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Injustice – Année 1, 1ère partie
Titre : Année 1 – 1ère partie
Série : Injustice (Gods Among Us), tome 1
Scénariste : Tom Taylor
Dessinateurs : Jheremy Raapack, Mike S. Miller, Bruno Redondo, Axel Gimenez, David Yardin, Tom Derenick, Diana Egea
Éditeur : Urban Comics (Urban Games)
Date de publication : 5 décembre 2014 (2013 en VO chez DC Comics)Synopsis : Avec plus de 500 000 exemplaires vendus, le jeu vidéo INJUSTICE – GODS AMONG US est entré dans le cercle très fermé des jeux de combat les plus joués au monde. Découvrez la série tirée de cet univers alternatif où les héros de DC COMICS subissent le joug d’un Superman devenu dictateur.
Manipulé par le Joker, Superman tue la mère de son enfant à naître : Lois Lane. Fou de rage, l’Homme d’Acier s’en prend directement au Clown Prince du Crime et l’arrache des mains de Batman pour lui ôter la vie. Cet assassinat de sang-froid marque le début d’une ère sombre pour les héros de la Ligue de Justice. Une ère où chacun devra choisir soigneusement son camp : rejoindre la croisade aveugle de Superman contre le crime ou entrer en rébellion aux côtés de Batman.Gotham s’est tue.
La nuit n’est plus troublée par la rumeur du crime. On n’entend plus d’enfants réveillés en sursaut par les coups de feu, plus de cris dans les ténèbres ni de crissements de pneus dans les ruelles, alors que des sirènes hurlantes prennent en chasse des hommes et femmes désespérés.
En un sens, c’est la Gotham dont j’ai toujours rêvé. Mais ce n’est pas un rêve. C’est une perversion. Un cauchemar. C’est le silence de la peur.
Un silence uniquement brisé par le bruit de la marche. Un son qui résonne à travers le monde entier. Une marche militaire. Le rythme des dictateurs.
Notre monde est désormais mené d’une main de fer… par un homme d’acier.Lancée au départ pour mettre en lumière l’univers du jeu vidéo éponyme de combat, Injustice : Gods Among Us est une série de comics publiés de manière hebdomadaire et en numérique dans sa version originale. Ce premier tome, publié par Urban Comics, intitulé « Année 1 – 1ère partie » et accompagné du jeu vidéo qu’il approfondit, se compose des six premiers épisodes de la série, six chapitres d’une grande tension déjà qui lance parfaitement une série qui poursuivra son petit bonhomme de chemin pendant un bon moment.
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Princes de la pègre
Titre : Princes de la pègre
Auteur : Douglas Hulick
Éditeur : L’Atalante
Date de publication : 2012Synopsis : Dangereuse cité qu’Ildrecca, où il ne fait pas bon s’aventurer si l’on n’a pas l’oeil vigilant et la main prompte à la riposte. Pour sa part, Drothe s’y sent à son aise. Il traque la rumeur pour le compte d’un parrain local tout en arrondissant ses fins de mois dans le trafic de reliques impériales. La pègre a de beaux jours devant elle Du reste, les trois incarnations de l’empereur qui se succèdent sur le trône sont trop occupées à se chercher des noises pour en prendre ombrage, tant qu’aucun meneur n’émerge pour unifier la canaille. Jusqu’au jour où Drothe met la main sur un livre très convoité qui pourrait bien causer la chute de l’empire. Entraîné tambour battant dans une aventure qui le dépasse, il n’imagine pas les dangers qui l’attendent et les sacrifices auxquels il va devoir se résoudre, révélant au bout du compte une étonnante intégrité au service des siens : le peuple de la pègre.
Dans l’argot de la pègre, je suis ce qu’on appelle un « nez ». Cela signifie que je gagne ma vie en fourrant mon blair dans les affaires des autres et en jouant les fouille-merde – bref, une plaie. Je suis courtier en informations : je rassemble ce que je peux par tous les moyens à ma disposition – informateurs rémunérés, pots-de-vin, indiscrétions, chantage, cambriolage, coups montés… voire, en de rares occasions, torture. Bref, ce qu’il faut pour obtenir mes infos. C’est ce qui distingue un nez d’une vulgaire commère.
