-
L’Ordre du Labyrinthe
Titre : L’ordre du Labyrinthe
Auteur : Lisa Goldstein
Éditeur : Les Moutons Électriques
Date de publication : 2018 (janvier)Synopsis : Étudiant l’histoire de sa famille pendant qu’elle travaille comme intérimaire à San Francisco, Molly Travers découvre qu’elle est la descendante de magiciens de cabaret qui faisaient de la véritable magie au dix-neuvième siècle, en compagnie d’un groupe d’occultistes nommé l’Ordre du Labyrinthe. Élevée par une grande-tante après que ses parents soient morts dans un accident de voiture, Molly apprend par le détective privé John Stow qu’elle possède une famille dont elle ne savait rien. Leur enquête va dévoiler les sombres mystères d’une société occulte. Histoire de famille et histoire secrète s’avèrent tissées étroitement ensemble.
…
-
Amaz
Titre : Amaz
Auteur : Lisa Goldstein
Éditeur : Hélios (Les Moutons Électriques)
Date de publication : 2017 (septembre)Synopsis : Pour le Dr. Mitchell Parmenter, orientaliste américain venu passer un an dans la cité d’Amaz pour y étudier une ancienne épopée dont il a retrouvé le manuscrit, comme pour son épouse et ses deux filles, c’est un séjour plein de promesses qui s’annonce. Presque des vacances. Mais Amaz, où s’interpénètrent l’univers magique des Mille et une nuits et le climat conflictuel du Moyen-Orient contemporain, n’est pas une ville de tout repos. Les rues semblent y changer de tracé d’un jour à l’autre, les nouvelles se transmettent par l’intermédiaire de jeux de cartes divinatoires, une guerre séculaire y oppose secrètement les partisans de deux types d’écriture… De touristes, les Parmenter deviennent explorateurs d’un monde encore plus étranger qu’ils ne l’imaginaient, puis protagonistes d’une quête dont l’enjeu est la texture même du réel.
Les touristes alimentaient la rue du 25-Novembre dans la monnaie d’Amaz, mais les brocanteurs disposaient d’une autre devise. Le soir, après la fermeture des boutiques, ils se rendaient les uns chez les autres, buvaient du café, du rhum, échangeaient des histoires. Presque chaque semaine survenait dans la rue un incident susceptible de donner lieu à une épopée. Dans le cas contraire, on en fabriquait un.
-
Zapping ciné novembre 2017
Un polar plutôt pas mal, un gros film bien balourd et une pépite pour ce premier zapping de novembre. Ne ratez pas le film de Gallienne et la formidable découverte qu’est Adeline D’Hermy !
-
Superman : Loïs et Clark
Titre : Loïs et Clark
Série : Superman
Scénariste : Dan Jurgens
Dessinateur : Lee Weeks
Éditeur : Urban Comics
Date de publication : 7 avril 2017Synopsis : Après avoir vu leur monde effacé de la réalité, suite aux événements de la Convergence, les Lois et Clark originels ont trouvé refuge sur la Terre de la Renaissance DC, un monde qui se méfie de son propre Superman. Se fondant dans la masse, Clark décide alors d’oeuvrer dans l’ombre, et Lois de poursuivre la lutte sous un nom de plume. Mais à l’heure où leur secret risque d’être éventé, leur fils Jonathan commence à avoir des doutes sur l’identité de ses parents… Est-il temps pour l’Homme d’Acier originel de se révéler au grand jour… ?
Il va falloir s’adapter.
Ils n’ont pas confiance en leur Superman, ce sera pareil pour moi. Ils ont essayé de me suivre. Si j’agis au grand jour… Ils me harcèleront jusqu’à ce qu’ils nous trouvent. Il faut qu’on reste cachés, devenir quelqu’un d’autre.Superman n’ayant pas eu très bonne réputation dans le reboot DC new 52 (Renaissance chez nous) de 2011, je me suis tenu bien loin de l’Homme d’Acier pendant ces quelques années, ainsi que de d’autres superhéros d’ailleurs. Il semblerait que l’éditeur a tenté de rattraper son coup avant l’arrivée de Rebirth. Loïs et Clark vient en effet se situer à l’intersection de ces deux reboot au moment de l’événement Convergence, lancé en 2015. Pour mieux introduire Loïs et Clark, rappelons que lors de cet événement, Brainiac a capturé une ville de chaque Terre du multivers DC et leurs héros se rencontrent donc immanquablement et doivent s’entretuer pour survivre. Tout cela paraît sans doute tarabiscoté, et il faut bien avouer que ça l’est. On finit par s’y perdre à moins d’avoir absolument tout suivi. Sans être pour autant vitale, la lecture de ce volume n’en permet pas moins de mieux comprendre le pourquoi du comment de Superman Rebirth.
