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Le dernier loup-garou
Titre : Le dernier loup-garou
Auteur : Glen Duncan
Éditeur : Denoël (collection Lunes d’encre)
Date de publication : 2013Synopsis : Jake Marlowe est le dernier de sa race. Pourchassé par des tueurs fanatiques qui ont juré de lui trancher la tête, protégé contre son gré par une organisation secrète désireuse de vivre au grand jour, Jake a décidé d’arrêter de fuir. La prochaine pleine lune sera sa dernière. « Va où tu peux, meurs où tu dois. » Mais pour le vieux loup-garou suicidaire et blasé, rien ne va se dérouler comme prévu. Par définition, l’amour est imprévisible.
Les monstres disparaissent lorsque l’imagination collective cesse d’en avoir besoin. La mort d’une espèce de ce genre n’est qu’une évolution du programme psychologique commun. La bête que recèle tout homme restait autrefois cachée dans le noir, reniée. La transparence de l’histoire moderne a rendu cette dissimulation impossible : nous nous sommes vus dans les camps de concentration, les goulags, la jungle, les champs de mort de Cambodge, nous nous sommes reconnus dans les lectures des annales du crime. La technologie a allumé les projecteurs et personne ne peut plus méconnaître les faits : la bête est superflue. C’était nous, tout du long.
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Outrage et rébellion
Titre : Outrage et rébellion
Auteur : Catherine Dufour
Éditeur : Denoël / Folio SF
Date de publication : 2009 / 2012Synopsis : 2320, ouest de la Chine. Les élèves de la très chic pension des Conglin s’ennuient dans leur prison dorée. Marquis, le plus enragé d’entre eux, se révolte brusquement : il invente, ou plutôt réinvente, une musique pleine de colère qui va fédérer tous les élèves contre les surveillants. Fuyant la répression qui s’abat sur les Conglin, Marquis se réfugie dans les sous-sols de Shanghai où l’attendent l’amour et la guerre. Le Rock s’est brûlé les ailes à la fin des sixties ; le Punk s’est dilué dans l’héroïne avant d’avoir pu faire la peau de Ronald Reagan et de Margaret Thatcher… Est-ce que la musique de Marquis sera assez puissante pour renverser la dictature qui écrase Shanghai ?
C’est une chose de jouer devant cinquante ruinés défoncés. C’en est une autre de rassembler cinq cent pensionnaires qui n’ont aucune autre distraction ! Ils venaient nous poser des questions absurdes sur nos paroles. Comme si nous avions voulu dire quelque chose ! Je leur expliquais que le sens de nos paroles c’était qu’il ne fallait obéir à personne, et ils répondaient : « Obéir à personne ? Ah, d’accord, c’est noté. Et sinon, faut faire quoi d’autre ? » Désespérant.
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Le cycle de Fondation, tome 2 : Fondation et Empire
Titre : Fondation et Empire (Foundation and Empire)
Cycle : Le cycle de Fondation, tome 2
Auteur : Isaac Asimov
Éditeur : Folio SF (précédemment Denoël)
Date de publication : 2(1ère VF en 1966, 1952 en VO chez Gnome Press)000Synopsis : Tandis que les crises qui secouent l’Empire redoublent de violence et annoncent son effondrement définitif, la Fondation créée par le psychohistorien Hari Seldon pour sauvegarder la civilisation devient de plus en plus puissante, suscitant naturellement convoitises et visées annexionnistes. En tout premier lieu, celles de Bel Riose, jeune général qui voit dans les secrets détenus par la Fondation le moyen de monter sur le trône. C’est alors qu’apparaît un mystérieux et invincible conquérant, surnommé le Mulet, que le plan de Seldon n’avait pas prévu…
À la volonté d’un mort, j’opposerai la détermination d’un vivant.
Plus construit que son prédécesseur et peut-être déjà plus mature, ce deuxième tome du Cycle de Fondation, intitulé Fondation et Empire, axe toujours son propos sur les débuts balbutiants de la Première Fondation.
