups de théâtre vous attendent.

    Note 3.5

    La conteuse marqua une pause. La pluie et le vent avaient redoublé au dehors. Mais à présent ils portaient, avec leurs embruns et leur parfum de sel et d’iode, un peu de ces merveilles océanes, de ce monde fabuleux peuplé d’ondins, de vaisseaux fantômes, de krakens et de mari-morgans » (Estelle Faye, La tête de singe)

     

    Pour cette sixième anthologie publiée dans le cadre du festival des Imaginales d’Épinal, on retrouve une fois encore Sylvie Miller et Lionel Davoust aux commandes, et au sommaire certains des auteurs français de fantasy les plus en vogue du moment. Pierre Bordage, Estelle Faye, Thomas Geha, Mélanie Fazi…, ce ne sont pas les belles plumes qui manquent ! Comme les années précédentes, le thème de l’ouvrage associe une créature légendaire et une figure humaine. A « Reines et dragons » et « Elfes et assassins » succède donc « Bardes et sirènes », deux personnages entretenant un lien puissant avec le chant, capables de séduire par la beauté de leur voix ou de leur musique mais qui recèlent tous deux une part d’ombre.

  • L’accroissement mathématique du plaisir

    L'accroissement mathematique du plaisir

    Titre : L’accroissement mathématique du plaisir
    Auteur : Catherine Dufour
    Nouvelles : Je ne suis pas une légende ; Le sourire cruel des trois petits cochons ; L’immaculée conception ; Vergiss mein nicht ; La lumière des elfes ; Rhume des foins ; Le jardin de Charlith ; Mater Clamorosum ; Confession d’un mort ; Valaam ; Le cygne de Bukowski ; Kurt Cobain contre Dr No ; Une troll d’histoire ; La perruque du juge ; Le poème au carré ; L’accroissement mathématique du plaisir ; La liste des souffrances autorisées ; L’amour au temps de l’hormonothérapie génique ; Un soleil fauve sur l’oreiller ; Mémoires mortes ; Un temps chaud et lourd comme une paire de seins
    Éditeur : Le Bélial / Folio SF
    Date de publication : 2008 / 2011
    Récompenses : Grand Prix de l’Imaginaire pour « L’immaculée conception » (catégorie nouvelle)

    Synopsis : Science-fiction, fantastique et fantasy… Catherine Dufour aborde l’ensemble de ces domaines avec un égal bonheur et s’affirme ici comme une nouvelliste de tout premier plan. Au programme: des préfaces signées Richard Comballot et Brian Stableford, vingt récits dont sept inédits, une postface de Catherine Dufour, un entretien, une bibliographie exhaustive.

    Note 4.0

    C’est marrant, plus on est pauvre, plus on doit se farcir d’incitation à dépenser. Ne jamais subir de pub est un signe extérieur de richesse. (Mémoires mortes)

    De Catherine Dufour, je n’avais jusqu’à présent expérimenté que deux ou trois nouvelles disséminées ici et là dans quelques anthologies. L’auteur a pourtant su s’imposer depuis plusieurs années, au point de figurer aujourd’hui parmi les auteurs incontournables des littératures de l’imaginaire. J’ai donc entrepris il y a peu de combler mon ignorance grâce à cet « Accroissement mathématique du plaisir », et quelle lecture !

  • Dimension de capes et d’esprits, tome 2

    Dimension de capes et d'esprits tome 2

    Titre : Dimension de capes et d’esprits, tome 2
    Anthologiste : Eric Boissau
    Auteur : Jean-Michel Archaimbault (« Les Cométaires d’Aurigalle ») ; Jacques Baudou (« Lagardère et la Chasse Galerie ») ; Jean-Michel Calvez (« Traverso ») ; Fabien Clavel (« Une aventure de Don Juan ») ; Lionel Davoust (« Les Questions dangereuses ») ; Micah Harris (« La Papesse d’Avignon ») ; Michel Pagel (« Dans la Lumière, Je viendrai ») ; Xavier Penin (« Cent Âmes pour un roi ») ; John Shirley (« Les deux panaches de Cyrano »)
    Éditeur : Rivière blanche
    Date de publication : 2011

    Synopsis : Dans ce deuxième volume plein d’aventure, d’action, et de mystère de « Dimension de capes et d’esprits », vous découvrirez le fantastique résultat de mystérieuses expériences alchimiques conduites sous Louis XV ; vous retrouverez des héros fabuleux tels Lagardère, D’Artagnan, Cyrano de Bergerac, et Solomon Kane, de diaboliques vilains tels le Cardinal de Richelieu, le sorcier Alcandre et la superbe Fausta, et même le grand séducteur Don Juan confronté à l’Éternel ; vous lirez une lettre d’outre-tombe, entendrez une musique qui adoucit les meurtres et assisterez à la naissance et la mort des Rois…

