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  • Danse macabre

    panini230-2013[1]

    Titre : Danse macabre
    Auteur : Jesse Bullington
    Éditeur : Panini (collection Éclipse)
    Date de publication : 2013

    Synopsis : Alors que les bûchers de l’Inquisition embrasent l’Europe, une jeune esclave africaine, Awa, se voit forcée de devenir l’apprentie d’un nécromancien. Après que celui-ci l’a affligée d’une effroyable malédiction, elle découvre que son salut réside, peut-être, dans un grimoire que son professeur a caché quelque part au cœur de ce continent en proie à la guerre et à la superstition. Au cours de sa quête, elle rencontrera le peintre Niklaus Manuel Deutsch, un alchimiste nommé Paracelse et une mercenaire néerlandaise amatrice d’armes à feu, sans se douter que le destin de ces trois étrangers est inextricablement lié au sien. Et tandis que Manuel décore toiles et murs d’église des scènes de sa macabre aventure, Awa comprendra peu à peu que la mort est le cadet de ses soucis…

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    Je ne suis pas une sorcière. Ou peut-être que si. Lui préférait le terme de « nécromancien », mais je crois comprendre qu’il n’y a guère de différence entre les deux. Bruja, thaumaturge, magicienne, enchanteresse, sorcière nécromancienne, démoniste, c’est du pareil au même : je sais ranimer les morts, et je sais leur ordonner d’accomplir ma volonté. Je sais parlementer avec les esprits, les démons, et je peux tuer n’importe quel être vivant d’un simple contact.

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  • Kingsley : La Montagne des Dieux

    kingsley[1]

    Titre : Kingsley : La Montagne des Dieux
    Scénaristes : Christian Clot, Guillaume Dorison et Esteban Mathieu
    Dessinateur : Julien Telo
    Éditeur : Glénat (collection Explora)
    Date de publication : 2012

    Synopsis : Lorsqu’elle débarque en Angola au milieu de l’année 1893, Mary Kingsley n’a connu que trois choses : son quartier de Londres qu’elle n’a jamais quitté, sa mère malade dont elle s’est occupée et les écrits de voyages africains d’un père toujours absent. Pourtant, à la mort de ses deux parents, elle embarque aussitôt pour une Afrique où sauvagerie, violence et horreur se côtoient selon les récits des explorateurs. Une Afrique dont elle ne connaît rien, mais qui lui a volé son père ! Elle est venue pour mourir. Ce qu’elle va vivre lui en coupe l’envie ! Dans la forêt tropicale, sur des fleuves ou des montagnes, elle apprendra les rudiments de la survie en milieu hostile, rencontrera des tribus « cannibales et sauvages » pourtant si riches, et ira plus loin que nul n’a encore été. Au travers du regard d’une femme qui deviendra l’avocate infatigable du mode de vie africain, ce voyage, parfois au cœur de l’enfer, est un hymne aux échanges culturels et à la tolérance.

    big_3.5

    – Une femme telle que moi devrait être une parfaite maîtresse de maison et satisfaire son mari en toute circonstance. Tout le monde a des préjugés. Pour ma part, je vous considérais comme des êtres inférieurs, le fardeau de l’homme blanc.
    – Et quel est votre avis sur la question désormais?
    – Que c’est le fardeau de l’homme noir qu’il faudrait célébrer.

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  • Gloriana ou la reine inassouvie

    atalante883-2009[1]

    Titre : Gloriana ou la reine inassouvie
    Auteur : Michael Moorcock
    Éditeur : L’Atalante
    Date de publication : 2009 (1978 pour la version originale)
    Récompenses : World Fantasy Award 1979 du meilleur roman

    Synopsis : En ce nouvel âge d’or, Gloriana règne sur Albion et son empire. Si la Cour vit au rythme de la reine, le gouvernement repose sur le chancelier Montfallcon et son réseau d’espions et d’assassins. Parmi eux, l’énigmatique et redoutable capitaine Quire. Et tandis que la reine de vertu languit dans son palais creusé de souterrains mystérieux, Quire, le prince du vice, trame dans l’ombre l’écheveau complexe de ses intrigues… Albion n’est pas l’Angleterre, Londres n’est plus dans Londres et le monde de la Renaissance a changé ; de même Gloriana n’est pas Elisabeth Ire. Pourtant… Uchronie fantastique, étrange et brillante, conte de fées cruel et pervers, Gloriana occupe une place à part dans l’œuvre de Michael Moorcock ; l’auteur y a consacré sa plume la plus chatoyante.

