• Aztechs

    Aztechs

    Titre : Aztechs
    Auteur : Lucius Shepard
    Nouvelles : « Aztechs » ; « La présence » ; « Le dernier testament » ; « Ariel » ; « Le rocher aux crocodiles » ; « L’éternité et après »
    Éditeur : Le Bélial / J’ai Lu
    Date de publication : 2005 / 2008
    Récompenses : Grand Prix de l’Imaginaire 2007 (catégorie nouvelle)

    Synopsis : Embarquez pour le Mexique, théâtre d’une guerre sans merci entre multinationales omnipotentes et armées jusqu’aux dents ; pour New York, où il se passe de bien drôles de choses sur le site de Ground Zero ; pour l’Afrique noire, sur laquelle, dans l’ombre, les hommes-crocodiles règnent sans partage ; pour Moscou, où il vaut mieux ne pas trop s’approcher de l’Eternité — une boîte à la mode — au risque d’y perdre son âme, et bien plus… A travers six longs récits d’une intensité rare, Lucius Shepard repousse les limites de l’imaginaire et nous emmène loin, bien loin de nos repères.

    Note 4.0

    C’est comme s’il allait bosser au Mordor, parmi les ombres omniprésentes. Les cendres et la peine. Au bout d’un temps, vous avez l’impression que le lieu vous transforme en fantôme. Vous n’êtes plus réel, vous n’êtes qu’une relique, un fragment de vie. Quand vous racontez ce genre de merde ça vous fait rire. C’est vraiment de la connerie. Puis vous arrêtez de rire et vous savez que c’est vrai. Ground Zero est un champ de mort. Comme le Cambodge. Ou Hiroshima. Ils parlent déjà de reconstruire quelque chose, mais ils sont cinglés. Autant construire un Dairy Queen à Dachau. Qui aurait envie de manger là-bas ? (La présence)

    Un Mexique du futur ravagé par la lutte opposant de puissantes entreprises. Un pays d’Afrique hanté par le fantôme de son précédent dictateur et la présence d’hommes-crocodiles. Une boite russe réservée aux truands dans laquelle se déroulent de bien curieux événements. Voilà le genre d’histoire que nous propose de découvrir Lucius Shepard dans ce recueil de six nouvelles, toutes plus atypiques les unes que les autres. Les quelques commentaires que j’avais pu glaner concernant « Aztechs » promettaient une expérience de lecture inoubliable et je dois avouer être totalement tombée sous le charme de la plume de l’auteur.

  • Le Trône de fer, tome 3 : La bataille des rois

    Trone de fer 3 Bataille des rois

    Titre : La bataille des rois (1ère partie de « A Clash of Kings »)
    Cycle : Le Trône de Fer, tome 13 (A Song of Ice and Fire)
    Auteur : George R. R. Martin
    Éditeur : Pygmalion, puis J’ai Lu
    Date de publication : 16 février 2000, puis 11 janvier 2002

    Synopsis : Le roi Robert n’est plus, tout comme son ami Ned Stark, exécuté. La dynastie Baratheon n’aura duré qu’une génération, et la paix plusieurs fois centenaire du royaume des Sept Couronnes a volé en éclats : Joffrey, le bâtard illégitime, se terre dans la capitale ; les frères de Robert rallient des troupes à leurs bannières ; le fils Stark a levé son armée et crie vengeance ; des pirates razzient les côtes et des brigands pillent les campagnes… Des quatre monarques qui se disputent la dépouille du royaume, chacun est bien décidé à faire parler l’acier.

    Note 4.0

    Courage et folie sont cousins, du moins le prétend-on.

    La Bataille des Rois. Rien qu’avec le titre et en connaissant les événements de la fin du tome 2, on se dit que Le Trône de Fer va encore nous envoyer du lourd. On ne se trompe pas : cette saga nous offre énormément rien que dans ce « petit » tome.