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La petite déesse
Titre : La petite déesse et autres histoires d’une Inde future
Auteur : Ian McDonald
Nouvelles : Sanjîv et Robot-wallah ; Kyle fait la connaissance du fleuve ; L’assassin-poussière ; Un beau parti ; La petite déesse ; L’épouse du djinn ; Vishnu au cirque de chats
Éditeur : Denoël (collection Lunes d’encre)
Date de publication : 2013Synopsis : En 2004, Ian McDonald publiait en Angleterre un roman d’une ambition peu commune dans le paysage de la science-fiction contemporaine, « Le Fleuve des dieux », un livre monstre de plus de 600 pages, aux multiples intrigues situées dans une Inde de 2047 balkanisée et en proie à une sécheresse sans précédent. En 2009, Ian McDonald a rassemblé sous le titre La Petite Déesse les sept nouvelles et courts romans qu’il avait écrits sur cette même Inde du futur. On y découvre, souvent par le biais du regard d’enfants, un sous-continent où les hommes sont quatre fois plus nombreux que les femmes, où se côtoient puissants, gens d’une extrême pauvreté, intelligences artificielles et stars virtuelles, tous confrontés à des menaces d’un genre nouveau.
Elle m’agace assez vite, cette tendance de nombreux Indiens à présumer que comme notre culture est très ancienne, nous avons tout inventé. L’astronomie ? Made in India. Le zéro ? Made in India. La nature indéterminée et probabiliste de la réalité telle que révélée par la théorie quantique ? L’Inde. Vous ne me croyez pas ? Les Veda disent que les quatre Grands Ages de l’Univers correspondent aux quatre résultats possibles de notre jeu de dés. Le Krita Yuga, l’Age de la Perfection, est le meilleur score possible. Le Kalî Yuga, l’Age des Dissensions, des ténèbres, de la décomposition et de la désagrégation, le plus mauvais score possible. Tout cela est un jeu de dés divin. Les probabilités ? Indiennes.
Il y a dix ans, Ian McDonald publiait un roman de science-fiction mettant en scène une Inde futuriste, « Le Fleuve des Dieux », qui rencontra un succès retentissant. Avec « La petite déesse », l’auteur revient à cet univers par le bais de sept nouvelles, chacune consacrée à un moment phare ou un concept particulier permettant de véritablement révéler l’incroyable complexité de cette Inde du future.
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Morwenna
Titre : Morwenna (Among others)
Auteur : Jo Walton
Éditeur : Denoël (collection Lunes d’encre)
Date de publication : 2014 (avril)
Récompenses : Prix Nebula 2011 (meilleur roman) ; Prix Hugo 2012 (meilleur roman)Synopsis : Morwenna Phelps, qui préfère qu’on l’appelle Mori, est placée par son père dans l’école privée d’Arlinghust, où elle se remet du terrible accident qui l’a laissée handicapée et l’a privé à jamais de sa sœur jumelle, Morganna. Loin de son pays de Galles natal, Mori pourrait dépérir, mais elle découvre le pouvoir des livres, notamment des livres de science-fiction. Samuel Delany, Roger Zelazny, James Tiptree Jr, Ursula K. Le Guin et Robert Silverberg peuplent ses journées, la passionnent. Alors qu’elle commence à reprendre du poil de la bête, elle reçoit une lettre de sa folle de mère : une photo sur laquelle Morganna est visible et sa silhouette à elle brûlée. Que peut faire une adolescente de seize ans quand son pire ennemi, potentiellement mortel, est sa mère. Elle peut chercher dans les livres le courage de se battre.
Je n’ai pas fini de dire ce que je voulais à propos de Tolkien. Le lire, c’est comme être transporté dans son monde. C’est comme trouver une source magique dans un désert. Il a tout. C’est une oasis pour l’âme. Même maintenant, je peux toujours me retirer dans la Terre du Milieu et être heureuse.
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Ptah-Hotep
Titre : Ptah-Hotep
Auteur : Charles Duits
Éditeur : Denoël (collection Lunes d’encre)
Date de publication : 2009 (1991 pour la première édition)Synopsis : Ptah Hotep, prince de Hagaptah, partage sa jeunesse dorée entre l’étude, la recherche spirituelle et la compagnie de la fastueuse courtisane Aset. Mais un coup d’État va contraindre l’adolescent à un apprentissage d’un tout autre ordre : celui de la misère et de l’exil. Dans un décor évoquant à la fois Les Mille et Une Nuits, l’Inde et la Chine médiévales, l’Égypte, la Rome et la Grèce antiques, d’aventures en histoires d’amour, il revêtira l’armure de Soliman pour libérer le monde de la tyrannie. Chef-d’œuvre de la fantasy francophone, épique et foisonnant, « Ptah Hotep » dynamite les limites de ce genre.