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    Il est de notre devoir de renoncer aux anciennes pratiques de l’âge de fer. Vous tous ici n’en êtes-vous pas convaincus ? Bien sûr que si, messieurs, je le sais. C’est le rêve que nous partageons tous. Nous montrons au monde entier la voie qui ramène à la vraie chevalerie. Nous combattons l’injustice, l’immoralité, la cruauté et la tyrannie. Une action vile de la part d’Albion, et la structure s’effrite, le rêve s’écroule. Je suis votre Gloriana, votre reine, votre conscience et votre foi. Je vous rappelle un devoir que je n’ai pas oublié.

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  • Women in chains

    34342[1]

    Titre : Women in chains
    Auteur : Thomas Day
    Nouvelles : La ville féminicide ; Eros-center ; Tu ne laisseras point vivre ; Nous sommes les violeurs ; Poings de suture
    Éditeur : ActuSF
    Date de publication : 2012

    Synopsis : Mexique : Juárez. La ville monstre dévore ses femmes. Leurs souffrances et leur sang nourrissent des cauchemars si anciens que la mémoire des hommes les a oblitérés. Allemagne : Un eros-center. Cinq étages sans ascenseur, plaisir hâté pour luxure tarifée. La romance qui naîtrait dans ces murs ne pourrait que se poursuivre dans la folie et la violence. Groenland : L’hiver est le dernier refuge de Cassandra. La désolation glacée pour couver l’oubli. L’oubli de soi et du pouvoir de trop en voir. Afghanistan : Mercenaires et touristes. En mission, mystiques, égarés. Nous sommes les violeurs. Nous sommes les libérateurs. France : Les poings qui vengent, les pistons qui rendent les coups. Tous les coups silencieux de la lâcheté des hommes. La revanche extraordinaire sur la violence ordinaire.Une petite pentalogie des violences faites aux femmes

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    Les visages des disparues de Ciudad Juarez, « les mortes de Juarez » comme on les surnomme, sont imprimés sur des tracs, des affichettes, dans les journaux, les petites annonces… De nombreux corps, un sur dix environ, ne sont jamais retrouvés. Tu sais pourquoi… Tu entends ce bruit? Il est insupportable non? En robes blanches, écharpes roses au cou, les mères crient : « NI UNA MAS! » et dès le lendemain je leur réponds : « UNA MAS! » (La ville féminicide)

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  • The Walking Dead, tome 2 : La route de Woodbury

    WD---La-Route-de-Woodbury[1]

    Titre : La route de Woodbury
    Cycle : The Walking Dead, tome 2
    Auteurs : Robert Kirkman et Jay Bonansinga
    Éditeur : Le Livre de Poche
    Date de publication : 2012

    Synopsis : Quand l’’invasion zombie a dressé les vivants contre les morts, Lilly Caul a fui la banlieue d’’Atlanta. D’’abris de fortune en campements improvisés, elle essaie à présent de survivre. Mais les zombies sont de plus en plus nombreux, et leur appétit pour la chair est sans limites. Terrorisée, Lilly trouve refuge dans une ville fortifiée connue sous le nom de Woodbury. De prime abord, c’’est un parfait havre de paix : les habitants troquent de la nourriture contre des services, les barricades sont solides et le mystérieux leader qu’’on appelle Philip Blake veille sur les citoyens. Pourtant, Lilly commence à douter : Blake veut qu’’on l’’appelle le Gouverneur, et ses idées sur la loi et la justice sont… déviantes. Avec une bande de rebelles, elle ouvre la boîte de Pandore et défie le Gouverneur. La route de Woodbury se transforme alors en autoroute pour l’’enfer.

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    Lilly regarde au loin la foule qui se déverse dans l’arène. L’espace d’un instant, elle se remémore avec angoisse des scènes de vieux films d’horreur, de foules de villageois armés de torches et de fourches se ruant sur le château de Frankenstein pour faire couler le sang du monstre. Elle se rend compte qu’ils sont tous devenus des monstres à présent. Tous. Elle compris. Que Woodbury est devenue une monstruosité.

