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Le protectorat de l’ombrelle, tome 1 : Sans âme
Titre : Sans âme
Cycle : Le protectorat de l’ombrelle, tome 1
Auteur : Gail Carriger
Éditeur : Orbit
Date de publication : 2011Synopsis : Alexia Tarabotti doit composer avec quelques contraintes sociales. Primo, elle n’a pas d’âme. Deuxio, elle est toujours célibataire et fille d’un père italien, mort. Tertio, elle vient de se faire grossièrement attaquer par un vampire qui, défiant la plus élémentaire des politesses, ne lui avait pas été présenté. Que faire ? Rien de bien, apparemment, car Alexia tue accidentellement le vampire. Lord Maccon – beau et compliqué, Écossais et loup-garou à ses heures – est envoyé par la reine Victoria pour enquêter sur l’affaire. Des vampires indésirables s’en mêlent, d’autres disparaissent, et tout le monde pense qu’Alexia est responsable. Découvrira-t-elle ce qui se trame réellement dans la bonne société londonienne ? Qui sont vraiment ses ennemis, et aiment-ils la tarte à la mélasse ?
-Pourquoi faites-vous ça tout le temps ?
-Quoi donc, mademoiselle Tarabotti ?
-M’exclure comme si j’étais une enfant. Est-ce que vous réalisez que je pourrais vous être utile ?
-Vous voulez dire que vous pourrez causer des problèmes légalement au lieu de nous empoisonner tout le temps ? -
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Saga, tome 1
Titre : Saga
Série : Saga, tome 1
Scénariste : Brian K. Vaughan
Dessinateur : Fiona Staples
Éditeur : Urban Comics (Urban Indies)
Date de publication : 2013Synopsis : Un univers sans limite, peuplé de tous les possibles. Une planète, Clivage, perdue dans la lumière froide d’une galaxie mourante. Sur ce monde en guerre, la vie vient déclore. Deux amants que tout oppose, Alana et Marko, donnent naissance à Hazel, un symbole d’espoir pour leurs peuples respectifs. L’espoir, une idée fragile qui devra s’extraire du chaos de Clivage pour grandir, sépanouir et conquérir l’immensité du cosmos.
Je m’appelle Hazel. Au début je n’étais qu’une idée, mais je suis devenue plus que ça. Guère davantage, à vrai dire. Je ne me suis pas non plus transformée en grande héroïne de guerre ou en sauveur tout puissant. Mais grâce à ces deux là j’ai au moins pu devenir adulte. Ce qui n’est pas le cas de tout le monde.
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Supergirl, tome 1 : La dernière fille de Krypton
Titre : La dernière fille de Krypton
Série : Supergirl, tome 1
Scénaristes : Michael Green et Mike Johnson
Dessinateur : Ahmud Asrar
Éditeur : Urban Comics (DC Renaissance)
Date de publication : 7 juin 2013Synopsis : Kara Zr-El était hier encore une jeune fille habitant sur Krypton avec sa famille et ses proches. Aujourd’hui, elle se réveille sur Terre et découvre que son cousin n’est plus le bébé qu’elle connaissait, mais un adulte à la puissance colossale qui plus est. Traquée, désorientée, tentant de maîtriser ses nouveaux pouvoirs, elle va devoir choisir entre dominer ou sauver l’humanité en tant que Supergirl !
Je crie, mais aucun son ne sort. Je pleure, mais il n’y a pas de larmes. Ma chair brûle, mais il n’y a pas de flammes. Tout ce qu’il y a… tout ce que je sens… c’est la douleur.
J’ai un faible pour les belles héroïnes bien écrites et vraiment héroïques, alors autant dire qu’avec cette Supergirl, nous pouvons espérer être servis. Supergirl ! Un nom qui ne casse pas des briques, c’est vrai, faisant vraiment trop « girly », mais qui peut signifier le cruel besoin de redorer le blason d’un personnage rarement bien mis en valeur.
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Avant toi
Titre : Avant toi (Me Before You)
Auteur : Jojo Moyes
Éditeur : Milady
Date de publication : 22 mars 2013 (2012 en VO chez Penguin)Synopsis : Quand Lou apprend que le bar où elle est serveuse depuis des années, met la clé sous la porte, c’est la panique. En pleine crise, dans ce trou paumé de l’Angleterre, elle se démène pour dégoter un job qui lui permettra d’apporter à sa famille le soutien financier nécessaire. On lui propose un contrat de six mois pour tenir compagnie à un handicapé. C’est alors que la jeune femme découvre Will, un jeune tétraplégique qui rêve de mettre fin à ses jours. Lou n’a que quelques mois pour le faire changer d’avis.
