• Dimension Antiquité

    Dimension antiquité

    Titre : Dimension Antiquité
    Anthologiste : Meddy Ligner
    Auteurs/Nouvelles : Pierre Gévart (« Le Dernier Scribe ») ; Ariane Gélinas (« En attendant Ahmès-Néfertary ») ; Fabien Fernandez (« La Nuit du Poète ») ; Olivier May (« Le Regard de Shamat ») ; Franck Ferric (« Les Masques des Hommes ») ; Ketty Steward (« Sous le Pont ») ; Jean-Louis Trudel (« Les Cadeaux de Prométhée ») ; Rachel Tanner (« Les Reines Meurent Aussi à Alexandrie ») ; Javier Negrete (« César et la Néreide ») ; Frederick Durand (« L’Insula des Louves Ardentes ») ; Fabien Clavel (« Comment le Dieu Vint à Julien ») ; Meddy Ligner (« L’Eolipyle et la Théorie de Ptolémée ») ; Jean-Pierre Andrevon (« Gladiateur »)
    Éditeur : Rivière Blanche
    Date de publication : 2014 (mai)

    Synopsis : Le cinéma à travers les péplums tels Spartacus, Ben Hur et Gladiator, les BD (Astérix, Alix et Murena, Les Aigles de Rome) ainsi que les séries TV (Moi Claude empereur, Rome, Spartacus) ont largement façonné notre vision de l’Antiquité. Dans cet esprit, cette anthologie rassemblant treize auteurs provenant d’Espagne, de France, du Québec et de Suisse, va vous transporter de l’Egypte pharaonique à la Rome antique en passant par la Mésopotamie ancienne et la Grèce Antique. En feuilletant ces pages, vous découvrirez une Antiquité « autre », une Antiquité mâtinée de fantastique, de fantasy, voire de SF ou d’uchronie.

    Note 4.5

    On a beaucoup écrit sur la grande Cléopâtre, quasiment rien sur ses ancêtres. La dynastie Lagide est pourtant un phénomène historique fascinant. Inceste, luttes de pouvoir d’une férocité inouïe, meurtres déclinés en famille (parents, enfants, frères et sœurs…) : House of cards ressemble à une douce bluette comparé aux Lagides.

     

    Décidément, j’apprécie beaucoup les anthologies historiques proposées par Rivière Blanche ! Après « Dimension de cape et d’esprit » et « Dimension Préhistoire » voici donc un tout nouvel ouvrage consacré cette fois à la période antique. Treize auteurs se sont prêtés au jeu en s’inspirant aussi bien des civilisations grecque et romaine qu’égyptienne et mésopotamienne, et en adoptant un cadre allant de la fantasy à la science fiction en passant par l’uchronie ou le fantastique.

  • Le grand amant

    Le grand amant

    Titre : La grand amant
    Auteur : Dan Simmons
    Éditeur : Hélios (ActuSF)
    Date de publication : 2014 (décembre)
    Récompenses : Grand Prix de l’imaginaire 1996 (catégorie nouvelle)

    Synopsis : « Il est presque temps de parler de la Dame. J’ai hésité à le faire parce que, si quelqu’un trouvait mon journal et le lisait, il penserait que je suis fou. Je ne suis pas fou. » Juillet 1916, bataille de la Somme. James Edwin Rooke, jeune officier et poète, consigne les horreurs de la guerre dans son journal. Les camarades morts pour gagner quelques centimètres de terrain. Les conditions effroyables dans les tranchées. Les ordres absurdes… Mais, blessé au fond d’un trou d’obus, il a également aperçu de la beauté sous les formes d’une femme superbe. Un parfum de violette, une robe diaphane, de longs cheveux blonds… Qui est-elle ? Que fait-elle sur le champ de bataille ? Serait-ce l’Ange de la Mort, venu le réclamer ?

    Note 4.0

    Tout l’après-midi, les restes décimés de la 55e et des troupes de soutien ont traversé nos tranchées les uns après les autres, à la recherche de leurs officiers ou des postes de premier secours. Nous avons fait de notre mieux pour les aider. Nous, ceux de la 1re Rifle Brigade, nous nous attendions à être jetés demain dans ce hachoir à viande, mais le bruit court que des bataillons de réserve ont été choisis pour le sacrifice. C’est terrible de se sentir soulagé parce qu’un autre homme va mourir.