  • Des milliards de tapis de cheveux

    Des milliards de tapis de cheveux L'Atalante

    Titre : Des milliards de tapis de cheveux (Die Haarteppichknüpfer)
    Auteur : Andreas Eschbach
    Éditeur : L’Atalante (La Dentelle du Cygne) / J’ai Lu (Science-Fiction)
    Date de publication : 1999, puis 2004 (1995 en VO)
    Récompenses : Prix Bob-Morane 2001 du roman étranger, Grand Prix de l’Imaginaire 2001 du roman étranger, Prix Bob-Morane 2008 spécial

    Synopsis : Noeud après noeud, jour après jour, toute une vie durant, ses mains répétaient les mêmes gestes, nouant et renouant sans cesse les fins cheveux, comme son père et le père de son père l’avaient fait avant lui…
    N’est-ce pas étrange qu’un monde entier s’adonne ainsi au tissage de tapis en cheveux ? L’objet en est, dit-on, d’orner le Palais des Etoiles, la demeure de l’Empereur. Mais qu’en est-il de l’Empereur lui-même ? N’entend-on pas qu’il aurait abdiqué ? qu’il serait mort, abattu par des rebelles ?
    Comment cela serait-il possible ? Le soleil brillerait-il sans lui ? Les étoiles luiraient-elles encore au firmament ?
    L’Empereur, les rebelles, des milliards de tapis de cheveux ; il est long le chemin qui mène à la vérité, de la cité de Yahannochia au Palais des Etoiles, et jusqu’au Palais des Larmes sur un monde oublié…

    Note 4.0

    Nœud après nœud, jour après jour, une vie durant, les mains de l’exécutant répétaient sans cesse les mêmes gestes, nouant et renouant sans cesse les fins cheveux, des cheveux si fins et si ténus que ses doigts finissaient immanquablement par trembler et ses yeux par faiblir de s’être si intensément concentrés – et pourtant, l’avancée de l’ouvrage était à peine perceptible ; une bonne journée de travail avait comme maigre fruit un nouveau fragment de tapis dont la taille approximative n’excédait pas celle d’un ongle.

    Ils sont beaux, mes tapis, ils sont beaux ! Tout de cheveux tissés, ils sont le but ultime de tout bon père de famille désireux d’assurer un certain train de vie à sa descendance ! Grâce à ce système social à première vue capillotracté, et pourtant diablement original, Andreas Eschbach nous tisse une histoire touffue certes, mais également moelleuse et confortable.

  • L’empire invisible

    L'empire invisible

    Titre : L’empire invisible
    Auteur : Jérôme Noirez
    Éditeur : Gulf Stream / J’ai lu
    Date de publication : 2008 / 2010

    Synopsis : 1858. Sous le soleil brûlant de la Caroline-du-Sud, les esclaves ramassent le coton, avec la mort comme seule promesse d’une vie meilleure. Nat Walker est l’un d’eux, le chef officieux de leur communauté. La nuit, en secret, il offre à ses pairs un peu de réconfort en disant la messe pour ceux qui n’ont plus d’espoir. Mais les milices privées du maître ont l’alcool violent et la main lourde : Nat est battu à mort sous les yeux de sa fille, Clara. Désormais, Clara ne vit plus que pour se venger, se repaître du sang de ses bourreaux. Seule, elle ne peut rien, mais un étrange personnage, un esclave qui dit s’être libéré de ses chaînes par la mort et par le feu, lui propose un pacte. Jusqu’où la mènera la voie de la vengeance ?

    Note 4.0

    En Amérique, il est si facile de tout quitter, de s’inventer une nouvelle vie. Plusieurs employés se sont ainsi volatilisés du jour au lendemain. Il suffit de franchir la frontière de l’état et l’on entend plus parler de vous. Vous partez faire fortune dans l’Ouest, vous devenez trappeur, vous mourez criblés de flèches ou de balles, qui s’en soucie vraiment.

