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Saga, tome 2
Titre : Saga, tome 2
Série : Saga, tome 2
Scénariste : Brian K. Vaughan
Dessinateur : Fiona Staples
Éditeur : Urban Comics (Urban Indies)
Date de publication : 20 septembre 2013 (mai 2013 en VO chez Image Comics)Synopsis : Après avoir réchappé aux horreurs de la planète Clivage, à ses champs de bataille, et aux chasseurs de primes lancés à leur poursuite, Alana, Marko et leur fille Hazel, symbole d’une paix possible entre les deux peuples, s’apprêtent à relever leur plus grand défi : faire la connaissance des grands-parents !
N’oublie jamais. N’oublie jamais les innombrables héros qui ont tant sacrifié. Et plus important, n’oublie jamais ces maléfiques enculés avec leurs ailes.
Avec ce deuxième tome, cette Saga de Brian K. Vaughan et de Fiona Staples poursuit sa route entre univers de science-fiction et moult créatures fantastiques.
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Ayesha : La légende du peuple Turquoise
Titre : Ayesha : La légende du peuple Turquoise
Auteur : Ange (Anne et Gérard Guéro)
Éditeur : Bragelonne
Date de publication : 2005Synopsis : Dans les royaumes orientaux de Tanjor, le Peuple turquoise est en esclavage depuis des millénaires. Mais il chérit une légende qui lui donnera un jour le courage de se révolter : la légende d’Ayesha, la déesse qui commandera aux étoiles et rendra la liberté à ses enfants condamnés. La jeune reine Marikani n’est pas insensible à leur sort, mais elle a d’autres soucis. De retour d’exil, elle espère rallier la cité d’Harabec et reprendre le trône dont on la écartée. Malgré tout son orgueil, elle aura bien besoin de l’aide d’Arekh, un galérien cynique et brutal dont elle a sauvé la vie. Ils n’ont rien en commun. Leur rencontre va pourtant changer le destin de toute une civilisation, bien au-delà de tout ce qu’ils pouvaient imaginer. Ceci est l’histoire d’une femme indomptable, de ceux qui l’ont aimée et de ceux qui l’ont trahie. Ceci est l’histoire d’une révolution.
Qu’importe l’origine du mythe. Ce qui est certain, c’est qu’à l’époque où Salmyre, la cité lointaine, étincelait de ses dernières lumières d’or, que l’émir et la reine d’Harabec se livraient à leurs querelles insignifiantes et séculaires, une révolte sourde et secrète grondait dans le cœur des esclaves du Peuple turquoise. Ils parlaient d’Ayesha. Ils attendaient Ayesha.
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D’acier
Titre : D’acier
Auteur : Silvia Avallone
Éditeur : Liana Levi (coll. Piccolo)
Date de publication : 2010
Récompenses : Prix Campiello Opera Prima, Prix des lecteurs de L’Express 2011Synopsis : Le lieu : Piombino, en Toscane. La via Stalingrado, des HLM construits en bordure de mer, tels que les ont voulus les municipalités communistes dans les années 60. Les personnages : des familles ouvrières à l’heure de Berlusconi. Au centre, deux foyers où évoluent Anna et Francesca, treize ans, bientôt quatorze. Anna est la fille d’une battante et d’un petit escroc couvert de dettes. Francesca vit dans une famille repliée sur elle-même avec un père violent. Une amitié absolue, à la limite de l’ambiguïté, les lie depuis toujours. Ensemble, elles jouent de leur éclatante beauté, provoquent et se provoquent, rêvent de départ : l’université peut-être, ou l’île d’Elbe à quelques kilomètres… Une amitiéqui leur permet de supporter l’étouffement familial et un contexte économique désespérant. Car à la Lucchini, l’immense aciérie qui emploie les trois quarts des habitants, les commandes diminuent, le chômage pointe. Comment grandir, devenir quelqu’un, dans cet univers où les femmes sont prématurément fanées, les maris avachis, et la plage couverte de canettes vides et d’algues pourrissantes ? On est bien loin du vieux rêve de justice sociale.
Pour les jeunes qui vivaient dans les barres, pour les fils de personne qui suaient leur sueur et les sang dans les aciéries, la plage c’était déjà le paradis. Le seul le vrai.
L’Italie, la Toscane, Piombino, le soleil, la plage, ça donne envie, non ?