Il vient, le Pacificateur de la Terre. Il approche, le Rassembleur des Nations, et celui qui rendra leur liberté aux peuples. La Terreur marche devant lui, et sa gloire est telle que le rugissement du lion, et les Victoires l’accompagnent, et les Rois tremblent devant sa face. Il vient dans le nuage de la Terreur, et la foudre est dans sa main, et son visage est celui de l’épouvante et de la gloire. Et lui, qui apporte la paix et l’abondance, il vient comme un guerrier, et le bruit de son pas fait frémir les Rois et les Princes. Il vient comme un lion, et comme un homme de proie, et les chaînes de la servitude fondent comme de la cire sous son regard et les méchants ne soutiennent pas l’ardeur de sa Lumière, car il est comme Habolaune dans sa fureur et comme le Posidonien dans sa colère.
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Les continents perdus
Titre : Les continents perdus
Anthologiste : Thomas Day
Auteurs/Nouvelles : Walter Jon Williams (« Le Prométhée invalide ») ; Ian R. MacLeod (« Tirkiluk ») ; Michael Bishop (« Apartheid, Supercordes et Mordecai Thubana ») ; Lucius Shepard (« Le train noir ») ; Geoff Ryman (« Le pays invaincu. Histoire d’une vie »)
Éditeur : Denoël (collection Lunes d’encre)
Date de publication : 2005
Récompenses : World Fantasy Award pour « Le pays invaincu » de Geoff Ryman.Synopsis : De tout temps, imaginaire et récits de voyage ont fait bon ménage. Pour s’en convaincre, il suffit de se plonger dans L’Odyssée d’Homère, Les Voyages de Gulliver de Jonathan Swift ou, plus récemment, Rihla de Juan Miguel Aguilera. En vous proposant un tour du monde aux destinations souvent inédites, l’anthologie Les Continents perdus se place dans la continuité de cette tradition littéraire. L’Europe de Mary Shelley ; l’Arctique durant la Seconde Guerre mondiale ; l’Afrique du Sud au temps de l’Apartheid ; le Delà , ce pays insensé que l’on rejoint en prenant le Train Noir ; et, enfin, un Sud-Est asiatique fantasmé, inquiétant, voici les cinq étapes de ce Livre des merveilles moderne où il sera beaucoup question d’injustices, de sacrifices, de petites et de grandes tragédies…
Moi je me plais ici. La vie que je mène aujourd’hui est sacrément plus plaisante que ma vie d’avant. Mais y a des moments où elle ne me semble pas naturelle. Tous ces trains qui roulent dans tous les sens sur des rails que personne n’a jamais construits… Et c’est même pas des rails en plus. Plutôt des formations naturelles qui ressemblent à des rails. Et si c’est pas assez bizarre à ton goût, il y a les beardsleys et les autres bestioles encore plus graves. Plus, tu trouveras personne qui soit né ici. Comme si le bon Dieu avait construit un monde pour abandonner les travaux avant l’achèvement tellement il était déçu. (Lucius Shepard, Le train noir)
Lucius Shepard, Michael Bishop, Geoff Ryman… Des noms qui ne vous diront peut-être rien et qui sont pourtant ceux de très grands auteurs américains réunis pour la première fois au sommaire de ces « Continents perdus ». Dirigé par un certain Thomas Day que l’on découvre ici aussi talentueux anthologiste qu’écrivain, l’ouvrage figure sans aucun doute parmi les plus belles anthologies qu’il m’ait jusqu’à ce jour été donné de lire. Chacune des cinq nouvelles se révèle ainsi être une véritable pépite, exceptionnelles tant par leur qualité littéraire que parce qu’elles sont la preuve irréfutable que les littératures de l’imaginaire ne sont pas là uniquement pour servir de divertissement passager ou d’évasion mais peuvent aussi faire réfléchir, dire autrement certaines réalités de notre monde et de notre époque. Le lecteur se retrouve donc à arpenter des sentiers rarement empruntés et se laisse entraîner avec tour à tour effroi et émerveillement vers chacune des différentes destinations prévues par les auteurs. Ce n’est pas pour rien que l’ouvrage s’articule autour de la thématique du voyage !
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Une aventure de Maître Li et Boeuf Numéro Dix, tome 1 : La magnificence des oiseaux
Titre : La magnificence des oiseaux (Bridge of birds)
Cycle : Une aventure de Maître Li et Bœuf Numéro Dix
Auteur : Barry Hughart
Éditeur : Denöel (collection Lunes d’encre) (Folio SF en poche)
Date de publication : 2000 (1984 pour la version originale ; 2013 pour la version poche)
Récompenses : World Fantasy Award 1995Synopsis : Pour lutter contre une épidémie pour le moins singulière — puisqu’elle sait compter et ne touche que les enfants de son village — Boeuf Numéro Dix se rend à Pékin le jour de son dix-neuvième anniversaire. Là, il rencontre un vieil alcoolique, un sage qui bien des années auparavant fut célèbre sous le nom de Maître Li. De retour au village de Kou-Fou, tous deux découvrent sans mal que Fang le prêteur sur gage et Ma le Grigou ont empoisonné les enfants par erreur. Les deux coupables ont pris la fuite, mais il reste à guérir les enfants… Ainsi commence la première enquête de Bœuf Numéro Dix et Maître Li, dans une Chine qui ne fut jamais, où la recherche de la Grande Racine de Pouvoir les conduira à briser la terrible malédiction qui pèse sur la princesse aux oiseaux…
L’abbé affirmait que la santé émotionnelle d’un village dépendait de la présence d’un homme que tout le monde adorait haïr, et que le Ciel nous avait fait la faveur de nous en octroyer deux.
