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  • Sélection officielle – Journal

    selection-officielle

    Titre : Sélection officielle – Journal
    Auteur : Thierry Frémaux
    Éditeur : Grasset
    Date de publication : 4 janvier 2017

    Synopsis : Jamais, dans l’histoire du Festival de Cannes, qui soufflera en 2017 ses soixante-dix bougies, l’homme qui préside à la Sélection officielle n’avait ainsi tenu son Journal au jour le jour en vue d’une publication. De la clôture de Cannes 2015 à celle de 2016, voici une année dans la vie d’un boulimique qui aime aimer.
    Nous sommes conviés au cœur de la machine du plus important festival du monde : les équipes, le fonctionnement interne, le jury, les relations avec les critiques et les médias, mais surtout avec les artistes – scénaristes, réalisateurs, acteurs – du monde entier, les producteurs, les agents, les festivals concurrents, jusqu’à l’élection, à partir des mille huit cents films visionnés, de ceux qui feront la « Sélection officielle ».

    Note 4.5

    Robert Favre Le Bret, Maurice Bessy et Gilles Jacob, qui furent délégués généraux avant moi, ont tous retenu à leurs dépens cette maxime dont je fait chaque année l’expérience : « Une bonne sélection, c’est grâce aux films, une mauvaise sélection c’est à cause du sélectionneur ».

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  • Je vis pas ma vie, je la rêve

    je-vis-pas-ma-vie-je-la-reveTitre : Je vis pas ma vie, je la rêve
    Auteur : Jacques Higelin et Valérie Lehoux
    Éditeur : Fayard
    Date de publication : 2015 (octobre)

    Synopsis : Cinquante ans après son premier enregistrement ; quarante ans après la déflagration rock de BBH ; trente ans après son gigantesque spectacle de Bercy, Jacques Higelin se raconte. Et raconte ceux qui comptent pour lui. La naissance dans la guerre, la découverte du jazz puis du théâtre, le service militaire en Algérie, les spectacles expérimentaux avec Brigitte Fontaine, la vie en communauté, la drogue, la tornade du rock, les années dans la dèche, les grandes mises en scène, les peurs et les bonheurs, les voyages, les enfants… Un chemin de liberté folle et de découvertes permanentes, sur lequel on croise, entre autres, des cascadeurs, le guitariste Henri Crolla, Moustaki, Peter Brook, Jacques Canetti, un conteur de Marrakech, Trenet, Jacno ou Barbara. Ce voyage, Jacques Higelin le fait aux côtés de la journaliste Valérie Lehoux, critique à Télérama et auteur d’une biographie de Barbara (Fayard). Leur récit musarde sans cesse entre passé et présent, reflet de la personnalité d’un homme qui se promène dans la vie sans se soucier du temps.

    Note 3.5

    Ceux qui ont peur de mourir ont souvent peur de vivre. Ils respirent prudemment en attendant la fin.

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  • Top ciné 2016

    Du livre à l'écran (cinéma)

    L’heure des bilans, des classements, des coups de cœur, le gratin de cette cuvée 2016 (forcément subjective) ! Une liste qui, j’espère, vous donnera l’envie de découvrir ces films et d’échanger avec vous. Vive le cinéma !

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  • Redrum

    redrum

    Titre : Redrum
    Auteur : Jean-Pierre Ohl
    Éditeur : L’Arbre vengeur (fiche officielle)
    Date de publication : 22 août 2012

    Synopsis : Dans une île au large de l’Écosse, Stephen Gray, spécialiste de l’œuvre de Stanley Kubrick, retrouve d’autres cinéphiles passionnés comme lui par les vieilles bandes de la Fox ou de la Warner.
    Et il rencontre le maître des lieux, Onésimos Némos, inventeur de la Sauvegarde – ce troublant procédé informatique qui permet de « stocker » la personnalité des morts pour les ressusciter à la demande…
    Tout en explorant l’œuvre de Kubrick, Stephen s’enfonce peu à peu dans un labyrinthe dont la trame semble faite de ses propres hantises. Quelle révélation l’attend dans le village de ses ancêtres ? Quel secret le lie à Némos ? Et quelle expérience indicible ce dernier prépare-t-il ?
    Subtil roman d’anticipation, rêverie sur le désir et suspense retors, Redrum se referme sur le lecteur comme un piège… dont il n’a pas envie de s’échapper.