-
Rois du monde, tome 2 : Chasse royale (partie 2)
Titre : Chasse royale, partie 2
Cycle : Rois du monde, tome 2
Auteur : Jean-Philippe Jaworski
Éditeur : Les Moutons Électriques
Date de publication : 2017 (juin)Synopsis : Après avoir défié toute l’armée rebelle pour couvrir la retraite du haut roi, j’ai fini par me rendre. Qu’est-ce qu’un captif, sinon un demi-mort ? Dans les deux camps, on le méprise pour sa faiblesse. Même si on ne le massacre pas de suite, on lui ôte l’essentiel de sa vie. Moi, on me retire mon mauvais cheval, on me soustrait mes dernières armes, on m’arrache mes bijoux, on m’entraîne vers la rivière avec rudesse. Je patauge bientôt sur la rive boueuse. On crie autour de moi, j’ai l’impression que personne ne sait vraiment ce qu’il faut faire. Je crains de plus en plus que n’arrive l’ordre de me noyer. La mort par l’eau, après tout, est une sentence que peuvent prononcer les rois comme les druides…
Peu de monde sait vraiment à quoi ressemble Aballo. On parle d’une rivière perdue, d’un vallon interdit, d’une région brumeuse où les distances sont floues ; certains prétendent que la place forte de Prittuse s’érige sur l’une des premières montagnes du pays éduen, d’autres jurent qu’il s’agit d’une île où fleurissent de merveilleux jardins. De très vieux mystères y abreuveraient la sève des arbres, et les fruits de ses vergers auraient la suavité des savoirs captieux. Le palais de Prittuse serait bâti sur un tertre immémorial, bien plus ancien que l’arrivée des Celtes et même que l’implantation du Vieux Peuple.
-
Superman Rebirth, tome 1 : Le Fils de Superman
Titre : Le Fils de Superman
Série : Superman Rebirth, tome 1
Scénaristes : Patrick Gleason, Peter Tomasi
Dessinateurs : Patrick Gleason, Doug Mahnke
Éditeur : Urban Comics
Date de publication : 7 juillet 2017Synopsis : À la mort du Superman de la Renaissance, l’esprit de vérité et de justice qu’il représentait a semblé disparaître avec lui. Mais un Homme d’Acier bien plus aguerri restait à l’affût, opérant dans l’ombre. Et il est grand temps pour ce protecteur d’une Metropolis parallèle de reprendre le flambeau, car l’Eradicator est en route pour la Terre, et aucune forme de vie ne semble pouvoir lui résister…
– Mais c’est quoi ce tee-shirt?
– Cool non? Je l’ai trouvé dans une friperie de la ville avec maman. Y a le « S » et tout dessus.
– Je vois ça. Tu portes l’emblème pour être qui? Superboy ?
– Non. Des tas de gens portent le symbole de Wonder Woman, voire de Batman…
– Je voulais simplement me sentir « super », comme toi.Parmi toute la pléiade de Comics DC qui ont commencé à rejoindre les étals de nos librairies préférées, il est à mon sens un point positif commun sur lequel on peut s’accorder: tous ont la bonne idée de nous attirer par de superbes couvertures. Tous? Non, parce que Superman Rebirth, si l’on se fie à ce seul premier aperçu, déçoit. Urban Comics a décidé d’y mettre en avant un personnage que nul ne connaît, même si l’on comprend évidemment au premier coup d’oeil de qui il va s’agir par la suite. Bref, l’attrait n’est pas si fort que pour les autres héros de Rebirth. C’est dommage, d’autant plus que ce premier volume des nouvelles aventures de Superman est de loin le meilleur de ce nouveau reboot jusqu’ici. Ce n’était pourtant pas gagné d’avance.