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  • Gueule de Truie

    CVT_Gueule-de-Truie_8412[1]

    Titre : Gueule de truie
    Auteur : Justine Niogret
    Éditeur : Critic
    Date de publication : 2013

    Synopsis : Gueule de Truie est un inquisiteur, envoyé en mission par les Pères de l’Église après l’apocalypse. Ces gens sont persuadés que la fin des temps a été envoyée par Dieu lui-même, et que la Terre est morte. Leur but? Détruire le peu qui reste afin de, une bonne fois pour toutes, tourner la page de l’humanité. A leur service, Gueule de Truie, caché derrière le masque qui lui donne son nom, trouve les poches de résistance et les détruit les unes après les autres. Un jour, pourtant, il croise la route d’une fille qui porte une boîte étrange, pleine de… pleine de quoi, d’abord? Et pourquoi parle-t-elle si peu? Où va-t-elle, et pourquoi prend-elle le risque de parcourir ce monde mort?

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    La fille est assise par terre, les deux mains au sol, le bas du visage brouillé de sang. Gueule de Truie lui tend la main et comprend, et ce qu’il cherchait lui, et ce que doit entendre la fille.
    -Je ne voulais pas être le seul à avoir mal.
    La fille lève les yeux sur lui. Elle le regarde d’en dessous, entre ses cheveux. Il lui tend toujours la main. Un peu de sang coule encore de son nez à elle, qui tombe sur son menton. La fille bouge les lèvres, les ouvre. Les referme. Elle semble hésiter.
    -Je ne voulais pas être seul, fait encore Gueule de Truie.
    Elle secoue la tête. Plus pour reprendre ses esprits que pour dire non, il le sent. Il se force à ne rien ressentir quand la paume de la fille se pose dans la sienne. Il se force et n’y parvient pas.

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  • Les reines pourpres, tome 2 : Les larmes de Brunehilde

    reines-pourpres2[1]

    Titre : Les larmes de Brunehilde
    Cycle : Les reines pourpres, tome 2
    Auteur : Jean-Louis Fetjaine
    Éditeur : Pocket
    Date de publication : 2007

    Synopsis : Printemps 570. Attaqués par les Lombards, ravagés par la peste, les royaumes francs sont sur le point d’affronter un péril plus mortel encore : la haine de deux femmes, l’ambition de deux rois. Chilpéric, roi de Soissons, a fait assassiner sa femme pour offrir le trône à sa concubine Frédégonde, à qui il appartient corps et âme. Mais la reine assassinée était la sœur de la redoutable Brunehilde, épouse du frère aîné de Chilpéric, Sigebert. Pour assouvir sa vengeance, Sigebert se lance dans une guerre sans merci contre le royaume de son frère. Appuyées par les hordes de barbares saxons venues d’outre-Rhin, ses armées semblent invincibles. Mais, au moment où tout semble perdu pour Chilpéric et Frédégonde, l’intervention des évêques de Gaule et du roi de Bourgogne, Gontran, les préserve de l’anéantissement. La paix rudement négociée ne durera que quelques mois. Une nouvelle guerre va commencer, qui ravagera le pays pendant près de cinquante ans et que Frédégonde, reine des poisons, mènera à sa manière… p>

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    Ma gorge se noue et voici que je pleure… Seigneur, ça ne m’était pas arrivé depuis si longtemps ! C’est bien. Il faut que je pleure, puisque ma vie fut triste. Que je pleure toute l’eau de mon corps. Ainsi, devant mes ennemis, je ne verserai pas une larme.

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  • Les reines pourpres, tome 1 : Les voiles de Frédégonde

    les-reines-pourpres---volume-1,-les-voiles-de-fredegonde-37440-250-400[1]

    Titre : Les voiles de Frédégonde
    Cycle : Les reines pourpres, tome 1
    Auteur : Jean-Louis Fetjaine
    Éditeur : Pocket
    Date de publication : 2006