    Note 3.5

    – Ce spectacle me rend morose, bougonna-t-il en désignant de sa canne le décor qui nous entourait… Ces grands espaces, ces tonnes de rochers, ces quantités incroyables de végétaux avec leurs formes, leurs couleurs, leurs odeurs, ces animaux qui batifolent dans tous les sens comme chez Walt Disney…
    – Vous voulez dire la nature.
    – Exactement ! La nature. Ça me noue l’estomac.

    INJ’aime assez découvrir une littérature de genre un peu transversale, soit oubliée soit peu mise en valeur, grâce aux éditions de L’Arbre vengeur. Passés les anciens mais magnifiques que sont Quinzinzinzili ou L’œil du Purgatoire, ce coup-ci c’est un roman de Jean-Pierre Ohl datant de 2012 qui m’est arrivé entre les mains et je n’en suis pas déçu du tout.TRO

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  • Vivre vite

    vivre-vite

    Titre : Vivre vite
    Auteur : Philippe Besson
    Éditeur : Julliard
    Date de publication : 2 janvier 2015

    Synopsis :  » Regardez-moi bien. Qui sait si je serai encore là demain…  » Aussi célèbre soit-il, James Dean, symbole de la jeunesse éternelle, demeure toujours aussi insaisissable. Vivre vite, roman choral tout en nuances, dresse, à travers la voix de ses proches, le portrait intime d’un garçon de l’Indiana, inconsolable et myope, turbulent mais d’une beauté irrésistible, qui s’est donné à tous, sans jamais appartenir à personne : un acteur incandescent devenu, en trois films et un accident de voiture, une icône intemporelle.

    Note 3.5

    Jimmy ne parlait pas beaucoup de sa mère… la nuit, il sortait en cachette et allait pleurer sur sa tombe. Il cherchait à comprendre pourquoi elle l’avait laissé. Je crois que, jusqu’à la fin, il a cherché à comprendre.

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  • Un Fauve

    un-fauve

    Titre : Un Fauve
    Auteur : Enguerrand Guépy
    Éditeur : Éditions du Rocher
    Date : 2016

    Synopsis : Depuis plusieurs mois, P. Dewaere ne boit plus d’alcool, ne prend plus de drogues et s’impose un régime strict. A quelques heures de débuter un tournage sous la direction de C. Lelouch, le comédien prend un taxi qui le mène aux Champs-Elysées. Hanté par ses souvenirs, sa paranoïa et ses frustrations, il tente de faire taire ses démons.

    Note 3.5

    Six fois on lui avait promis la statuette dégoulinante de narcissisme frelaté et six fois, il était reparti bredouille, vilain petit canard de la profession.

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  • Culottées, tome 1

    culottees-tome-1

    Titre : Culottées
    Série : Culottées, tome 1
    Scénariste et dessinatrice: Pénélope Bagieu
    Éditeur : Gallimard
    Date de publication : 2016 (septembre)

    Synopsis : Des femmes qui ne font que ce qu’elles veulent !

    Note 4.5
     
    Coup de coeur

    A cette époque, les maillots de bain pour femmes sont d’encombrants costumes, lourds et inconfortables. Le rigorisme victorien conduit même l’Australie à leur interdire la baignade en plein jour jusqu’en 1903. Annette est bien placée pour le dire : le maillot de bain a été pensé pour tout sauf pour se baigner. Elle commence donc à réfléchir à une tenue qui rendrait les femmes libres de leurs mouvements dans l’eau, bricole un prototype comme elle peut et choisit de l’étrenner alors qu’elle est invitée à nager devant la famille royale à Londres. L’assemblée est outrée, mais Annette vient sans le savoir de révolutionner la vie des femmes.