-
Quinze rounds
Titre : Quinze rounds
Auteur : Richard Bohringer
Éditeur : J’ai Lu
Date de publication : 10 mai 2017Synopsis : « J’ai passé ma vie sur la route. Tout seul. Avec la blonde. Avec mes fils, avec la musique, avec mes filles. Des milliers et des milliers de kilomètres. Coureur de savanes, enjambeur d’océans. T’as trop couru, t’as le souffle court. Les hanches, ça va toujours. Même si elles servent plus à grand-chose, elles ont le tempo pour écrire. Voilà ce que je ramène. Quinze rounds. Celui qui clôt. Qui ferme le rideau. » De l’enfance aux frasques de la jeunesse, des premiers rôles aux succès qui ont jalonné sa carrière, de la découverte de l’Afrique à la passion de l’écriture, Richard Bohringer se raconte dans ce récit au style enfiévré, au rythme syncopé. Tour à tour fulgurant et émouvant, entre coups de blues et coups de cœur, Quinze rounds est un combat qui se livre sous nos yeux en même temps qu’une déclaration d’amour à la vie.
Ma vie fut multicolore, multicoque. J’ai coulé corps et âme mille fois. J’ai raclé le fond. Je l’ai peint de mon sang, mais grâce au cinéma, à certains rôles, je suis remonté souvent. Cette fois-ci, c’est le dernier round. Le plus dur. J’ai trop voyagé ailleurs, j’ai trop vécu. Je n’ai pas pu rester sage. Il fallait que je vive pour dégueuler l’acteur. Ce métier ne pouvait calmer ma fureur de mourir. Il exacerbait mes cauchemars. Partir en vrille pour disparaître.
-
Saga, tome 7
Titre : Saga, tome 7s
Série : Saga, tome 7
Scénariste : Brian K. Vaughan
Dessinatrice : Fiona Staples
Éditeur : Urban Comics (Urban Indies) [fiche officielle]
Date de publication : 19 mai 2017 (2016 en VO chez Image Comics)Synopsis : Pour la première fois depuis longtemps, Alana, Marko et Hazel sont de nouveau réunis. À leurs côtés, le prince Robot cherche désespérément son fils, retenu par le Testament, et Petrichor, tout juste évadé des geôles de la Révolution, espère débuter une vie nouvelle loin des préjugés. En attendant, une panne de carburant contraint la petite équipe à se poser d’urgence sur la planète Phang, un territoire en pleine guerre civile.
Contient : Saga #37-42.[Prince Robot :] Comme disait ma mère : « Les gosses, quelle plaie. »
[Izabel :] Sauf ton respect, la Reine Robot m’a l’air d’une connasse.
[Prince Robot :] Un jugement passible de mort mais juste.Et on est reparti pour une nouvelle aventure dans la série Saga, de Fiona Staples et Brian K. Vaughan !
-
Zapping ciné mai 2017
,
Un petit tour vers les salles obscures ce week-end ? Voici quelques idées de films à voir (ou pas…).
-
L'Adoption, tome 1 : Qinaya
Titre : Qinaya
Série : L’Adoption, tome 1
Auteur : Zidrou
Dessinateur: Monin
Éditeur : Grand Angle
Date de publication : 4 mai 2016Synopsis : Lorsque Qinaya, une orpheline péruvienne de 4 ans, est adoptée par une famille française, c’est la vie de tous qui est chamboulée. Mais pour Gabriel, ce sera encore plus compliqué : il lui faudra apprendre à devenir grand-père, lui qui n’a jamais pris le temps d’être père. Des premiers contacts un rien distants aux moments partagés, Gabriel et Qinaya vont peu à peu nouer des liens que même le vieux bourru était loin d’imaginer.
-Tu aurais pu au moins lui donner un bisou !
-Un baiser de plus et elle nous faisait une overdose la petite.
-Tu avoueras quand même qu’elle est mignonne comme un coeur.
-On voit bien que tu n’as jamais vu de coeur de près ma chérie ! Parole de boucher !Avec pas moins d’une demi-douzaine de BD publiées ces derniers mois, Zidrou fait sans conteste partie des scénaristes les plus prolifiques du moment. Devant une telle intensité de publication, on ne peut que légitimement se demander s’il est possible d’allier qualité et quantité. L’Adoption étant le premier ouvrage de Zidrou sur lequel je pose mes yeux, je ne peux juger de l’ensemble de son œuvre, mais cette découverte est de bon augure.