  • Cornes

    Cornes

    Titre : Cornes
    Auteur : Joe Hill
    Éditeur : JC Lattès / J’ai Lu
    Date de publication : 2011 / 2013

    Synopsis : Lorsqu’un matin des cornes lui ont poussé sur la tête, Ig croit d’abord à une hallucination, un tour que lui joue son esprit rongé par la colère et le chagrin. Car depuis un an, depuis que sa petite amie a été violée et tuée dans de mystérieuses circonstances, il vit un enfer. Pourtant, les cornes sont bien réelles, et assorties d’un nouveau pouvoir qui incite quiconque s’approchant d’Ig à lui confier ses secrets les plus inavouables. D’abord torturé par ce macabre don, Ig a tôt fait de comprendre qu’il va pouvoir l’utiliser pour retrouver le monstre qui a assassiné Merrin et détruit sa vie. Il est temps de prendre sa revanche, de donner sa part au diable… Car en fin de compte, ce dernier ne nous comprend-il pas mieux que son éternel rival ?

    Note 4.0

    Seul le diable aime les hommes pour ce qu’ils sont et se délecte de la fourberie avec laquelle ils s’abusent eux-mêmes, leur curiosité éhontée, leur manque de maîtrise, leur tendance à enfreindre les règles sitôt qu’elles sont édictées, leur volonté de renoncer à leur âme immortelle pour une bonne partie de jambes en l’air. Car seuls ceux qui ont le courage de risquer leur âme par amour ont le droit d’en avoir une, et cela le diable le sait, contrairement à Dieu.

    Ig est un jeune homme ordinaire d’une petite ville des États-Unis : passionné de musique, un peu maladroit, plein de vie, et surtout éperdument amoureux de Merrin, la belle rousse avec laquelle il file le parfait amour depuis son adolescence. Merrin, que la police va finir par retrouver violée et sauvagement assassinée. Aucun coupable n’ayant pu être désigné, c’est tout naturellement sur Ig que se portent les soupçons de tous. Et comme si cela ne suffisait pas, voilà que le jeune homme se réveille un matin avec une sacrée gueule de bois et se découvre… des cornes. Deux appendices des plus gênant dont personne ne semble pourtant faire grand cas et qui poussent ceux entrant en contact avec leur porteur à lui révéler tous leurs petits (ou gros) secrets inavouables. Grande fan des comics « Locke & Key » ou encore de « The Cape », c’est tout naturellement que j’ai eu envie de découvrir ce dont Joe Hill était capable en tant que romancier. Et je ne suis absolument pas déçue !

  • Les annales de la Compagnie noire, tome 3 : La rose blanche

    Les annales de la compagnie noire 3

    Titre : La rose blanche
    Cycle : Les annales de la Compagnie noire, tome 3
    Auteur : Glen Cook
    Éditeur : L’Atalante / J’ai lu
    Date de publication : 1999 / 2008 (1985 pour la version originale)

    Synopsis : Réduite à une poignées d’hommes, la Compagnie noire a définitivement changé de camp. Sa nouvelle tâche est de protéger la Rose Blanche, la seule capable de vaincre la Dame et ses forces maléfiques. Mais cette ultime confrontation doit avoir lieu lors du passage de la grande comète… et cette échéance est encore lointaine. Réfugiés dans la plaine de la Peur, un lieu cauchemardesque peuplé d’étranges créatures, les soldats de la dernière des compagnies franches de Khatovar s’apprêtent à subir le plus long siège de leur histoire. Un siège de plusieurs décennies. À moins qu’un événement capital ne se produise. Car quelque chose bouge dans le grand tumulus où repose le Dominateur…

    Note 3.5

    Pendant toutes ces années de fuite, les forces de la Dame nous avaient rattrapé en plusieurs occasions. Le Pont de la Reine avait été la pire. Une centaine de nos gars y avaient trouvé la mort et à ma grande honte j’y avais laissé les annales enterrées dans une berge de la rivière. Quatre cents ans de chroniques de la Compagnie abandonnées. Depuis, des bouffées de culpabilité me taraudaient régulièrement. Je dois répondre aux ombres des compagnons disparus. Ces annales sont la Compagnie noire. Tant qu’elles existent, la Compagnie survit.

