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Le fou et l’assassin, tome 2 : La fille de l’assassin
Titre : La fille de l’assassin
Cycle : Le fou et l’assassin, tome 2
Auteur : Robin Hobb
Éditeur : Pygmalion
Date de publication : 2015 (mai)Synopsis : Fitz doit apprendre à vivre avec sa fille, Abeille, après la mort de sa femme, Molly. Etrangement précoce et intelligente, l’enfant poursuit une existence à demi sauvage dans le domaine de Flétribois. Livrée à elle-même, elle découvre les passages secrets que dissimulent les murs de la maison, se lie d’amitié avec un chat et découvre le passé de son père.
Il m’avait souhaité de trouver mon propre destin, et je n’avais jamais douté de sa sincérité, mais il m’avait fallu des années pour accepter le fait que son absence était définitive et volontaire, que c’était un acte délibéré de sa part, un épisode terminé alors même qu’une partie de mon âme y demeurait suspendue dans l’attente de son retour. C’est ce qui fait, je pense, la souffrance de toute relation qui s’achève : se rendre compte que, si elle se poursuit pour l’un, elle est révolue pour l’autre.
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Le fou et l’assassin, tome 1 : Le fou et l’assassin
Titre : Le fou et l’assassin
Cycle : Le fou et l’assassin, tome 1
Auteur : Robin Hobb
Éditeur : Pygmalion
Date de publication : 2014 (décembre)Synopsis : Fitz Chevalerie Loinvoyant, bâtard de la famille régnante des Six-Duchés et assassin royal à la retraite, coule des jours paisibles dans sa propriété de Flétrybois avec son épouse Molly et ceux de leurs enfants qui ne sont pas encore partis de la maison. Mais, pendant un voyage au Royaume des Montagnes où il se rend avec Kettricken, le roi Devoir et la reine Elliania, il retrouve la maison qu’occupait jadis son ami avec Jofron, fabricante de marionnettes. Cette dernière lui révèle que le Fou lui a écrit à plusieurs reprises, alors qu’il n’a jamais rien reçu.Une question le taraude alors : et si c’était lui qui avait envoyé en ultime recours la messagère assassinée dans sa demeure lors de la fête de l’hiver ?
Enfants, nous croyons que nos aînés savent tout et que, si nous-mêmes ne comprenons pas le monde, eux sont capables de le décrypter ; devenus adultes, lorsque la peur ou le chagrin nous saisit, nous nous tournons instinctivement vers l’ancienne génération dans l’espoir d’apprendre enfin une grande leçon sur la mort et la douleur, et nous découvrons alors qu’il n’y a qu’une leçon : la vie continue.