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  • Le roi disait que j’étais diable

    Le roi disait que j'étais diable

    Titre : Le roi disait que j’étais diable
    Auteur : Clara Dupont-Monod
    Éditeur : Grasset
    Date de publication : 20 août 2014
    Récompenses : Prix Littéraire des Princes

    Synopsis : Depuis le XIIe siècle, Aliénor d’Aquitaine a sa légende. On l’a décrite libre, sorcière, conquérante : « le roi disait que j’étais diable », selon la formule de l’évêque de Tournai…
    Clara Dupont-Monod reprend cette figure mythique et invente ses premières années comme reine de France, aux côtés de Louis VII.
    Leurs voix alternent pour dessiner le portrait poignant d’une Aliénor ambitieuse, fragile, et le roman d’un amour impossible.
    Des noces royales à la seconde croisade, du chant des troubadours au fracas des armes, émerge un Moyen Age lumineux, qui prépare sa mue.

    Note 3.5

    La joie est stupide. Elle s’offre facilement. C’est l’émotion la plus reconnaissable, donc la moins perfide. Elle fendille les visages avec la stupeur un peu niaise de se découvrir léger. Rien n’est plus angoissant qu’un être joyeux. Comment peut-il ignorer la faim et les menaces ? La joie produit de mauvais combattants. Je lui préfère la colère, c’est une autre histoire. Elle fait bouillir le sang. Elle est la forme même de la vie, sa première vocifération. Elle peut trahir. J’aime la colère parce qu’elle a toujours quelque chose à révéler.

    Le sixième roman de Clara Dupont-Monod mise sur les blancs de l’Histoire pour bâtir une légende, celle d’Aliénor d’Aquitaine.

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  • Où va la nuit

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    Titre : Où va la nuit
    Scénario : Martin Provost et Marc Abdelnour d’après le roman de Keith Ridgway « Mauvaise pente » (édition Phébus)
    Réalisateur : Martin Provost
    Acteurs principaux : Yolande Moreau, Pierre Moure, Edith Scob, Jan Hammenecker, Laurent Capelluto
    Date de sortie française : 4 mai 2011

    Synopsis : Parce qu’elle a été trop longtemps victime, Rose Mayer décide de prendre son destin en main et assassine son mari. Elle part alors à Bruxelles retrouver son fils, qui a fui l’enfer familial depuis des années. Mais la liberté apparente n’efface pas la culpabilité, et les histoires de famille ne peuvent se résoudre sans l’accord de l’autre. Rose trouvera-t-elle sa place dans ce nouveau monde ?

    Note 3.0

    Dans le cadre de la journée « des violences faites aux femmes » le 25 novembre, le film de Martin Provost était projeté dans notre cinéma art et essais. Ce film parle donc d’une femme qui, devant la violence ignoble de son mari, choisit une solution radicale. Et s’enfuit retrouver son fils à Bruxelles. Mais très vite, Rose Mayer doit faire face à ce fils en colère et un policier tenace. La grande force du film, au-delà bien évidemment du sujet, vient de son interprète principale, la grande Yolande Moreau qui retrouve pour l’occasion son metteur en scène du très bon « Séraphine ». Moreau se glisse avec authenticité et talent dans ce personnage dont la vie est bien loin d‘un long fleuve tranquille. Femme battue, humiliée, réduite aux servitudes, elle est bouleversante. Et même si, une fois l’irrémédiable commis, cette fuite douloureuse lorsque son fils découvre la vérité lui permet de retrouver un semblant d‘humanité. Si la lumière vient de Moreau, le film souffre, lui, d’un manque de rythme, n’évite pas les longueurs, et sa direction d’acteurs (excepté Moreau) laisse parfois à désirer.

    Un film sombre à découvrir pour sa formidable actrice.

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  • Martha Jane Cannary, tome 1 : Les années 1852 – 1869

    Martha Jane Canary tome 1

    Titre : Martha Jane Cannary : Les années 1852 – 1869
    Série : La vie aventureuse de celle que l’on nommait Calamity Jane
    Scénariste : Christian Perrissin
    Dessinateur : Mathieu Blanchain
    Éditeur : Futuropolis
    Date de publication : 2008
    Récompenses : Prix Ouest France (2008). Prix Essentiel à Angoulême (2009).