  • Les annales de la Compagnie noire, tome 2 : Le château noir

    Les annales de la compagnie noire 2

    Titre : Le château noir
    Cycle : Les annales de la Compagnie noire, tome 2
    Auteur : Glen Cook
    Éditeur : L’Atalante / J’ai lu
    Date de publication : 1999 / 2008 (1984 pour la version originale)

    Synopsis : D’étranges disparitions se succèdent dans la ville de Génépi : cadavres et vivants se volatilisent, proies d’un mystérieux commerce nocturne. Y aurait-il un rapport avec le château noir, cette sombre éminence qui domine la ville, cette verrue monstrueuse qui semble croître de jour en jour ? Possible… En tout cas, la Dame semble prendre la menace très au sérieux et dépêche la Compagnie sur place pour voir de quoi il retourne. Coincée entre l’horreur qui grandit aux abords du château et la peur que lui inspire son commanditaire, la légendaire Compagnie noire pourrait bien envisager pour la première fois de son histoire de rompre son contrat et de redéfinir ses allégeances…

    Note 3.0

    Tous les hommes naissent condamnés, disent les sages. Tous tètent le sein de la mort. Tous s’inclinent devant ce monarque silencieux. Ce souverain des ténèbres lève un doigt. Une plume volette et se pose à terre. Nulle raison dans son chant. Les bons partent jeunes. Les mauvais prospèrent. Il règne sur les seigneurs du chaos.

  • La Saison de la sorcière

    La Saison de la sorcière

    La Saison de la sorcière

    Titre : La Saison de la sorcière
    Auteur : Roland C. Wagner
    Éditeur : J’ai lu (Millénaires) / Les Moutons électriques (La Bibliothèque voltaïque)
    Date de publication : 15 octobre 2003 / 3 novembre 2017
    Récompenses : Prix Bob-Morane 2004, Prix Rosny-aîné (roman) 2004

    Synopsis : Une vague d’attentats tout aussi déroutants qu’inexplicables ébranle les symboles de puissance des nations les plus industrialisées. L’Europe est particulièrement touchée par cette nouvelle forme de terrorisme à nulle autre pareille, qui fait usage de forces surnaturelles mais épargne les vies humaines. Pour les États-Unis, puissance tutélaire et parangon impérial(iste) du monde occidental, la lutte contre les « sorciers du tiers monde » est une priorité absolue, voire une mission sacrée. Qui ne s’embarrasse d’aucune demi-mesure : recrutement à tour de bras de bataillons de mages soldats, invasion de la France et d’une partie de l’Europe sous prétexte de « protéger » le Vieux Continent… La tension internationale est à son comble. C’est dans ce contexte global de lutte acharnée contre les « forces du Mal » que Fric, jeune zonard français fraîchement sorti de prison, doit entamer sa réinsertion…
    À l’heure où la seconde guerre « préventive » d’Irak est encore dans toutes les mémoires, voici à n’en pas douter un roman de politique-fiction qui fera date ! La saison de la Sorcière est en effet une satire virulente et féroce d’une sombre acuité sur le monde de l’après-11 septembre 2001. Un monde où ne cesse de grandir le fossé entre les champions d’un ultralibéralisme sauvage, mondialiste et dérégulateur, et les laissés-pour-compte d’un tiers monde traditionaliste. Un livre choc qui, sous couvert d’un de ces récits déjantés et rock’n’roll dont seul Roland C. Wagner a le secret, est un cruel miroir tendu aux dérives de nos sociétés du troisième millénaire.

    Bibliocosme Note 4.0

    C’était une bonne chose, songea l’Opérateur, que ces enquiquineurs de mangeurs de grenouilles se mettent enfin au diapason. Leur laxisme légendaire était l’une des raisons pour lesquelles le gouvernement de leur pays s’était retrouvé désavoué après le premier attentat sorcier. Certes, ils avaient fait des progrès depuis le début du siècle en démantelant leur foutu « service public », en renonçant peu à peu à une protection sociale surdimensionnée qui n’était qu’une incitation à la paresse, ou en multipliant par cinq ou six le nombre de détenus. Mais ils avaient encore pas mal de chemin à parcourir s’ils voulaient atteindre le haut niveau de civilisation des USA, où la place de chacun dans la société dépendait de son mérite, et non d’aides coûteuses prélevées sur les impôts. Rétablir le châtiment suprême représentait à cet égard un grand pas en avant : plus question, désormais, d’entretenir pendant des lustres meurtriers et terroristes aux frais des contribuables.