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Archer & Armstrong, tome 1 : Le Michelangelo Code
Titre : Le Michelangelo Code
Série : Archer & Armstrong, tome 1
Scénariste : Fred Van Lente
Dessinateur : Clayton Henry
Éditeur : Panini Comics (100% Fusion)
Date de publication : 30 octobre 2013 (2012 en VO chez Valiant Comics)Synopsis : Obadiah Archer a passé les dix-huit premières années de sa vie à s’entraîner dans un parc d’attractions. Aujourd’hui, le moment est venu pour lui d’accomplir une mission sacrée pour la secte que dirigent ses parents. Obadiah doit se rendre dans la décadente New York pour éliminer Armstrong, un ivrogne épicurien immortel qui habite sur la planète depuis dix mille ans. Mais le candide tueur comprend vite que sa cible et lui sont les pions d’une machination qui perdure depuis des siècles. Ils unissent alors leurs forces pour repousser un danger qui pourrait éradiquer toute vie sur Terre !
– Regarde à gauche ! J’ai tiré un coup dans cette ruelle à l’époque de Napoléon… Tu vois le cyber-café à ta droite ? C’était une taverne du temps de l’empereur Claudius… ils avaient un de ces vins… Et j’ai posé pour le « Moïse » de Michel-Ange dans son atelier là-bas ! (J’étais bien plus mince à l’époque…)
– Tu as connu Michel-Ange ?
– Connu ? C’était le meilleur pote de drague de la Renaissance ! Tu sais, les uniformes des Gardes suisses qu’il a créés ? J’avais parié avec lui vingt ducats que le Vatican accepterait le pire dessin qu’il ferait… et il a perdu ! Ha !Archer & Armstrong fait partie de ces séries atypiques qui, quoi qu’elles fassent, m’attirent irrésistiblement alors que je sais très bien qu’il ne faudrait pas céder. L’opération de Panini pour mettre en avant l’univers Valiant a fait son effet et parmi les cinq séries déjà lancées, c’est celle-ci que je vous conseille le plus vivement !
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Daredevil par Frank Miller, tome 2
Titre : Daredevil par Frank Miller, tome 2
Série : Daredevil par Frank Miller, tome 2
Scénaristes : Frank Miller, Roger McKenzie et Denny O’Neil
Dessinateurs : Frank Miller, Klaus Janson, David Mazzucchelli, John Buscema et Bill Sienkiewicz
Éditeur : Panini Comics (Marvel Icons)
Date de publication : 8 octobre 2014 (1981-1986 en VO chez Marvel Comics)Synopsis : La mort d’Elektra a bouleversé Daredevil. Pour l’Homme Sans Peur commence alors un sombre voyage. Il affronte de vieux ennemis, retrouve des alliés, Black Widow et le Punisher, et découvre enfin la vérité sur lui-même lors d’un dramatique face-à-face avec Bullseye. Frank Miller et Klaus Janson mettent un terme à leur mémorable prestation sur la série Daredevil. Des épisodes dessinés par David Mazzucchelli et un Graphic Novel peint par Bill Sienkiewicz complètent le sommaire.
Parfois je bénis l’accident qui, en me rendant aveugle, a affiné mes autres sens. Il m’a ouvert un monde de sons et d’odeurs auquel je suis seul à accéder. Oui, je l’en remercie… parfois. Pas là.
Je sens ses côtés brisées… sa colonne en miettes… J’entends son cœur hésiter… s’arrêter.Deuxième gros volume sur le mythique run de Frank Miller sur le personnage de Daredevil !
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Daredevil par Frank Miller, tome 1
Titre : Daredevil par Frank Miller, tome 1
Série : Daredevil par Frank Miller, tome 1
Scénaristes : Frank Miller et Mike Barr
Dessinateurs : Frank Miller et Herb Trimpe
Éditeur : Panini Comics (Marvel Icons)
Date de publication : 20 août 2014 (1979-1982 en VO chez Marvel Comics)Synopsis : Frank Miller et Daredevil, c’est l’histoire d’un auteur qui a rendu célèbre un personnage ou celle d’un personnage qui a rendu célèbre son auteur… Après la publication du premier run de Miller dans la collection Intégrale, Panini Comics présente les récits qui ont fait la réputation du scénariste, dans un magnifique et imposant recueil. Parmi eux : Daredevil – L’homme sans peur qui narre les origines du héros illustrées par le grand John Romita Jr et l’incontournable saga Renaissance sur laquelle l’accompagne David Mazzucchelli (Batman: Year One). Dans ce récit, Daredevil doit se relever après une terrible défaite contre le Caïd. Enfin le très rare Amour et guerre… un récit illustré par Bill Sienkiewicz. En résumé : un auteur culte, un héros culte, des récits cultes, un album culte !