    Synopsis : Martha Jane Cannary est certainement l’une des personnalités les plus connus des États Unis d’Amérique, sous le nom de Calamity Jane. Mais qui est-elle réellement ? Christian Perrissin et Matthieu Blanchin se sont penchés sur les écrits de Calamity Jane, Les Lettre à sa fille, et sur de nombreux autres écrits pour nous raconter la vie de cette aventurière, célèbre, mais assez méconnue, qui a croisé le Général Custer, et dont le grand amour se nommait Wild Bill Hickok. Mais c’est avant tout le portrait d’une femme que les auteurs dévoilent au-delà du mythe dans cette trilogie intimiste à grand spectacle.

    Note 4.0

    Je vais vous dire, MISS CANNARY : vous êtes une véritable calamité, pour ce convoi et pour l’armée des États-Unis toute entière ! Voilà ce que vous êtes : une CALAMITÉ !!!

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  • Lulu, femme nue

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    Titre : Lulu, femme nue
    Auteur : Etienne Davodeau
    Éditeur : Futuropolis
    Date de publication : 9 janvier 2014 pour l’intégrale
    Récompenses : – Prix Essentiel à Angoulême, Prix Ouest-France/Quai des Bulles à Saint-Malo, Prix Bédélys au Québec, Prix Saint-Michel en Belgique pour le tome 1

    Synopsis : Elle n’a rien prémédité. Ça se passe très simplement. Elle s’octroie quelques jours de liberté, seule, sur la côte, sans autre projet que de savourer pleinement, et sans culpabilité, cette vacance inédite. Presque surprise par sa propre audace, elle rencontre de drôles de gens qui sont, eux aussi, au bord du monde. Grisante, joyeuse, dangereuse et cruelle, l’expérience improvisée de Lulu en fera une autre femme…

    Note 4.5

    Elle passe trois jours à ne rien faire. Vraiment rien faire. Regarder le monde touner. Seulement être là. Vivante. Asolument vivante.

     

    Je me demandais pourquoi, après avoir vu le film de Solveig Anspach, il ne m’avait qu’en parti convaincu.

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  • Le jardin des silences

    Le jardin des silences

    Titre : Le jardin des silences
    Auteur : Mélanie Fazi
    Nouvelles : Swan le bien nommé ; L’arbre et les corneilles ; Miroir de porcelaine ; L’autre route ; Les Sœurs de la Tarasque ; Le pollen de minuit ; L’été dans la vallée ; Le jardin des silences ; Née du givre ; Dragon caché ; Un bal d’hiver ; Trois renards
    Éditeur : Bragelonne (L’autre)
    Date de publication : 2014 (novembre)

    Synopsis : Un bal secret au cœur de l’hiver, une violoniste dont les notes soulèvent le voile des apparences, une dresseuse d’automates dépassée par sa création : à travers ces douze textes ciselés, découvrez ou retrouvez l’univers envoûtant de Mélanie Fazi, auteure rare à la plume délicate, qui joue des mots-émotions avec une justesse bouleversante.

    Note 4.0

     C’est incroyable, un être humain. Ça paraît si petit, fragile, instable. Mais ça peut contenir acide et magma et rester entier. De l’extérieur, on aperçoit à peine quelques lézardes. Ça peut pourrir de l’intérieur et continuer à marcher. (Le jardin des silences)

     

    Après « Notre-Dame-aux-écailles » et « Serpentine », le nouveau recueil de nouvelles de Mélanie Fazi ne fait que confirmer le talent de l’auteur dont la plus grande force réside en sa capacité à réveiller le mystère et la poésie des lieux les plus ordinaires ou des situations les plus glauques. Réenchanter notre quotidien : voilà ce que permettent les textes de Mélanie Fazi.

