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Blacksad, tome 3 : Ame rouge
Titre : Âme rouge
Série : Blacksad, tome 3
Scénariste : Juan Diaz Canales
Dessinateur : Juanjo Guarnido
Éditeur : Dargaud
Date de publication : 2005Synopsis : Finances et moral au plus bas, Blacksad est à Las Vegas où il travaille pour le compte d’un joueur fortuné. Pourtant une rencontre inattendue va bousculer sa nouvelle vie : un ami, Otto Lieber, scientifique de haut rang, est de passage dans la ville où a lieu une conférence sur le nucléaire. Les deux hommes réussissent à se voir et les souvenirs remontent à la surface… Otto semble avoir une vie passionnante malgré l’excentricité de son “bienfaiteur”, Gotfield. Celui-ci est marié à la troublante Alma et, après ces rencontres, la vie de Blacksad va prendre une nouvelle tournure…
On fait beaucoup d’erreurs tout au long d’une vie. C’est naturel, il n’y a pas d’autre façon d’apprendre… Ce qui est dramatique, c’est quand ce sont les autres qui payent tes erreurs.
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Le Projet Marvels
Titre : Le Projet Marvels
Scénariste : Ed Brubaker
Dessinateur : Steve Epting
Éditeur : Panini Comics (Marvel Select)
Date de publication : 13 novembre 2013 (2010 en VO chez Marvel Comics)Synopsis : Voici enfin révélées les véritables origines de l’univers Marvel mais aussi les relations secrètes entre les super-héros. Découvrez notamment Captain America, la première Torche Humaine et Namor comme vous ne les avez jamais vus. Le Projet Marvels : la naissance des super-héros est une histoire incontournable pour tous les passionnés du monde Marvel. Une aventure relatée par l’équipe artistique qui a orchestré la mort de Captain America : Ed Brubaker (Secret Avengers, Daredevil) et Steve Epting (Captain America)
Le 7 décembre 1941 a donc commencé par deux assauts simultanés. L’un mené au grand jour par des soldats et des bombardiers… un drame national… l’autre livré en secret par des hommes masqués aux étranges pouvoirs… et ces guerriers d’un autre monde… qui resterait caché.
Le Projet Marvels est une mini-série issue du catalogue Marvel Comics qui a deux objectifs principaux : reformer le duo artistique Ed Brubaker – Steve Epting qui a fait fureur sur les aventures de Captain America, mais également redonner goût à la vie super-héroïque pendant la Deuxième Guerre mondiale, quelque peu mise de côté par rapport aux multiples aventures contemporaines.
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Rosée de feu
Titre : Rosée de feu
Auteur : Xavier Mauméjean
Éditeur : Le Bélial / Folio SF
Date de publication : 2010 / 2013Synopsis : 1944. Face à l’avancée des forces américaines dans le Pacifique, le haut-commandement de la Marine impériale japonaise applique une tactique de la dernière chance : engager ses pilotes de dragons dans des attaques suicide.Très vite, un autre feu du ciel s’abat sur le Soleil Levant. Les superforteresses B-29 lâchent sur les grandes villes des bombes au napalm. Seuls de rares pilotes se révèlent assez courageux ou fous pour les affronter sur leurs dragons de combat…Trois destinées sont balayées par le souffle de la guerre. Hideo, petit garçon qui vit de l’intérieur la souffrance du Japon. Tatsuo, son grand frère, étudiant recruté dans une escadrille suicide. Enfin le capitaine Obayashi, maître archer qui impose la « stratégie de la mort assurée ».
Ce qui est un vaut moins que l’unité. L’individu ne compte pas face à la nation toute entière.
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Diplomatie [film, 2014]
Titre : Diplomatie
Réalisateur : Volker Schlöndorff
Acteurs principaux : André Dussollier, Niels Arestrup, Burghart Klaußner
Date de sortie française : 5 mars 2014
Livre original : D’après la pièce éponyme de Cyril GélySynopsis : La nuit du 24 au 25 août 1944. Le sort de Paris est entre les mains du Général Von Choltitz, Gouverneur du Grand Paris, qui se prépare, sur ordre d’Hitler, à faire sauter la capitale. Issu d’une longue lignée de militaires prussiens, le général n’a jamais eu d’hésitation quand il fallait obéir aux ordres. C’est tout cela qui préoccupe le consul suédois Nordling lorsqu’il gravit l’escalier secret qui le conduit à la suite du Général à l’hôtel Meurice. Les ponts sur la Seine et les principaux monuments de Paris Le Louvre, Notre-Dame, la Tour Eiffel … – sont minés et prêts à exploser. Utilisant toutes les armes de la diplomatie, le consul va essayer de convaincre le général de ne pas exécuter l’ordre de destruction.