    Synopsis : Née esclave, Frédégonde était destinée à devenir courtisane dans un village gaulois. Mais un abbé la place servante chez l’un des fils de Clotaire, roi des Francs. Très vite, la jeune femme découvre la cour mérovingienne et devient la confidente d’Audowère, l’épouse du fils cadet de Clotaire. Novembre 561, le roi meurt. Ses quatre fils se partagent le royaume. L’impulsif Chilpéric se débarasse d’Audowère et prend Frédégonde pour maîtresse. Son frère Sigebert, lui, chef de guerre talentueux respecté de tous, épouse Brunehilde, la fille du roi wisigoth d’Espagne, aussi belle qu’instruite. Chilpéric, à la fois ébloui par cette alliance prestigieuse et rongé par la jalousie, décide alors d’épouser la soeur de Brunehilde. Mais Frédégonde n’est pas de celles que l’on peut impunément délaisser…

    big_3.5

    Je ne sais ce que sera ta vie mon pauvre petit. Nos ennemis sont si nombreux, si puissants, si triomphants alors que tu n’as plus rien, hormis le nom que tu portes et l’espoir de ta lignée. Je prie pour qu’ils te laissent vivre, même pauvre, même asservi. Tu ne le seras jamais autant que je le fus. Tant que tu vis tout reste possible. Cela ne dépend que de toi. Tu peux réussir et forger toi même ton destin. C’est ce que je fis. On me le reprocha assez, mais à voix basse, loin de ma vue, car on me craignait.

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  • American Vampire Legacy, tome 1 : Sélection naturelle

    American-Vampire-Legacy-01

    Titre : Sélection naturelle (Survival of the finnest)
    Série : American Vampire Legacy, tome 1
    Scénariste : Scott Snyder
    Dessinateur : Sean Murphy
    Éditeur : Urban Comics
    Date de publication : 27 avril 2012 (2011 en VO, chez Vertigo)

    Synopsis : En 1941, Cash McCoogan et Felicia Book, membres de l’organisation anti-vampires des « Vassaux de Vénus », bravent le danger et traversent les lignes ennemies dans une Roumanie occupée par les nazis, afin de trouver un remède contre le vampirisme découvert par un savant. Mais le chercheur est entre les mains des prédateurs nocturnes ralliés au IIIe Reich.

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    Il y a un monde caché au-delà des ombres. Des monstres se dissimulent parmi nous. Et pour s’en rendre compte, il suffit d’ouvrir grand les yeux.

    J’avais prévu dès sa sortie de me laisser tenter par cette édition d’American Vampire Legacy, version Urban Comics (dans la première année de publication !), et ce n’est que quelques mois après que j’ai cédé pour avoir enfin le plaisir d’en découvrir le tome 1 : Sélection naturelle (Survival of the Finnest en version originale).

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  • L’héritage et autres nouvelles

    87931206_o[1]

    Titre : L’héritage et autres nouvelles
    Auteur : Robin Hobb/Megan Lindholm
    Nouvelles : Une note de lavande ; La Dame d’argent et le Quadragénaire ; Coupure ; Le cinquième chat écrasé ; Chats errants ; Finis ; Boite à rythme ; L’héritage ; Viande pour chat
    Éditeur : Pygmalion / J’ai Lu
    Date de publication : 2012 / 2013
    Récompenses : Prix des lecteurs Asimov’s 1990 pour « Une note de lavande »

    Synopsis : Dans l’une de ces nouvelles, de riches Terrilvilliennes côtoient des vampires, des musiciens extraterrestres, des mendiants et des chats. Dans une autre, une femme, écrivain en herbe, gagne chichement sa vie dans une librairie et s’ennuie. Un jour, un homme entre dans le magasin et va bouleverser son existence. Son nom ? Merlin… Tout l’univers de la grande Dame de la fantasy est réuni dans ce superbe recueil.

    big_4

    Nous serions bientôt tous trois libérés des entraves du monde. Nous marcherions tête nue sous le ciel bleu vif de l’automne, au milieu des feuilles mortes chassées par le vent. Le printemps naîtrait sous nos pieds ; nous verrions le Grand Canyon, traverserions la Vallée de la Mort. Les frimas de l’hiver nous glaceraient, mais les règles de l’homme, du travail, de l’argent et des lois mesquines ne nous contraindraient plus. Enfin la liberté de voir le monde par des yeux que n’encombraient plus les horaires ni les obligations, comme les dieux antiques, comme les fées des légendes. (Le cinquième chat écrasé)

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