Désopilant. Surprenant. Dépaysant. Voilà les principaux termes qui me viennent à l’esprit pour qualifier « La Magnificence des oiseaux » de Barry Hughart. Un ouvrage qui s’inscrit dans une série de trois romans consacrés aux aventures du duo formé par Maître Li et Bœuf Numéro Dix que les éditions Folio SF ont dernièrement décidé de rééditer en format poche (novembre 2013 pour « La légende de la pierre » ; janvier 2014 pour « Huit honorables magiciens »).
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Le nez de Cléopâtre
Titre : Le nez de Cléopâtre
Auteur : Robert Silverberg
Nouvelles : Légendes de la forêt Veniane ; Le traité de Düsseldorf ; Tombouctou à l’heure du lion ; Le sommeil et l’oubli ; Entre un soldat, puis un autre ; Basileus
Éditeur : Folio SF (Denoël)
Date de publication : 2001 (2000 pour la première version)
Récompenses : Prix Hugo 1990 (catégorie novelette) pour « Entre un soldat, puis un autre »Synopsis : S’il eût été plus court, toute la face du monde aurait changé. Avec les textes du Nez de Cléopâtre, Robert Silverberg nous invite à détourner le cours de notre Histoire pour imaginer ce qui aurais pu advenir si… Si l’Empire romain, loin de prendre fin sous le choc des invasions barbares, s’était maintenu et élargi au monde entier ? Si les « réalités virtuelles » auxquelles donne accès l’informatique se constituaient en mondes parallèles autonomes, des mondes où Socrate pourrat rencontrer le conquistador Pizarre pour un incroyable duel intellectuel ? Et si la Peste noire de 1348 avait emporté les trois quarts de l’Europe occidentale ?
A l’origine, les programmateurs français voulaient inclurent des hologrammes de personnages célèbres dans les spectacles touristiques de leurs monuments historiques. Pas seulement des simulacres robotisés, mais d’apparentes réincarnations de grands personnages, capables de se promener librement, de bavarder, voire de lancer de petits traits d’esprit. Imaginez Louis XIV vantant les fontaines du château de Versailles, Picasso faisant la visite des musées parisiens, Sarte échangeant des bons mots avec les passants depuis la terrasse du Café de Flore ! Et pourquoi pas Napoléon, Jeanne d’Arc, Alexandre Dumas ! Et ça ne s’arrêtait pas là : on pouvait les rendre capable de compléter, d’améliorer les réalisations de leurs modèles, d’enrichir le monde d’une foule de tableaux, romans, traités philosophiques et visions architecturales grandioses de maîtres disparus.
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Elle qui chevauche les tempêtes
Titre : Elle qui chevauche les tempêtes
Auteurs : G. R. R. Martin et Lisa Tuttle
Éditeur : Denoël (collection Lunes d’encre)
Date de publication : 1999 (2007 pour la version poche)Synopsis : Sur une planète océane, où les naufragés venus de la Terre se sont divisés en deux castes : les « Rampants » et les « Aériens », Mariss la rampante a appris à voler et ne vit désormais que pour cela. Mais voilà qu’elle doit rendre ses ailes car telle est la tradition, elle doit les laisser à Coll, le fils de son mentor, qui lui ne rêve que d’une chose, devenir barde. Mariss saura être plus forte que la tradition, plus forte que tous les autres, car c’est elle qui chevauche les tempêtes et nul autre.
Pour les rampants, les aériens représentaient la plus constante source de contacts avec les autres îles. Les mers, quotidiennement battues par la tempête, infestées de scyllas, de chats des mers et autres prédateurs, étaient beaucoup trop dangereux pour des traversées régulières en bateau, sinon d’île à île, à l’intérieur d’un même groupe local. Les aériens fournissaient un lien, et les autres attendaient d’eux les nouvelles, les potins, les chansons, les histoires, l’aventure.