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Le Sursis : Intégrale
Titre : Le Sursis (Intégrale du diptyque)
Scénariste et Dessinateur : Jean-Pierre Gibrat
Éditeur : Dupuis (Aire libre)
Date de publication : 1997 pour le tome 1 ; 1999 pour le tome 2Synopsis : Juin 1943. Julien Sarlat saute du train qui le conduit en Allemagne et gagne le petit village de Cambeyrac, dans l’Aveyron, pour s’y cacher à l’insu des villageois en attendant la fin des hostilités. Étonnante intervention du destin : le train qui devait l’emmener est bombardé et, parmi les victimes, un corps a été identifié comme étant le sien. Le voilà mort aux yeux du monde. Profitant de cette situation inattendue, il s’enferme dans le grenier de l’instituteur, arrêté par la Gestapo française et dont la maison a été mise sous scellés. Dès lors, depuis ce poste d’observation donnant sur la place du village, le mort vivant va assister à ce théâtre permanent qu’offrent les gens dans le déroulement des jours. Amours, haines, jalousies, lâchetés, mouvements du coeur, actes d’héroïsme, rien n’échappera à l’observateur. Jusqu’au moment où, de spectateur qu’il était, il sera lui-même acteur et rencontrera à nouveau son destin, cruel et moqueur, toujours inattendu, qui lui aura juste accordé un sursis.
1943 n’avait fait de cadeaux à personne, sauf à moi peut-être… sans doute même. J’ai suivi la guerre sans y participer. J’ai même assisté à mon enterrement sans la pénible nécessité de mourir. C’est dire à quel point j’ai été épargné.
Jean-Pierre Gibrat… voilà bien un nom qui ne me disait absolument rien. Pourtant, sur la recommandation d’un ami, je me suis lancé dans l’aventure du Sursis, fresque en deux épisodes sur la vie sous l’Occupation, et bien m’en a pris de découvrir un auteur aussi subtil.
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Faut-il aller voir… La Voleuse de livres ?
Le 5 février 2014 sort sur nos écrans La Voleuse de livres, adaptation américaine d’un roman australien sur le pouvoir des livres en pleine Allemagne dominée par les Nazis.
Synopsis : L’histoire de Liesel, une jeune fille envoyée dans sa famille d’adoption allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle apprend à lire avec le soutien de sa nouvelle famille, et de Max, un réfugié Juif qu’ils cachent sous leurs escaliers. Pour Liesel et Max, le pouvoir des mots ainsi que leur propre imagination vont devenir leur seule échappatoire face à la guerre.
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Block 109
Titre : Block 109
Série : Block 109 (roman graphique qui a lancé la série)
Scénariste : Vincent Brugeas
Dessinateur : Ronan Toulhoat
Éditeur : Akiléos
Date de publication : 4 février 2010Synopsis : Après avoir détruit l’Occident, le IIIe Reich agonise à son tour sous les coups de l Armée Rouge. Pour Zytek, le maître de l’Allemagne, il ne reste qu’une seule solution: une attaque virale majeure. Malgré le refus du Haut Conseil, le virus provoque déjà des ravages dans les ruines de Marienburg. Les contaminés, transformés en monstres sanguinaires, s’attaquent aux soldats isolés des deux camps. Seule l’escouade du sergent Steiner parvient à s’échapper d’une funeste rencontre. Ce dernier et ses camarades sont-ils la dernière chance de l’humanité ? Et quel est véritablement l’objectif de Zytek, l’omnipotent seigneur du Reich ?
Messieurs ! L’heure de notre triomphe est proche. Le projet Renaissance sera bientôt une réussite, grâce à vous. À de nombreuses reprises, vous avez dû agir envers et contre votre conscience. Vous avez dû lutter contre vos propres idéaux. Ce fut votre sacrifice. Bientôt, un monde nouveau naîtra des cendres de cet enfer ! Soyez-en fiers ! Cependant, j’ai un ultime effort à vous demander. Deux mille SS s’apprêtent à piétiner notre rêve. Ces hommes symbolisent tout ce contre quoi nous avons lutté. Vous n’êtes qu’une poignée, mais dans vos veines coule un sérum qui fait de vous des surhommes… Alors ne laissez aucun SS mettre les pieds dans le block ! EXTERMINEZ-LES !!