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Cinquante nuances de Grey
Titre : Cinquante nuances de Grey (Fifty Shades of Grey)
Série : Trilogie Cinquante nuances (Fifty Shades), tome 1
Auteur : E. L. James
Éditeur : JC Lattès (coll. Romans étrangers)
Date de publication : 17 octobre 2012 (3 avril 2012 en VO chez Vintage Books)Synopsis : Romantique, libérateur et totalement addictif, ce roman vous obsédera, vous possédera et vous marquera à jamais.
Lorsqu’Anastasia Steele, étudiante en littérature, interviewe le richissime jeune chef d’entreprise Christian Grey, elle le trouve très séduisant mais profondément intimidant. Convaincue que leur rencontre a été désastreuse, elle tente de l’oublier – jusqu’à ce qu’il débarque dans le magasin où elle travaille et l’invite à un rendez-vous en tête-à-tête.
Naïve et innocente, Ana ne se reconnait pas dans son désir pour cet homme. Quand il la prévient de garder ses distances, cela ne fait que raviver son trouble.
Mais Grey est tourmenté par des démons intérieurs, et consumé par le besoin de tout contrôler. Lorsqu’ils entament une liaison passionnée, Ana découvre ses propres désirs, ainsi que les secrets obscurs que Grey tient à dissimuler aux regards indiscrets…Premièrement, je ne fais pas l’amour. Je baise… brutalement. Deuxièmement, il y a encore des papiers à signer. Et troisièmement, vous ne savez pas encore à quoi vous vous engagez. Quand vous l’apprendrez, vous risquez de fuir à toutes jambes. Venez, je vais vous montrer ma salle de jeux.
J’ai un fort penchant SM, je l’avoue. Et je l’ai découvert en m’infligeant la lecture (quel vilain coup, mes amis, ma peau, mon âme et mes yeux cuisent encore violemment !) de ce « fameux roman d’amour érotique » (mettez tous les guillemets dont vous aurez besoin). Soulignons que « best-seller » n’est pas forcément synonyme de « mauvais », et heureusement ; toutefois, avec Cinquante nuances de Grey, c’est différent. Aussi, pour ce coup-ci, je m’en vais prendre ma grosse voix d’inquisiteur pour vous lancer un désespéré « Fuyez, pauvres fous ! ».
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Le protectorat de l’ombrelle, tome 1 : Sans âme
Titre : Sans âme
Cycle : Le protectorat de l’ombrelle, tome 1
Auteur : Gail Carriger
Éditeur : Orbit
Date de publication : 2011Synopsis : Alexia Tarabotti doit composer avec quelques contraintes sociales. Primo, elle n’a pas d’âme. Deuxio, elle est toujours célibataire et fille d’un père italien, mort. Tertio, elle vient de se faire grossièrement attaquer par un vampire qui, défiant la plus élémentaire des politesses, ne lui avait pas été présenté. Que faire ? Rien de bien, apparemment, car Alexia tue accidentellement le vampire. Lord Maccon – beau et compliqué, Écossais et loup-garou à ses heures – est envoyé par la reine Victoria pour enquêter sur l’affaire. Des vampires indésirables s’en mêlent, d’autres disparaissent, et tout le monde pense qu’Alexia est responsable. Découvrira-t-elle ce qui se trame réellement dans la bonne société londonienne ? Qui sont vraiment ses ennemis, et aiment-ils la tarte à la mélasse ?
-Pourquoi faites-vous ça tout le temps ?
-Quoi donc, mademoiselle Tarabotti ?
-M’exclure comme si j’étais une enfant. Est-ce que vous réalisez que je pourrais vous être utile ?
-Vous voulez dire que vous pourrez causer des problèmes légalement au lieu de nous empoisonner tout le temps ? -
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Saga, tome 1
Titre : Saga
Série : Saga, tome 1
Scénariste : Brian K. Vaughan
Dessinateur : Fiona Staples
Éditeur : Urban Comics (Urban Indies)
Date de publication : 2013Synopsis : Un univers sans limite, peuplé de tous les possibles. Une planète, Clivage, perdue dans la lumière froide d’une galaxie mourante. Sur ce monde en guerre, la vie vient déclore. Deux amants que tout oppose, Alana et Marko, donnent naissance à Hazel, un symbole d’espoir pour leurs peuples respectifs. L’espoir, une idée fragile qui devra s’extraire du chaos de Clivage pour grandir, sépanouir et conquérir l’immensité du cosmos.