Dites-moi quelque chose qui fait du bien.
Un roman d’amour, je n’y suis pas habitué ; Jojo Moyes, je ne connais pas ; de la littérature anglaise, je suis loin d’être contre. C’est donc la curiosité qui m’a, avant tout, porté vers la lecture d’Avant Toi. Merci évidemment à Babelio, via ses opérations Masse Critique, et aux éditions Bragelonne (dont j’adore particulièrement les publications de fantasy), via leur label Midaly, de m’avoir permis de découvrir les épreuves non corrigées de ce roman salué par les critiques outre-Manche.
Autant le dire tout de suite : je n’ai pas accroché. Et j’ai réfléchi longtemps avant de me convaincre de publier cette critique négative.
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Apprendre à finir
Titre : Apprendre à finir
Auteur : Laurent Mauvignier
Éditeur : Les Editions de Minuit
Date de publication : 2000
Récompenses : Prix Wepler 2000, Prix du Livre Inter 2001 et Prix du deuxième roman 2001.Synopsis : Suite à l’accident de son mari, une femme décide de le reconquérir, de profiter de sa convalescence pour tout recommencer… alors que la partie est définitivement perdue. Un roman superbe sur la « schizophrénie » de la douleur amoureuse.
Pourquoi tu ne dis pas : je sais, je sais bien que nous deux c’est perdu. C’est si dure que ça, dire ça, quand on est un homme ? Mais moi, est-ce que je pourrais te dire ça à toi ? Avec mes mots qui ne te touchent jamais, dis, puisque de moi rien ne te touche, maintenant, ni mes paroles, ni mes mains..
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Danse macabre
Titre : Danse macabre
Auteur : Jesse Bullington
Éditeur : Panini (collection Éclipse)
Date de publication : 2013Synopsis : Alors que les bûchers de l’Inquisition embrasent l’Europe, une jeune esclave africaine, Awa, se voit forcée de devenir l’apprentie dun nécromancien. Après que celui-ci l’a affligée dune effroyable malédiction, elle découvre que son salut réside, peut-être, dans un grimoire que son professeur a caché quelque part au cur de ce continent en proie à la guerre et à la superstition. Au cours de sa quête, elle rencontrera le peintre Niklaus Manuel Deutsch, un alchimiste nommé Paracelse et une mercenaire néerlandaise amatrice darmes à feu, sans se douter que le destin de ces trois étrangers est inextricablement lié au sien. Et tandis que Manuel décore toiles et murs déglise des scènes de sa macabre aventure, Awa comprendra peu à peu que la mort est le cadet de ses soucis…
Je ne suis pas une sorcière. Ou peut-être que si. Lui préférait le terme de « nécromancien », mais je crois comprendre qu’il n’y a guère de différence entre les deux. Bruja, thaumaturge, magicienne, enchanteresse, sorcière nécromancienne, démoniste, c’est du pareil au même : je sais ranimer les morts, et je sais leur ordonner d’accomplir ma volonté. Je sais parlementer avec les esprits, les démons, et je peux tuer n’importe quel être vivant d’un simple contact.
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Kingsley : La Montagne des Dieux
Titre : Kingsley : La Montagne des Dieux
Scénaristes : Christian Clot, Guillaume Dorison et Esteban Mathieu
Dessinateur : Julien Telo
Éditeur : Glénat (collection Explora)
Date de publication : 2012Synopsis : Lorsqu’elle débarque en Angola au milieu de l’année 1893, Mary Kingsley n’a connu que trois choses : son quartier de Londres qu’elle n’a jamais quitté, sa mère malade dont elle s’est occupée et les écrits de voyages africains d’un père toujours absent. Pourtant, à la mort de ses deux parents, elle embarque aussitôt pour une Afrique où sauvagerie, violence et horreur se côtoient selon les récits des explorateurs. Une Afrique dont elle ne connaît rien, mais qui lui a volé son père ! Elle est venue pour mourir. Ce qu’elle va vivre lui en coupe l’envie ! Dans la forêt tropicale, sur des fleuves ou des montagnes, elle apprendra les rudiments de la survie en milieu hostile, rencontrera des tribus « cannibales et sauvages » pourtant si riches, et ira plus loin que nul n’a encore été. Au travers du regard d’une femme qui deviendra l’avocate infatigable du mode de vie africain, ce voyage, parfois au cœur de l’enfer, est un hymne aux échanges culturels et à la tolérance.