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  • L’océan au bout du chemin

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    Titre : L’océan au bout du chemin
    Auteur : Neil Gaiman
    Éditeur : Au Diable Vauvert
    Date de publication : 23 octobre 2014
    Récompenses : Prix Locus du meilleur roman de fantasy 2014

    Synopsis :  » J’aimais les mythes. Ils n’étaient pas des histoires d’adultes et ils n’étaient pas des histoires d’enfants. Ils étaient mieux que cela. Ils étaient, tout simplement.  » De retour dans la maison de sa famille pour des obsèques, un homme encore jeune, sombre et nostalgique, retrouve les lieux de son passé et des images qu’il croyait oubliées. Le suicide d’un locataire dans une voiture au bout d’un chemin, sa rencontre avec une petite voisine, Lettie, qui affirmait alors que l’étang de derrière la maison était un océan. Et les souvenirs de l’enfance, qu’il croyait enfuis, affluent alors avec une précision troublante… Ce sont les souvenirs d’un enfant pour qui les histoires existent dès qu’on les croit et qui se réfugie dans les livres pour échapper aux adultes, un enfant pour qui les contes sont sa réalité.

    Note 3.5

    Les enfants, ainsi que je l’ai dit, ont recours à des voies secondaires et aux sentiers cachés, tandis que les adultes suivent des routes et les itinéraires officiels.

    Merci aux Éditions du Diable Vauvert pour m’avoir fait bénéficier gracieusement du dernier livre de Neil Gaiman. Merci car avec « L’océan au bout du chemin », j’ai découvert un univers qui m’est étranger et qui m’a ravi. Conte fantastique, nostalgie de l’enfance avec ses questionnements et ses peurs, le livre est difficile à résumer. Les talents de raconteur de Neil Gaiman sautent aux yeux, c’est une évidence. Il titille habilement notre imaginaire, réussit à nous questionner sur nos propres peurs de l’enfance, des choses qui paraissent banales pour l’adulte que nous sommes devenu mais qui nous mettaient dans des états d’effroi pas possible. Trois générations de femmes (bon la dernière Lettie à 11 ans !) impressionnantes pour aider ce gosse de sept ans.

    Au final, une bien agréable surprise pleine de nostalgie.

    Autres critiques : Baroona (233°C) ; Gaëlle (Pause Earl Grey) ; Jean-Philippe Brun (L’Ours inculte) ; Lorhkan (Lorhkan et les mauvais genres), Océane (La Pile à Lire) ; Plume (The Last Exit to Nowhere) ; Stelphique (Mon féérique blog littéraire) ; Xapur (Les Lectures de Xapur) ; Ys Melmoth (Imrama – Des mots et des miroirs)

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  • Bande de filles

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    Titre : Bande de filles
    Scénario : Céline Sciamma
    Réalisateur : Céline Sciamma
    Acteurs principaux : Karidja Touré, Assa Sylla, Lindsey Karamoh, Mariétou Touré,Idrissa Diabaté, Rabah Nait Oufella
    Date de sortie française : 22 octobre 2014
    Récompenses : Sélection Quinzaine des réalisateurs Cannes 2014.

    Marieme vit ses 16 ans comme une succession d’interdits. La censure du quartier, la loi des garçons, l’impasse de l’école. Sa rencontre avec trois filles affranchies change tout. Elles dansent, elles se battent, elles parlent fort, elles rient de tout. Marieme devient Vic et entre dans la bande, pour vivre sa jeunesse.

    Note 3.5

    La jeune Marième, trop vite mise devant la dureté de la vie, s’émancipe en rencontrant trois filles qui n’ont pas froid aux yeux. Après le magnifique « Tomboy », j’attendais avec impatience le nouveau film de Céline Sciamma. Et le résultat a fière allure.

    Céline Sciamma filme ses personnages sans les juger, ce n’est pas important ici. Elle nous montre comment on se construit malgré les obstacles, les erreurs, les coups durs. Marième/Vic sait qu’elle ne peut compter que sur elle-même, quitte à se tromper. Le film rend compte aussi de l’échec de nos politiques successives, tant éducatives que sociales. Le désespoir semble chevillé au corps de cette jeunesse qu’on a pas pu ou su préparer à un avenir acceptable. Pas étonnant que la violence et les petites combines fleurissent jour après jour lorsque l’on vit justement au jour le jour. Le regard de Sciamma sur la banlieue est juste, ces actrices toutes inconnues donnent une pèche incroyable à son film. La jeune Karidja Touré, entre fragilité et dureté, est la grande révélation de cette bande de filles. Avec ses trois compères, elle donne une justesse et une énergie indiscutable au film, magnifié par une mise en scène inspirée.

    Céline Sciamma confirme à ceux qui pouvaient encore en douter qu’elle est l’une des cinéastes les plus douée de sa génération.