  • Le Trône de fer, tome 15 : Une danse avec les dragons

    Le trône de fer XV

    Titre : Une danse avec les dragons (3e partie de « A Dance with Dragons »)
    Cycle : Le Trône de fer, tome 15 (A Song of Ice and Fire)
    Auteur : George R. R. Martin
    Éditeur : Pygmalion
    Date de publication : 2013 (2011 pour la version originale)

    Synopsis : Daenerys a eu beau se plier à toutes les exigences du peuple de Meereen – épouser Hizdahr zo Loraq, rouvrir les arènes de combat, pactiser avec des mercenaires qui l’ont déjà trahie –, rien n’y fait : la paix précaire risque à tout moment de dégénérer en un siège sanglant. D’autant plus que la jument pâle, cette peste incurable, continue de faire des ravages aux portes de la ville. Yezzan zo Qaggaz, le maître de Tyrion, figure parmi les dernières victimes en date. Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, le nain y voit une occasion unique de prendre la poudre d’escampette. Pendant ce temps, au Nord, les portes de Winterfell demeurent obstinément closes, tandis que la forteresse disparaît peu à peu sous un épais manteau de neige. Ses remparts servent-ils à protéger ses occupants de l’assaut de moins en moins probable des troupes de Stannis Baratheon ou à sceller leur tombeau ?

    Note 4.5

    -Bien, comment fais-je pour me procurer des armes et une armures ?
    -Auras-tu également besoin d’une truie à chevaucher ? s’enquit Kasporio.
    -Diantre, j’ignorais que ta femme fît parti de la compagnie, répliqua Tyrion. C’est fort aimable à toi de me la proposer, mais je préférerais un cheval.

  • Le Trône de fer, tome 14 : Les Dragons de Meereen

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    Titre : Les Dragons de Meereen (2ème partie de « A Dance with Dragons »)
    Cycle : Le Trône de fer, tome 14 (A Song of Ice and Fire)
    Auteur : George R. R. Martin
    Éditeur : Pygmalion, puis J’ai Lu
    Date de publication : 5 septembre 2012, puis 2014 (12 juillet 2011 en VO)

    Synopsis : A présent que Stannis Baratheon est parti reprendre Winterfell aux Bolton pour s’assurer la domination du Nord, Jon Snow est redevenu le seul maître du Mur. Cependant, le roi autoproclamé a laissé sur place Mélisandre, la prêtresse rouge, qui semble décidée à apporter son aide au bâtard. Les flammes lui révèlent l’avenir, mais quel avenir ?
    À Meereen, la situation s’enlise : le blocus du port par les esclavagistes ne semble pas vouloir prendre fin, et Daenerys refuse d’envoyer ses dragons y mettre un terme flamboyant. L’enquête visant à démasquer les Fils de la Harpie, coupables des meurtres qui ensanglantent le pouvoir, piétine elle aussi. Seul un mariage pourrait dénouer la situation, mais les prétendants sont nombreux et les conséquences hasardeuses.
    Quant aux Lannister, ils vont devoir attendre encore un peu avant de pouvoir décoller la tête de leur lutin de frère : le ravisseur de Tyrion a de tout autres projets pour ce dernier…

    Note 4.0

    Les hommes sont des hommes, les vœux, c’est des mots, et les mots, c’est du vent.

    « Les Dragons de Meereen », si le titre est aussi simple qu’évident, il a au moins le mérite de mieux exposer le sujet que celui du tome précédent : en effet, ici tout tourne autour des enfants de Daenerys car tout le monde, ou presque, veut se les approprier de près ou de loin.