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Wind River
Titre : Wind River
Réalisateur : Taylor Sheridan
Acteurs : Jérémy Renner, Elizabeth Olsen, Jon BernthalL, Graham Greene, Julia Jones
Date de sortie française : 30 aout 2017Synopsis : Wind River : Chasseur de prédateurs, Cory Lambert aide une agente débutante du FBI à résoudre un meurtre mystérieux dans la réserve indienne sans lois de Wind River et se retrouve confronté à son passé traumatique.
Je connaissais cette fille, c’était une battante.
Meurtre en réserve !
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The Handmaid’s Tale
Titre : The Handmaid’s Tale
Réalisateur : Bruce Miller
Acteurs : Elizabeth Moss, Joseph Fiennes, Yvonne Strahovski, Alexis Bledel, Madeline Brewer…
Date de diffusion : 2017 (avril)Synopsis : Dans un futur proche, un régime totalitaire prend le contrôle d’une partie des Etats-Unis et réduit en esclavage une partie des femme à des fins de reproduction.
We only wanted to made the world better. But better never means better for everyone.
Si vous aimez les dystopies, vous allez être servis ! En avril dernier a en effet été diffusée la première saison d’une série intitulée « The Handmaid’s Tale » inspirée d’un roman éponyme datant de 1985 (« La Servante écarlate » en français). Récompensé par plusieurs prix littéraires (dont le premier prix Arthur C. Clarke en 1987), l’ouvrage de Margaret Atwood bénéficie depuis quelques mois d’un regain d’attention de la part des médias. D’abord suite à l’initiative de l’actrice Emma Watson de cacher dans Paris des exemplaires du roman, ensuite grâce à la diffusion de la série par Hulu (dix épisodes et une saison 2 à venir). Mais de quoi s’agit-il exactement ?
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Zapping ciné juin 2017 (ter)
Qu’est ce qu’il fait bon dans les salles de cinéma avec cette canicule ! Voilà de quoi vous rafraichir en y ajoutant du plaisir !
Ava
Ava va bientôt perdre la vue. Plutôt que de se morfondre, sa mère excentrique et légère l’embarque à la mer. Elle s’ouvre à la découverte de la sexualité avec un jeune marginalisé. Film cru, où soleil et ombre se télescopent comme pour prévenir Ava de l’imminence de son handicap. Une mise en scène inventive, une musique envoutante, une jeune révélation épatante (Noée Abita). Ava est un premier film lumineux, parfois onirique, pas forcément facile mais qui révèle aussi une bien belle réalisatrice.
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Faut-il aller voir… Wonder Woman ?
Quatrième long-métrage de l’Univers Cinématographique de DC Comics (UCDC ou DCCU en anglais), Wonder Woman s’annonce épique à souhait et a d’ores et déjà le mérite de mettre (enfin) en avant un personnage héroïque féminin. Patty Jenkins, recalé pour Thor : Le monde des ténèbres officie à la réalisation de ce film prévu pour ce mercredi 7 juin en France.
Synopsis : Avant Wonder Woman, il y avait Diana, princesse des Amazones, formée pour être une guerrière invincible. Élevée sur une île paradisiaque reculée, Diana quitte son foyer quand un pilote américain se crashe sur leurs rivages et parle d’un conflit massif qui fait rage dans le monde extérieur, convaincue qu’elle peut stopper la menace. Combattant aux côtés de cet homme dans une guerre qui doit mettre fin à toutes les guerres, Diana va découvrir l’étendue de ses pouvoirs… et son vrai destin.
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Zapping ciné juin 2017
Quelques idées ciné pour ce week-end de la Pentecôte… où il est beaucoup question d’amants… (l’été sera t-il chaud ?)
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Zapping ciné mai 2017 (ter)
Un cinéma pour ce week-end ! Voici quelques avis, si le cœur vous en dit.
Adieu Mandalay
Liangqing et Guo, deux jeunes Birmans, tentent une nouvelle vie à Bangkok, mais alors que Liangging veut régulariser sa situation, Guo n’est pas du même avis. Drame de l’immigration clandestine, quotidien de ces jeunes qui veulent travailler sans la crainte d’être dénoncé et/ou arrêté… : Midi Z réussit un film puissant, évitant toute la sensiblerie que le sujet pouvait laisser craindre. Son sens de la mise en scène fait merveille, les scènes dans l’usine filmées quasiment comme un documentaire renforcent la puissance du récit jusqu’à un dénouement qui vous laisse KO. Wu Ke-Xi en femme au caractère fort et indépendante est remarquable. A voir.
Les fantômes d’Ismael
Quelle déception ! Alors que les critiques presse déroulent le tapis rouge au dernier film d’Arnaud Desplechin, moi, humble et inconnu spectateur me demande bien pourquoi ? En effet pourquoi autant d’éloges à un réalisateur qui se regarde constamment le nombril, et ne nous montre que des personnages bien peu crédibles ? Desplechin nous conte deux histoires, celle d’Ismael et celle d’un film que lui-même tourne. Deux histoires croisées pour raconter la solitude, l’abandon, l’amour, la création, la souffrance de la création. Tout ça est recouvert d’un pseudo regard intellectualisé, (« forcément vous n’aimez pas car vous n’avez pas ma vue d’esprit »…). Franchement quel gâchis, AUCUNE empathie pour les personnages, dialogues insipides, histoire volontairement foutraque qui n’arrive jamais à nous émouvoir et à avoir un semblant d’intérêt. Desplechin veut mélanger les genres, pourquoi pas ! Encore faut-il un minimum de cohérence, et là, malheureusement, ça devient très vite navrant (voir la scène entre Amalric et Girardot). On est bien triste de voir deux grandes actrices tenter d’éviter le naufrage mais leurs personnages est à l’image du film, prétentieux et vain. Y a t’il encore un spectateur dans la salle ?
Cinéma, mon amour
Un documentaire touchant sur la foi d’un homme amoureux de cinéma et qui, tel un Don Quichotte contre les moulins à vent, tente de garder en vie la salle de cinéma qu’il dirige malgré une hausse incroyable des fermetures de salles en Roumanie. Alexander Belc filme ce formidable personnage engagé qu’est Victor Purice qui, à lui seul, rend ce documentaire intéressant et attachant.
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Zapping ciné mai 2017
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Un petit tour vers les salles obscures ce week-end ? Voici quelques idées de films à voir (ou pas…).
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Zapping ciné avril 2017 (ter)
Si vous ne partez pas vous ressourcer entre ce deuxième tour présidentiel rude pour nos nerfs, évadez-vous au cinéma ! Voici quelques avis de votre serviteur.
Les initiés
Un sujet tabou, l’homosexualité en Afrique du Sud, est le fil conducteur de ce premier film. Une réflexion aussi sur la place de l’homme dans une société qui refuse toute autre sexualité que celle d’être hétéro. Trengove filme les rapports au plus près des corps avec une forme de brutalité comme si, malgré leur désir, l’acte se devait d’être viril, sans la moindre tendresse. Remarquablement dirigé, « Les initiés » propose une réflexion intéressante sur la place des homosexuels dans une société repliée sur la « normalité » hétéro. Jusqu’à une fin violente et radicale. Après « Moonlight » un nouveau film fort et prenant.