– Une femme telle que moi devrait être une parfaite maîtresse de maison et satisfaire son mari en toute circonstance. Tout le monde a des préjugés. Pour ma part, je vous considérais comme des êtres inférieurs, le fardeau de l’homme blanc.
– Et quel est votre avis sur la question désormais?
– Que c’est le fardeau de l’homme noir qu’il faudrait célébrer. -
Gloriana ou la reine inassouvie
Titre : Gloriana ou la reine inassouvie
Auteur : Michael Moorcock
Éditeur : L’Atalante
Date de publication : 2009 (1978 pour la version originale)
Récompenses : World Fantasy Award 1979 du meilleur romanSynopsis : En ce nouvel âge d’or, Gloriana règne sur Albion et son empire. Si la Cour vit au rythme de la reine, le gouvernement repose sur le chancelier Montfallcon et son réseau d’espions et d’assassins. Parmi eux, l’énigmatique et redoutable capitaine Quire. Et tandis que la reine de vertu languit dans son palais creusé de souterrains mystérieux, Quire, le prince du vice, trame dans l’ombre l’écheveau complexe de ses intrigues… Albion n’est pas l’Angleterre, Londres n’est plus dans Londres et le monde de la Renaissance a changé ; de même Gloriana n’est pas Elisabeth Ire. Pourtant… Uchronie fantastique, étrange et brillante, conte de fées cruel et pervers, Gloriana occupe une place à part dans l’œuvre de Michael Moorcock ; l’auteur y a consacré sa plume la plus chatoyante.
Il est de notre devoir de renoncer aux anciennes pratiques de l’âge de fer. Vous tous ici n’en êtes-vous pas convaincus ? Bien sûr que si, messieurs, je le sais. C’est le rêve que nous partageons tous. Nous montrons au monde entier la voie qui ramène à la vraie chevalerie. Nous combattons l’injustice, l’immoralité, la cruauté et la tyrannie. Une action vile de la part d’Albion, et la structure s’effrite, le rêve s’écroule. Je suis votre Gloriana, votre reine, votre conscience et votre foi. Je vous rappelle un devoir que je n’ai pas oublié.
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Women in chains
Titre : Women in chains
Auteur : Thomas Day
Nouvelles : La ville féminicide ; Eros-center ; Tu ne laisseras point vivre ; Nous sommes les violeurs ; Poings de suture
Éditeur : ActuSF
Date de publication : 2012Synopsis : Mexique : Juárez. La ville monstre dévore ses femmes. Leurs souffrances et leur sang nourrissent des cauchemars si anciens que la mémoire des hommes les a oblitérés. Allemagne : Un eros-center. Cinq étages sans ascenseur, plaisir hâté pour luxure tarifée. La romance qui naîtrait dans ces murs ne pourrait que se poursuivre dans la folie et la violence. Groenland : L’hiver est le dernier refuge de Cassandra. La désolation glacée pour couver l’oubli. L’oubli de soi et du pouvoir de trop en voir. Afghanistan : Mercenaires et touristes. En mission, mystiques, égarés. Nous sommes les violeurs. Nous sommes les libérateurs. France : Les poings qui vengent, les pistons qui rendent les coups. Tous les coups silencieux de la lâcheté des hommes. La revanche extraordinaire sur la violence ordinaire.Une petite pentalogie des violences faites aux femmes
Les visages des disparues de Ciudad Juarez, « les mortes de Juarez » comme on les surnomme, sont imprimés sur des tracs, des affichettes, dans les journaux, les petites annonces… De nombreux corps, un sur dix environ, ne sont jamais retrouvés. Tu sais pourquoi… Tu entends ce bruit? Il est insupportable non? En robes blanches, écharpes roses au cou, les mères crient : « NI UNA MAS! » et dès le lendemain je leur réponds : « UNA MAS! » (La ville féminicide)
![CARRIGER-1_Sans_Ame_v1[1]](http://bibliocosme.files.wordpress.com/2013/08/carriger-1_sans_ame_v11.png?resize=198%2C320)




![panini230-2013[1]](http://bibliocosme.files.wordpress.com/2013/07/panini230-20131.jpg?resize=232%2C350)
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![atalante883-2009[1]](http://bibliocosme.files.wordpress.com/2013/08/atalante883-20091.jpg?resize=253%2C350)
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