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Swing Time
Titre : Swing Time
Auteur : Zadie Smith
Éditeur : Gallimard (collection Du monde entier) Trad. de l’anglais par Emmanuelle et Philippe Aronson
Date de publication : 16 août 2018Synopsis : Deux petites filles métisses d’un quartier populaire de Londres se rencontrent lors d’un cours de danse. Entre deux entrechats, une relation fusionnelle se noue entre elles. Devant les pas virtuoses de Fred Astaire et de Jeni LeGon sur leur magnétoscope, elles se rêvent danseuses. Tracey est la plus douée, la plus audacieuse mais aussi la plus excessive. Alors qu’elle intègre une école de danse, la narratrice, elle, poursuit une scolarité classique au lycée puis à l’université, et toutes deux se perdent de vue. La plus sage devient l’assistante personnelle d’Aimee, une chanteuse mondialement célèbre. Elle parcourt le monde, passe une partie de l’année à New York et participe au projet philanthropique d’Aimee : la construction d’une école pour filles dans un village d’Afrique. Pendant ce temps, la carrière de Tracey démarre, puis stagne, tandis que progresse son instabilité psychologique. Après une série d’événements choquants, les deux amies se retrouveront pour un dernier pas de danse.
Personne n’est plus ingénieux qu’un pauvre, quel que soit l’endroit où il vit. Quand on est pauvre, il faut penser à chaque étape. La richesse, c’est le contraire. Avec la richesse, on a tendance à ne pas réfléchir.
Dans ce cinquième roman, Zadie Smith conte l’histoire de deux jeunes métisses londoniennes (Tracey et la narratrice que Smith ne nomme jamais) et de leur amitié naissante à travers leur passion commune pour la danse et les comédies musicales (celles des grandes heures hollywoodienne). Et, comme souvent en amitié, des parcours qui s’éloignent pour mieux se rejoindre.
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Les chevaliers blancs
Titre : Les chevaliers blancs
Réalisateur : Joachim Lafosse
Acteurs : Vincent Lindon, Louise Bourgoin, Valérie Donzelli, Reda Kateb,
Date de sortie : 20 janvier 2016Synopsis : Jacques Arnault, président de l’ONG « Move for kids », a convaincu des familles françaises en mal d’adoption de financer une opération d’exfiltration d’orphelins d’un pays d’Afrique dévasté par la guerre. Entouré d’une équipe de bénévoles dévoués à sa cause, il a un mois pour trouver 300 enfants en bas âge et les ramener en France. Mais pour réussir, il doit persuader ses interlocuteurs africains et les chefs de village qu’il va installer un orphelinat et assurer un avenir sur place à ces jeunes victimes de guerre, dissimulant le but ultime de son expédition…
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Mère Teresa de Calcutta : Au nom des plus pauvres parmi les pauvres
Titre : Mère Teresa de Calcutta : Au nom des plus pauvres, parmi les pauvres
Scénariste : Lewis Helfand
Dessinateur : Sachin Nagar
Éditeur : 21g (collection Destins d’histoire)
Date de publication : 2014 (novembre)Synopsis : La fameuse mère Teresa s’appelait en réalité Gonxha Bojaxhiu. Née albanaise, elle vit dans l’empire ottoman à Skopje. Alors qu’elle est une toute jeune enfant, Gonxha croit déjà farouchement en Dieu et refuse de suivre ses frères et sœurs, qui ne font que des bêtises. Au contraire, elle essaie de comprendre ses parents qui ne cessent de recevoir de pauvres gens à manger le repas du soir. La mère lui explique qu’ils gagnent plus que ce dont ils ont besoin et que cet argent donné par Dieu doit être dépensé pour aider l’autre. Le papa Nikola est, du coup, très populaire et il fait partie du conseil municipal. Il est toujours très engagé pour défendre la cause des minorités et de ceux qui sont dans le besoin. Pourtant, un jour, la famille est brisée : Nikola meurt dans des circonstances douteuses et son associé récupère tous les biens de la maison. En vivant dans la difficulté, la famille n’aura de cesse de laisser sa porte aux affamés et aux nécessiteux. Un exemple pour celle qui deviendra « Mère Teresa »…
Je suis reconnaissante, je suis très heureuse de recevoir ce prix au nom des affamés, des nus, des sans-logis, des infirmes, des aveugles, des lépreux, de tous ces gens qui ne se sentent pas voulus, pas aimés, pas soignés, rejetés, ces gens qui sont devenus un fardeau pour la société et qui sont humiliés par tout le monde. C’est en leur nom que j’accepte ce prix. (Extrait du discours prononcé par Mère Teresa en 1979 à Oslo au moment d’accepter le Prix Nobel de la paix)
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Chroniques de Jérusalem
Titre : Chroniques de Jérusalem
Scénariste et Dessinateur : Guy Delisle
Éditeur : Delcourt (Shampooing)
Date de publication : 16 novembre 2011Synopsis : Guy Delisle et sa famille s’installent pour une année à Jérusalem. Mais pas évident de se repérer dans cette ville aux multiples visages, animée par les passions et les conflits depuis près de 4 000 ans. Au détour d’une ruelle, à la sortie d’un lieu saint, à la terrasse d’un café, le dessinateur laisse éclater des questions fondamentales et nous fait découvrir un Jérusalem comme on ne l’a jamais vu.
Quand on voit le spectacle qu’offre la religion dans le coin, ça donne pas trop envie d’être croyant.
Ah, merci mon Dieu de m’avoir fait athée. -
Chroniques birmanes
Titre : Chroniques birmanes
Auteur : Guy Delisle
Éditeur : Delcourt (Shampooing)
Date de publication : 2007Synopsis : Guy Delisle a suivi sa compagne durant 14 mois en Birmanie alors quelle y collaborait avec Médecins sans Frontières. Il raconte son expérience du pays, comment il a fini par apprivoiser son environnement, et petit à petit, comment il a découvert la réalité politique, sanitaire et sociale de ce pays dominé par une junte militaire, soutenue elle-même par de puissants groupes industriels.
Certains produits ont réussi à envahir le monde entier. Impossible de se rendre quelque part sans pouvoir trouver du Nescafé ou de la Vache qui rit.
Voilà le vrai visage de la mondialisation : une grosse vache rouge qui rigole.Guy Delisle nous offre avec ces « Chroniques birmanes » une immersion intéressante et légère dans un pays écrasé par la dictature.