Je m’appelle Hazel. Au début je n’étais qu’une idée, mais je suis devenue plus que ça. Guère davantage, à vrai dire. Je ne me suis pas non plus transformée en grande héroïne de guerre ou en sauveur tout puissant. Mais grâce à ces deux là j’ai au moins pu devenir adulte. Ce qui n’est pas le cas de tout le monde.
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Supergirl, tome 1 : La dernière fille de Krypton
Titre : La dernière fille de Krypton
Série : Supergirl, tome 1
Scénaristes : Michael Green et Mike Johnson
Dessinateur : Ahmud Asrar
Éditeur : Urban Comics (DC Renaissance)
Date de publication : 7 juin 2013Synopsis : Kara Zr-El était hier encore une jeune fille habitant sur Krypton avec sa famille et ses proches. Aujourd’hui, elle se réveille sur Terre et découvre que son cousin n’est plus le bébé qu’elle connaissait, mais un adulte à la puissance colossale qui plus est. Traquée, désorientée, tentant de maîtriser ses nouveaux pouvoirs, elle va devoir choisir entre dominer ou sauver l’humanité en tant que Supergirl !
Je crie, mais aucun son ne sort. Je pleure, mais il n’y a pas de larmes. Ma chair brûle, mais il n’y a pas de flammes. Tout ce qu’il y a… tout ce que je sens… c’est la douleur.
J’ai un faible pour les belles héroïnes bien écrites et vraiment héroïques, alors autant dire qu’avec cette Supergirl, nous pouvons espérer être servis. Supergirl ! Un nom qui ne casse pas des briques, c’est vrai, faisant vraiment trop « girly », mais qui peut signifier le cruel besoin de redorer le blason d’un personnage rarement bien mis en valeur.
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Avant toi
Titre : Avant toi (Me Before You)
Auteur : Jojo Moyes
Éditeur : Milady
Date de publication : 22 mars 2013 (2012 en VO chez Penguin)Synopsis : Quand Lou apprend que le bar où elle est serveuse depuis des années, met la clé sous la porte, c’est la panique. En pleine crise, dans ce trou paumé de l’Angleterre, elle se démène pour dégoter un job qui lui permettra d’apporter à sa famille le soutien financier nécessaire. On lui propose un contrat de six mois pour tenir compagnie à un handicapé. C’est alors que la jeune femme découvre Will, un jeune tétraplégique qui rêve de mettre fin à ses jours. Lou n’a que quelques mois pour le faire changer d’avis.
Dites-moi quelque chose qui fait du bien.
Un roman d’amour, je n’y suis pas habitué ; Jojo Moyes, je ne connais pas ; de la littérature anglaise, je suis loin d’être contre. C’est donc la curiosité qui m’a, avant tout, porté vers la lecture d’Avant Toi. Merci évidemment à Babelio, via ses opérations Masse Critique, et aux éditions Bragelonne (dont j’adore particulièrement les publications de fantasy), via leur label Midaly, de m’avoir permis de découvrir les épreuves non corrigées de ce roman salué par les critiques outre-Manche.
Autant le dire tout de suite : je n’ai pas accroché. Et j’ai réfléchi longtemps avant de me convaincre de publier cette critique négative.
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Apprendre à finir
Titre : Apprendre à finir
Auteur : Laurent Mauvignier
Éditeur : Les Editions de Minuit
Date de publication : 2000
Récompenses : Prix Wepler 2000, Prix du Livre Inter 2001 et Prix du deuxième roman 2001.Synopsis : Suite à l’accident de son mari, une femme décide de le reconquérir, de profiter de sa convalescence pour tout recommencer… alors que la partie est définitivement perdue. Un roman superbe sur la « schizophrénie » de la douleur amoureuse.
Pourquoi tu ne dis pas : je sais, je sais bien que nous deux c’est perdu. C’est si dure que ça, dire ça, quand on est un homme ? Mais moi, est-ce que je pourrais te dire ça à toi ? Avec mes mots qui ne te touchent jamais, dis, puisque de moi rien ne te touche, maintenant, ni mes paroles, ni mes mains..