Block 109… ou comment bâtir une uchronie « coup de poing » dans un univers des plus plausibles !
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Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag II B
Titre : Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag II B
Auteur : Jacques Tardi
Éditeur : Casterman (Univers d’auteurs)
Date de publication : novembre 2012Synopsis : Avec Moi, René Tardi, prisonnier de guerre – Stalag IIB, Jacques Tardi concrétise un projet mûri de très longue date : transposer en bande dessinée les carnets de son propre père, rédigés des années durant sur des cahiers d’écolier, où celui-ci tient par le menu la chronique de sa jeunesse, en grande partie centrée sur ses années de guerre et de captivité en Allemagne. Après avoir, comme on le sait, énormément travaillé sur la guerre de 14 – 18, c’est la première fois que Tardi se penche d’aussi près sur la période de la Seconde Guerre mondiale. Ce faisant, il développe également un projet profondément personnel : en mettant en images l’histoire de son père militaire, Tardi explore rien moins que les racines, les origines et les ressorts de sa propre vie. Ce « roman familial » prend des accents d’autant plus intimes que Tardi a associé au projet deux de ses propres enfants, Rachel (qui assure la mise en couleur) et Oscar (documentation et recherches iconographiques).
C’était eux ou nous », selon la magnifique formule consacrée, « On n’avait pas le choix » « A la guerre comme à la guerre » Et puis merde ! Ces types ne nous attendaient pas au coin du bois pour nous offrir des rafraichissements !
Jacques Tardi donne la parole à son père René et lui prête sa plume pour illustrer le sort réservé aux soldats français par le IIIe Reich.
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Faut-il aller voir… Belle et Sébastien ?
Le 18 décembre 2013, nous pourrons redécouvrir un duo qui a bercé l’enfance de certains : Belle et Sébastien, d’après la série et les romans de Cécile Aubry.
Synopsis : Ça se passe là-haut, dans les Alpes. Ça se passe là où la neige est immaculée, là où les chamois coursent les marmottes, là où les sommets tutoient les nuages. Ça se passe dans un village paisible jusqu’à l’arrivée des Allemands. C’est la rencontre d’un enfant solitaire et d’un chien sauvage. C’est l’histoire de Sébastien qui apprivoise Belle. C’est l’aventure d’une amitié indéfectible. C’est le récit extraordinaire d’un enfant débrouillard et attendrissant au cœur de la Seconde Guerre mondiale. C’est l’odyssée d’un petit garçon à la recherche de sa mère, d’un vieil homme à la recherche de son passé, d’un résistant à la recherche de l’amour, d’une jeune femme en quête d’aventures, d’un lieutenant allemand à la recherche du pardon. C’est la vie de Belle et Sébastien…
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Quinzinzinzili
Titre : Quinzinzinzili
Auteur : Régis Messac
Éditeur : L’Arbre vengeur (L’Alambic)
Date de publication : 20 septembre 2007 (1935 pour la 1ère édition)Synopsis : Bien sûr, cela fait des décennies que la littérature nous annonce l’anéantissement de la race humaine, notre capacité à nous détruire ne se discutant plus. Beaucoup de livres pour un sujet aussi crucial, mais dans le lot peu de chefs-d’œuvre… Quinzinzinzili, ce roman au titre improbable, est pourtant de ceux-là, ses rares lecteurs n’en démordent pas, qui s’étonnent toujours de son ironie visionnaire, de son pessimisme halluciné et de ses trouvailles géniales. Publié en 1935, il a été imaginé par Régis Messac (1893-1945), considéré comme l’un des précurseurs du genre, et nous entraîne après le cataclysme, à la suite du dernier des adultes, témoin stupéfait de la renaissance du genre humain : sous ses yeux désabusés, un groupe d’enfants réinvente une Humanité dont l’Histoire a disparu. Et Messac, qui sait que la Civilisation est mortelle, nous offre le spectacle d’une poignée de gosses en train de lui régler son compte… Stupéfiant, Quinzinzinzili renaît et devrait susciter l’admiration de ceux qui croient davantage aux vertus des Lettres qu’à celles de l’Homme.
L’intelligence n’est pas très répandue dans le monde nouveau. Aussi, on y est grand homme à bon compte.
Quinzinzinzili ! En voilà un titre qui dépote. Et personnellement, je prononce toutes les lettres, histoire de faire authentique. Mais qu’est-ce donc que cet O.V.N.I. ?