    Note 2.5

    Il frissonne, et ça n’est plus seulement de froid. Il a peur, peur de les rejoindre, peur que le grand froid ne le rattrape et le fige lui aussi dans sa gangue jusqu’à ce qu’il ne soit plus qu’une viande avariée de plus parmi des milliers d’autres. Des milliers de corps roidis, anonymes, et que les deux partis viendront rechercher demain, chacun ses morts, juste reconnaissables à leur uniforme, afin de les enterrer dans une immense fosse commune. Mais il ne veut pas en être, il ne veut pas y être, dans la fosse commune, dévoré vivant par les vers, les seuls grands gagnants de l’affrontement. Pas lui, non. (Jean-Michel Calvez, Traverso)

  • Keith me

    Keith me

    Titre : Keith me
    Auteur : Amanda Sthers
    Éditeur : Stock (La Bleue)
    Date de publication : 13 mars 2008

    Synopsis : Keith. Keith. Keith Richards. Oui, je suis ce visage étouffé de rides, criblé des chemins qu’il n’a pas choisis, des vies qu’il a prises dans le ventre. Oui, je suis cet homme comme je suis les femmes qu’il a aimées. Oui, je sens son chagrin et j’aime son sourire. Mille fois Mick m’a serrée dans ses bras. Mais c’est Keith que je regardais par-dessus son épaule. Keith penché sur sa guitare. Les Rolling Stones à fond dans ma voiture, la main d’un garçon qui remonte sur ma cuisse. Les Stones dans le salon, je cours derrière mon frère et ma soeur. Le disque saute un peu. Papa chante par-dessus. Les Stones sur la guitare de mon frère. Le poster des Stones dans ma chambre. La langue rose que je tire devant le miroir. Angie qui couvre mon chagrin. Pourquoi on se penche sur un être ? Pourquoi on tombe amoureux ? Comme ça… Pour toutes les raisons du monde, à cause de nos putains de cerveaux malades. Mais on tombe. On se relève parfois, les genoux écorchés. Keith ne m’a jamais fait mal. On a eu du chagrin tous les deux. Il m’a fait faire des choses que je n’aurais pas osé faire seule.

    Note 1.5

    J’ai bientôt trente ans. Ce soir, j’ai mes règles. Je prends le risque que du sang me coule entre les cuisses. Je suis Keith Richards. J’ai dépucelé des filles. Je connais la chaleur du sang entre les cuisses. Je pense que j’ai une grande queue. J’ai une gueule à avoir une grande queue fatiguée.

    ♫ Keith me, as you love me, prenez un coca et asseyez-vous là.
    Keith me, as you love me, fermez les yeux, écoutez-moi. ♫
    Avec Keith me, Amanda Sthers semble voguer entre deux eaux dans lesquelles elle aime naviguer : le récit autobiographique et la biographie plus ou moins romancée de stars de la musique (encore Johnny Hallyday, dernièrement).

  • Lennon

    Lennon Foenkinos

    Titre : Lennon
    Auteur : David Foenkinos
    Éditeur : Plon (Miroir)
    Date de publication : 21 octobre 2010

    Synopsis : Après une enfance terrible, une plongée précoce dans l’immense célébrité, sa rencontre décisive avec Yoko Ono, des années d’errance et de drogue, John Lennon a décidé d’interrompre sa carrière en 1975, à l’âge de 35 ans, pour s’occuper de son fils Sean. Pendant cinq années, à New York, il s’est retiré de la vie médiatique et n’a pas sorti d’album. C’est durant cette période qu’il a pris le temps de réfléchir à la folie de son parcours. Jusqu’à ce que le fil de son existence soit brutalement interrompu, le 8 décembre 1980, jour de son assassinat par un déséquilibré.
    Imaginant les confessions du créateur des Beatles et s’emparant d’une période méconnue de sa vie, David Foenkinos dresse un portrait intime et inédit de John Lennon.

    Note 4.0

    J’ai pensé que j’allais devenir un monstre de foire enfermé à jamais dans le costume Beatles. Qui sait ? C’est peut-être ce qui se passera. On se retrouvera là-bas, tous les quatre avec des cheveux blancs. Ou chauves. On sera quatre vieux dans le vent.

    Comme son idole en 1971, David Foenkinos « imagine ». Il imagine un témoignage poignant de John Lennon sous forme de séances chez le psy au cours des cinq années où celui-ci s’est retiré de la vie médiatique et où il n’a produit aucun nouvel album.