  • Le fou et l’assassin, tome 1 : Le fou et l’assassin

    Le fou et l'assassin

    Titre : Le fou et l’assassin
    Cycle : Le fou et l’assassin, tome 1
    Auteur : Robin Hobb
    Éditeur : Pygmalion
    Date de publication : 2014 (décembre)

    Synopsis : Fitz Chevalerie Loinvoyant, bâtard de la famille régnante des Six-Duchés et assassin royal à la retraite, coule des jours paisibles dans sa propriété de Flétrybois avec son épouse Molly et ceux de leurs enfants qui ne sont pas encore partis de la maison. Mais, pendant un voyage au Royaume des Montagnes où il se rend avec Kettricken, le roi Devoir et la reine Elliania, il retrouve la maison qu’occupait jadis son ami avec Jofron, fabricante de marionnettes. Cette dernière lui révèle que le Fou lui a écrit à plusieurs reprises, alors qu’il n’a jamais rien reçu.Une question le taraude alors : et si c’était lui qui avait envoyé en ultime recours la messagère assassinée dans sa demeure lors de la fête de l’hiver ?

    Note 4.0

    Enfants, nous croyons que nos aînés savent tout et que, si nous-mêmes ne comprenons pas le monde, eux sont capables de le décrypter ; devenus adultes, lorsque la peur ou le chagrin nous saisit, nous nous tournons instinctivement vers l’ancienne génération dans l’espoir d’apprendre enfin une grande leçon sur la mort et la douleur, et nous découvrons alors qu’il n’y a qu’une leçon : la vie continue.

  • Riposte Apo

    Riposte Apo

    Titre : Riposte-Apo
    Auteurs : Thomas Geha (« Ciel bleu d’un hiver à jamais »), Christian Vilà (« Pose ta peau, Calypso ! »), Romuald Herbreteau (« Un ciel parfait »), Sylvain Boïdo (« L’éclat des Ténèbres »), Arnaud Cuidet (« Les Affamés »), Artikel Unbekannt « Caïn et la belle »), Jean-Valéry Martineau (« Songeries dans l’antichambre de la Mort par l’Horloger de l’Apocalypse »), Batista & Batistuta (« Mike Mana contre Satan »), Christian Bergzoll (« La peine Capitale »), Jérôme Verschueren (« Métabole »), Tesha Garisaki (« Seul »), Brice Tarvel (« Enfin l’apocalypse »), Patrice Verry (« Une visite au Mont-Saint-Michel »), Xavier-Marc Fleury (« Les derniers terriens »), Robert Darvel (« Sept pour un million »), Guillaume Bergey (« Le Sérum ») et Julien Heylbroeck (« Absinthe »)
    Illustrateurs : Arro
    Éditeur : ImaJn’ère
    Date de publication : juin 2013

    Synopsis : Malgré l’apocalypse du 21 décembre 2012, le futur a décidé de riposter et de prouver qu’il ne manquait pas d’avenir. En dépit des guerres nucléaires ou bactériologiques, des invasions extraterrestres, des cataclysmes naturels ou technologiques, quelque chose se passe après.
    Quelque chose, oui, mais quoi ? Cette riposte à l’apocalypse est-elle si réjouissante ? L’être humain y aura-t-il encore sa place ?
    L’association imaJn’ère, qui n’a peur de rien, vous offre dix-huit textes qui s’inscrivent dans cette thématique. Dix-huit écrivains amateurs ou confirmés vous entraînent dans des univers futuristes (ou pas ?) et tentent à leur manière de répondre à ces questions.
    Que vous soyez optimistes ou pessimistes quant à l’avenir de l’humanité, la lecture de ce recueil vous donnera au moins une certitude : si quelque chose mérite de survivre, c’est bien l’imagination.

    Note 2.5

    – Je ne vais plus pouvoir aller à l’école, gémit-elle, je ne reverrai plus Lolotte, ma meilleure copine…
    – Lolotte n’était pas une bonne fréquentation pour toi, ma puce, décréta P’pa. Quand on se met du rouge à lèvres avant d’avoir de vrais nichons, c’est qu’on est destiné à tourner pas comme il faut. Quant à l’école, avec les notes que tu y collectionnais, ce ne sera pas une grosse perte. M’man et moi, on se chargera de t’apprendre ce qui est vraiment utile dans la vie.
    Florentin, lui, n’était pas fâché de ne plus avoir à se rendre au collège. Beaubec, le prof de maths, lui en avait fait voir de toutes les formules, aussi se plaisait-il à l’imaginer écrabouillé sous une lourde plaque de béton, une calculette enfoncée dans chacun de ses orifices naturels. Ça avait du bien, la fin du monde, au bout du compte, même si àa ôtait tout espoir de constituer une équipe de foot.