    Autres critiques : Aurélie (Les Curieuses)

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  • Broadway. Une rue en Amérique, tome 1

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    Titre : Broadway. Une rue en Amérique
    Série : Broadway, tome 1
    Scénariste : Djief
    Dessinateur : Djief
    Éditeur : Soleil
    Date de publication : 2014 (juillet)

    Synopsis : Carrefour entre les extravagances du music-hall et les « speakeasies » baignant dans les vapeurs prohibées d’alcool frelaté, Broadway ne dort jamais. Gangsters, écrivains, danseuses, nouveaux riches ou célébrités, tous se donnent rendez-vous sur la « grande voie blanche », animés d’un même désir : saisir le rêve et le faire sien. Le « Chapman’s Paradise » est fermé momentanément : à la mort de Walter, Lenny et George Chapman décident de reprendre la direction de l’établissement. Mais le suicide de l’aîné des trois frères a couvert le club d’une mauvaise aura : il est déserté par ses chorus girls, et les deux frères ne connaissent pas encore grand-chose au monde du showbiz. Faisant fi de leur inexpérience, Lenny et George font le pari de rassembler une nouvelle troupe, et surtout de faire du cabaret un lieu incontournable de Broadway.

    Note 3.0

    – Est-ce qu’il y a vraiment de l’argent à faire avec ce cabaret ?
    – Tu rigoles ? C’est Broadway ! La plus grande machine à fric d’Amérique ! Regarde, Lenny ! Voguons sur un océan de billets. Il suffit de lancer notre filet ! Tu vois toutes ces enseignes éclairées ? C’est la grande voie blanche de la fortune ! Un phare qui guide tous les riches vouant un culte sans limite à la vie nocturne. Des gens à l’appétit vorace, qui rythment le pays à coup de festivités, ne recherchant qu’une chose : vivre l’excitation du moment ! Alors à nous de les faire rassasier nuit après nuit puisque Broadway ne dort jamais !

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  • Le procès de Viviane Amsalem

    Le procès de Viviane Amsalem

    Titre : Le procès de Viviane Amsalem (Gett)
    Cycle : Trilogie de la réalisatrice avec Prendre femme et Les Sept jours
    Réalisateurs : Ronit et Shlomi Elkabetz
    Acteurs principaux : Ronit Elkabetz, Menashe Noy, Simon Abkarian, Sasson Gabai
    Date de sortie française : 25 juin 2014

    Synopsis : En Israël, Elisha refuse à sa femme Viviane le divorce qu’elle demande depuis plus de trois ans. Dans ce pays, seuls les rabbins peuvent prononcer ou dissoudre un mariage. Au final, le mari est au-dessus des juges. Viviane montre une grande détermination afin de lutter pour sa liberté.

    Note 3.0

    Chacun apporte sa vie devant le tribunal.

    Viviane veut divorcer, son mari Elisha refuse, le tribunal rabbinique est saisi pour ordonner cette affaire. On s’attend à voir de la souffrance, mais pas d’une manière aussi radicale et systématiquement niée.

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  • Saga, tome 3

    Saga 3 Vaughan Staples

    Titre : Saga, tome 3
    Série : Saga, tome 3
    Scénariste : Brian K. Vaughan
    Dessinateur : Fiona Staples
    Éditeur : Urban Comics (Indies)
    Date de publication : 2014 (avril)

    Synopsis : Depuis la mort de son père, Marko peine à recouvrer l’ardeur qui l’animait jusqu’alors. Klara, inquiète pour l’avenir de son fils et de sa nouvelle petite famille, prend donc les rênes de la situation. Une bravoure dont ils auront tous besoin sur Quietus, la planète où vit reclus le romancier D. Oswald Heist. De leur côté, le Testament et Gwendolyne, stimulés par leur désir de vengeance, poursuivent leur traque assidue du couple.

    Note 4.5

    Tous les bons contes pour enfants se ressemblent : une jeune créature enfreint les règles, vit une incroyable aventure, puis rentre chez elle en ayant appris que les susdites règles ne sont pas là pour rien. Bien sûr, le vrai message pour le lecteur attentif est qu’il faut enfreindre les règles aussi souvent que possible, car qui diable ne voudrait jamais vivre d’aventures ?

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