• Shining in the dark

    Titre : Shining in the dark
    Auteurs/Nouvelles : Le compresseur bleu – Stephen King : Le réseau – Jack Ketchum et P. D. Cacek ; Le Roman de l’Holocauste – Stewart O’Nan ; Aeliana – Bev Vincent ; Charabia et Theresa – Clive Barker ; La fin de toutes choses – Brian Keene ; La danse du cimetière – Richard Chizmar ; L’attraction des flammes – Kevin Quigley ; Le compagnon – Ramsey Campbell ; Le coeur révélateur – Edgar Allan Poe ; L’amour d’une mère – Brian James Freeman ; Le manuel du gardien – John Ajvide Lindqvist
    Éditeur : ActuSF
    Date de publication : 2020 (octobre)

    Synopsis : À l’occasion des vingt ans de Lilja’s Library, l’un des sites de référence sur l’œuvre de Stephen King, son responsable, Hans-Åke Lilja, a fait appel à la fine fleur de la littérature fantastique mondiale pour composer cette anthologie. Du King lui-même – avec un texte inédit en français – à Jack Ketchum, en passant par Clive Barker, John Ajvide Lindqvist ou Ramsey Campbell, vous trouverez dans ces pages de quoi alimenter quelques belles nuits cauchemardesques…

     

    Entez donc, si vous n’avez pas peur, l’effroi vous attend à l’intérieur.

  • Malpertuis Alma

    Malpertuis

    Titre : Malpertuis
    Auteurs : Jean Ray
    Éditeur : Alma (Jean Ray) [fiche officielle]
    Date de publication : 4 mai 2017 (1943 pour la 1re édition)

    Synopsis : La hantise est sœur siamoise des vieilles haines, des crimes sordides et des cupidités malsaines. Proche cousine de la terreur panique, celle qui lividifie les murs, blêmit les miroirs, empoisse marches et rampes et fait suer aux façades une peur qui en imbibe la pierre. Telle est Malpertuis, cette maison dont la masse sinistre se dresse au cœur du roman de Jean Ray. Là, gîte une famille engluée dans les routines et les bisbilles les plus sordides – affaires de coucheries et d’argent, de promiscuité et d’héritage. Inexorablement, ces pathétiques pantins vont devenir le reflet d’un monde disparu, les proies d’une autre histoire, mythique et marquée par l’horreur du destin. Peu à peu, un effroi redoutable, plongeant ses racines aux origines païennes du monde, transfigure l’antique demeure.
    Paru en 1943, Malpertuis, œuvre la plus universellement célébrée de Jean Ray, a immédiatement accédé au rang de classique du fantastique, devenant avec La maison Usher de E. A. Poe, La maison de la sorcière de H.P. Lovecraft et La maison des damnés de Richard Matheson, une des plus fameuses tanières de l’épouvante.

    Quatre mains frémissantes de fièvre, sinon cinq, ont collaboré à la rédaction de ce mémoire de mystère et d’épouvante.

    Quand les éditions Alma ont repris la publication des meilleurs romans et recueils de Jean Ray, il fallait s’attendre à redécouvrir du très bon récit d’épouvante, mais s’il y en a un qui devait être remis en lumière, c’est bien Malpertuis qui est souvent désigné comme son chef-d’œuvre personnel.