    « Enfin l’Apocalypse » – Brice Tarvel

    Chaque année, l’association ImaJn’ère organise un salon littéraire dans le centre d’Angers ainsi qu’un concours de nouvelles menant à une anthologie. 2013, année post-prévisions mayas de décembre 2012, fut l’occasion de publier deux volumes, l’un davantage polar (Total Chaos), l’autre plus centré sur l’aspect science-fictionnel des choses (Riposte Apo). C’est ce dernier opus qui voit des nouvelles de Thomas Geha, Arnaud Cuidet ou bien Patrice Verry composer son sommaire.

  • L’Épée brisée

    L'Epée brisée

    Titre : L’Épée brisée (The Broken Sword)
    Auteur : Poul Anderson
    Éditeur : Le Bélial’
    Date de publication : 14 novembre 2014 (1954 en VO chez Abelard-Schuman et révisé en 1971)

    Synopsis : « Imric n’eut qu’un bref aperçu d’une massive silhouette encapée, chevauchant une monture plongeant vers la terre, plus rapide que le vent, un gigantesque cheval à huit pattes monté par un homme à la longue barbe grise et au chapeau à larges bords. L’éclat de la lune accrocha la pointe de sa lance et son œil unique… Il traversait les cieux à la tête de sa troupe de guerriers morts, et les chiens aux yeux de feu aboyaient comme le tonnerre. Sa corne hurla dans la tempête, les sabots de sa monture tambourinaient comme la grêle tombant sur un toit ; et […] la pluie se déchaîna sur le monde. »
    Voici l’histoire d’une épée qu’on dit capable de trancher jusqu’aux racines mêmes d’Yggdrasil, l’Arbre du Monde. Une épée dont on dit qu’elle fut brisée par Thor en personne. Maléfique. Forgée dans le Jotunheim par le géant Bölverk, et appelée à l’être à nouveau. Une épée qui, une fois dégainée, ne peut regagner son fourreau sans avoir tué. Voici l’histoire d’une vengeance porteuse de guerre par-delà le territoire des hommes. Un récit d’amours incestueuses. De haine. De mort. Une histoire de destinées inscrites dans les runes sanglantes martelées par les dieux, chuchotées par les Nornes. Une histoire de passions. Une histoire de vie…
    « Lire L’Épée brisée, c’est comprendre en grande partie les origines d’une tradition parallèle de la fantasy représentée entre autres par M. John Harrison, Philip Pullman et China Miéville, des écrivains qui rejettent le confort d’un pub oxfordien et restent délibérément proches de résonances mythiques plus profondes », dit Michael Moorcock. Et le créateur d’Elric de rajouter qu’il s’agit là « d’un des plus influents livres de fantasy » qu’il ait jamais lus. Publié aux USA en 1954, à l’instar du premier volet du Seigneur des Anneaux, dont il s’avère une antithèse brutale. Un chef-d’œuvre jamais traduit en France. Jusqu’à ce jour.

    Note 4.0
     
    Coup de coeur

    Les hommes sont plus heureux que les êtres de Faërie – et plus heureux que les dieux eux-mêmes, dit-il. Mieux vaut une vie semblable à l’étoile filante, brève mais éclairant les ténèbres, que la longue, longue attente des immortels, dénuée d’amour, et seulement riche d’une sagesse sans joie.

    Je vous vois venir ! Oui, je vous vois, aimable lecteur curieux qui découvre cette couverture bien étrange. « Qu’est-ce que c’est que ça ? », vous dites-vous.

  • Challenge ABC Littératures de l’imaginaire 2015 (Boudicca)

    ABC Imaginaire 2015 v2

    Comme les années précédentes, Ptite Trolle sur son blog Lectures Trollesques lance le Challenge ABC Littératures de l’Imaginaire 2015. Dionysos ayant décidé de se lancer dans l’aventure, me voilà également partie pour ce challenge qui aura le mérite de me faire un peu vider ma PAL dont certains livres attendent depuis trop longtemps.

  • Challenge ABC Littératures de l’Imaginaire 2015 (Dionysos)

    ABC Imaginaire 2015 v2

    Comme les années précédentes, Ptite Trolle sur son blog Lectures Trollesques lance le Challenge ABC Littératures de l’Imaginaire 2015. Une fois n’est pas coutume, car nous sommes peu investis pour l’instant dans des challenges au Bibliocosme, j’ai décidé de me lancer dans l’aventure, histoire de faire vivre un peu plus ma PAL qui végétait en cette fin 2014.