Super. Ils ont le meilleur tueur au monde sous la main et ils s’en servent de coursier ! Tu parles de bouffons !
Après le Spider-Man de Joe Michael Straczynski, Panini Comics s’attaque à la réédition du run de Frank Miller sur Daredevil dans une collection Marvel Icons qui rappelle évidemment les DC Signatures de chez Urban Comics !
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X-O Manowar, tome 1 : L’armure de Shanhara
Titre : L’armure de Shanhara
Série : X-O Manowar, tome 1
Scénariste : Peter Venditti
Dessinateur : Cary Nord
Éditeur : Panini Comics (100% Fusion)
Date de publication : 25 septembre 2013 (2012 en VO chez Valiant ComicsSynopsis : Découvrez les origines d’Aric de Dacia, héritier du trône des Visigoths, qui se retrouve prisonnier d’un monde qu’il ne comprend pas. Pour retrouver sa famille et les sauver de l’esclavage, il va devoir voler une arme extrêmement puissante et devenir X-O Manowar.
Rome. Tu as prospéré pendant mon absence. Tes viles armes ont conquis plus de terres. Mais Aric de Dacia n’est plus le même guerrier wisigoth que par le passé. J’ai mieux qu’une épée. Tes hauts murs n’y pourront rien. Ton peuple appelle cet endroit « la Cité éternelle ». Cela va changer.
À l’occasion de la franche baisse des prix de la collection Valiant chez Panini Comics, je me lance à bras le corps dans la lecture des tomes 1 déjà parus (tous à 5€ à partir du 3 septembre 2014 !). X-O Manowar avait démarré la publication du tout nouvel univers super-héroïque Valiant, complètement relancé en 2012.
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Mort à La Fenice
Titre : Mort à la Fenice (Death at The Fenice)
Cycle : Les aventures du commissaire Brunetti, tome 1
Auteur : Donna Leon
Éditeur : Points (Policier) [auparavant chez Calmann-Lévy]
Date de publication : 1992 en VO chez Chapmans Publishers (RU) et HarperCollins (EU), à partir de 1997 en FranceSynopsis : Les amateurs d’opéra sont réunis à la Fenice de Venise où ce soir-là, Wellauer, le célébrissime chef d’orchestre allemand, dirige La Traviata. La sonnerie annonçant la fin de l’entracte retentit, les spectateurs regagnent leur place, les musiciens s’installent, les brouhahas cessent, tout le monde attend le retour du maestro. Les minutes passent, le silence devient pesant, Wellauer n’est toujours pas là… il gît dans sa loge, mort. Le commissaire Guido Brunetti, aussitôt dépêché sur les lieux, conclut rapidement à un empoisonnement au cyanure. Le très respecté musicien avait-il des ennemis ? Dans les coulisses de l’opéra, Guido Brunetti découvre l’envers du décor.
– On dirait que vous cherchez à l’excuser, observa la vice-questeur. Est-elle jolie ? »
Brunetti comprit que Patta devait avoir compris la différence d’âge qui existait entre Wellauer et sa veuve.
« Oui, à condition d’aimer les grandes blondes.
– Vous ne les aimez pas ?
– Ma femme ne m’y autorise pas, monsieur. »Pour découvrir Donna Leon et les aventures du commissaire Brunetti, autant débuter par la toute première enquête publiée en 1992, Mort à La Fenice !
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Sin City, tome 5 : Valeurs familiales
Titre : Valeurs familiales
Série : Sin City, tome 5
Scénariste et Dessinateur : Frank Miller
Éditeur : Rackham (fiche officielle)
Date de publication : 21 août 2014 (1997 en VO chez Dark Horse Comics)Synopsis : Sin City, comme toutes les villes où règne le crime et la violence, a une pègre et cette pègre a un parrain, don Giacco Magliozzi. Comme tous ses semblables, il a un code d’honneur et des valeurs, la famille par-dessus tout, avec lesquels il ne badine pas du tout. Un soir, à la sortie d’un restaurant un petit truand filngue un indic’ et sa copine, qui n’est autre que la nièce de Magliozzi. Le malheureux petit truand va devoir faire face à la vengeance du parrain. Une traque impitoyable démarre aussitôt… mais les choses se compliquent quand une balle perdue tue une fille de la Vieille Ville. Miho, la terrible petite tueuse, reprend du service… la pègre de Sin City va en faire les frais.