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  • Joséphine Baker

    josephine-baker

    Titre : Joséphine Baker
    Scénariste : José-Louis Bocquet
    Dessinateur : Catel
    Éditeur : Casterman
    Date de publication : 2016 (septembre)

    Synopsis : Joséphine Baker a 20 ans quand elle débarque à Pris en 1925. En une seule nuit, la petite danseuse américaine devient l’idole des Années Folles, fascinant Picasso, Cocteau, Le Corbusier ou Simenon. Dans le parfum de liberté des années 1930, Joséphine s’impose comme la première star noire à l’échelle mondiale, de Buenos Aires à Vienne, d’Alexandrie à Londres. Après la guerre et son engagement dans le camp de la résistance française, Joséphine décide de se vouer à la lutte contre la ségrégation raciale. La preuve par l’exemple : au cours des années 1950, dans son château des Milandes, elle adopte douze orphelins d’origines différentes, la tribu arc-en-ciel. Elle chantera l’amour et la liberté jusqu’à son dernier souffle.

    Note 4.5

    J’adore Paris. Paris c’est la danse, et moi je suis sa danseuse.

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  • Fées et automates

    Fées et automates

    Titre : Fées et automates
    Anthologiste : Jean-Claude Vantroyen
    Auteurs/Nouvelles : Estelle Faye (« Smoke and mirrors ») ; Charlotte Bousquet (« Le rouet noir ») ; Fabien Cerutti (« Le crépuscule et l’aube ») ; Benoït Renneson (« Le comte et l’horloger ») ; Adrien Tomas (« L’énergie du désespoir ») ; Paul Beorn (« L’étalon ») ; Gabriel Katz (« Magie de Noël ») ; Nabil Ouali (« Al’Ankabüt ») ; Pierre Gaulon (« Le tour de Vanderville ») ; Pierre Bordage (« AuTOMate ») ; Jean-Claude Dunyach et Mike Resnick (« Son dernier coup d’échecs ») ; Cindy Van Wilder (« Tsimoka ») ; Lionel Davoust (« Le plateau des chimères »)
    Éditeur : Mnémos
    Date de publication : 2016 (juin)

    Synopsis : Le thème de l’anthologie des Imaginales 2016 ose le face-à-face entre deux personnages archétypaux provenant de mondes différents. La fée est un personnage principal de la rêverie médiévale, du fantastique, de la fantasy. L’automate est un produit de la culture quasi industrielle, de la pensée scientifique, de la science-fiction. Deux univers qui s’opposent sans doute, mais dont la rencontre est propice à l’imagination et fait jaillir des étincelles.

    Note 4.0

    -Vous respirez comme un soufflet de forge bouffé par la rouille, Viscère, nota dédaigneusement la chasseresse. On va attendre que vous retrouviez une respiration normale avant d’avancer, histoire de ne pas se faire repérer par le premier pixie qui passe.
    Vezzere hacha simplement la tête, appréciant le fait que, pour une fois, les reproches de Kimba ne s’accompagnent pas d’une imagerie impliquant son intimité génitale ou anale.
    -Et par les couilles du Père des Étoiles vous avez intérêt à vous montrer discret, où je vous jure que je range chaque pixie que je parviens à coller dans une pyramide tout au fond de votre auguste rectum !
    C’eut été trop beau.

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  • Un instant de grâce

    Un instant de grâce

    Titre : Un instant de grâce
    Auteur : Clémence Boulouque
    Éditeur : Flammarion
    Date de publication : 6 janvier 2016

    Synopsis : Un instant de grâce 1964. Dublin. Mel Ferrer, le mari d’Audrey Hepburn, organise une rencontre entre la jeune femme et celui qu’elle n’a pas vu depuis près de trente ans, Joseph, son père, qui avait abandonné sa famille pour mieux embrasser ses idéologies fascistes et dont la trace s’est perdue dans le fracas de la seconde guerre mondiale. Vacances Romaines, Sabrina, Diamants sur Canapé ont fait d’Audrey Hepburn l’une des icônes d’Hollywood et l’objet de tous les regards, mais en filigrane de cette réunion se dessinent sa personne secrète et les pans de vie qu’elle a voulu sublimer : la mémoire de l’Occupation, une survie miraculeuse, une vocation contrariée de danseuse, des doutes et fêlures qui ne rendent que plus inconditionnel son désir de donner et de vivre. Par-delà les triomphes et les fantômes, c’est une femme aussi fragile que volontaire et terriblement exigeante envers elle-même, implacablement humble et anxieuse que Clémence Boulouque s’attache à dépeindre avec une austère douceur.

    Note 4.0

    En combien de temps la mémoire d’un père qui abandonne les siens devient-elle un terrain vague ?

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