Valeurs familiales est le seul tome de la série Sin City a ne pas avoir été préalablement publié sous forme de comics. À l’occasion du vingtième anniversaire de la publication du premier épisode de Sin City, Rackham réédite l’intégralité de la série dans un nouveau format et avec de nouvelles couvertures, spécialement dessinées par Frank Miller. Couverture cartonné, dos rond, tranche-fil rouge… tout pour en faire un collector.– Vous me passerez les menottes ! Et puis vous me donnerez la fessée en m’appelant « Belinda » ! C’est ce que me fait Douglas !
– Ah, la vache ! J’ai le chic pour les trouver.Les éditions Rackham poursuivent leur réédition complète de la série Sin City de Frank Miller dans un style immaculé et avec des couvertures toute neuves signées de l’auteur lui-même, toujours à la fois scénariste et dessinateur sur sa franchise phare.
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Une histoire populaire de l’Empire américain
Titre : Une histoire populaire de l’Empire américain
Auteur : Howard Zinn
Scénariste : Paul Buhle
Dessinateur : Mike Konopacki
Éditeur : Delcourt
Date de publication : 2014 (juillet)Synopsis : En tant qu’intellectuel, Howard Zinn part de ce postulat : le point de vue traditionnellement adopté par les ouvrages d’histoire est assez limité. Ainsi, il décide de rédiger un ouvrage sur l’Histoire des États-Unis afin d’en offrir une perspective différente : c’est la naissance d’Une histoire populaire des États-Unis. Ce livre dépeint les luttes qui opposèrent les Indiens d’Amérique aux Européens, l’expansion des États-Unis, les révoltes des esclaves contre le système qui les oppressait, les oppositions entre syndicalistes – ou simples travailleurs – et capitalistes, les combats des femmes contre le patriarcat, le mouvement mené par les Noirs contre le racisme et pour les droits civiques, et d’autres parties de l’Histoire américaine qui n’apparaissent pas dans les livres. Cette adaptation en bande dessinée est remarquable par sa puissance synthétique, qui réussit à n’édulcorer en rien le propos de Zinn ; son découpage et son rythme parviennent à insuffler une vie à ce qui pourrait n’apparaître que comme une somme historique.
Il y a des années, j’ai admis ma parenté avec tous les êtres vivants et j’ai résolu que je n’étais pas meilleur une once que la plus pauvre des personnes sur Terre. Tant qu’il y a une classe inférieure, j’en suis. Tant qu’il y a une classe criminelle, j’en fais partie. Tant qu’il y a une âme en prison, je ne suis pas libre. (Eugène Debs, syndicaliste et socialiste. Discours prononcé au moment de sa condamnation en 1919 pour s’être manifesté contre l’entrée en guerre des États-Unis)
Ah, l’Amérique ! Pays de la démocratie et de la liberté, véritable eldorado où tout devient possible pour n’importe qui, puissance mondiale inégalable dictant sa loi sur tous les continents… Il se prend une sacrée claque, le pays de l’oncle Sam, dans cet ouvrage adapté du best-seller de l’historien et politologue américain Howard Zinn intitulé « Une histoire populaire des États-Unis de 1492 à nos jours ». Un ouvrage devenu culte aux États-Unis et dans lequel l’auteur analyse les grandes lignes de la politique expansionniste menée par son pays depuis le XIXe siècle, sans ne rien omettre ou édulcorer. Et le résultat fait froid dans le dos !
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Green Arrow, tome 2 : La guerre des Outsiders
Titre : La guerre des Outsiders
Série : Green Arrow, tome 2
Scénariste : Jeff Lemire
Dessinateur : Andrea Sorrentino
Éditeur : Urban Comics (DC Renaissance)
Date de publication : 31 octobre 2014 (2014 en VO chez DC Comics)Synopsis : Oliver Queen est désormais au courant du passé de son père et de la destinée qui lui incombe. Pris dans une guerre entre les différents clans d’Outsiders, il va devoir surmonter sa plus grande crainte : retourner sur l’île qui a tout changé à son existence.
La faim peut faire des miracles sur une personne. Ça vous pousse à accomplir des choses que vous n’auriez jamais crues possibles… Cela vous consume entièrement. Tout le reste disparaît. Tout ce qui compte, c’est trouver à manger. Pour que ça s’arrête.
Après un premier tome qui remettait tout à plat dans la continuité de Green Arrow en nous proposant une toute nouvelle mythologie du personne, Jeff Lemire et Andrea Sorrentino poursuivent leur run salué par tous et salvateur pour Oliver Queen.










