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El Acompañante
Titre : El Acompañante
Scénario : Pavel Giroud, Pierre Edelman et Alejandro Brugués
Réalisateur : Pavel Giroud
Acteurs principaux : Yotuel Romero, Armando Miguel Gómez, Camila Arteche,Yailene Sierra, Jazz Vila, Jorge Molina
Date de sortie française : 17 aout 2016
Récompenses : Prix du public du festival Cinelatino de ToulouseSynopsis : Cuba, années 80. Horacio Romero, boxeur accusé de dopage, est contraint de devenir l’accompagnateur de Daniel, un jeune soldat qui a contracté le SIDA lors d’une mission en Afrique.
Vous serez l’ombre de votre patient.
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Viva
Titre : Viva
Scénario : Mark O’Halloran
Réalisateur : Paddy Breathnach
Acteurs principaux : Jorge Perugorria, Luis Alberto Garcia, Héctor Medina Valdés
Date de sortie française : 6 juillet 2016Synopsis : A Cuba, un jeune homme qui coiffe les perruques d’artistes travestis, rêve de chanter dans leur cabaret. Mais son père, qui sort de prison, a d’autres rêves pour lui…
Les gens rient de toi. Je veux que tu arrêtes !
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Un océan d’amour
Titre : Un océan d’amour
Scénariste : Wilfrid Lupano
Dessinateur : Grégory Panaccione
Éditeur : Delcourt (collection Mirage)
Date de publication : 2014 (novembre)
Récompenses : Prix de la BD FNAC 2015Synopsis : Chaque matin, Monsieur part pêcher au large des côtes bretonnes. Mais ce jour-là, c’est lui qui est pêché par un effrayant bateau-usine. Pendant ce temps, Madame attend. Sourde aux complaintes des bigoudènes, convaincue que son homme est en vie, elle part à sa recherche. C’est le début d’un périlleux chassé-croisé, sur un océan dans tous ses états. Une histoire muette avec moult mouettes.
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Le vieil homme et la mer [Bande dessinée]
Titre : Le vieil homme et la mer [Bande dessinée]
Scénariste et dessinateur : Thierry Murat
Éditeur : Futuropolis
Date de publication : 2014 (octobre)Synopsis : Cuba. Début des années 1950. Santiago, un vieux pêcheur rentre une fois encore la barque vide. 84 jours qu’aucun poisson ne mord sa ligne. Tout le monde le pense trop vieux et devenu piètre marin. Seul Manolin, petit garçon, continue de croire en lui et veut l’accompagner dans ses sorties en mer. Mais ses parents l’obligent à regagner un navire plus chanceux, et l’enfant continuera le soir à visiter le vieil homme dans sa cabane. Le 85e jour, Santiago décide d’aller pêcher loin dans le golfe. Il est confronté à un espadon, poisson énorme et fort. La lutte homérique entre le vieil homme et le poisson prédateur durera trois jours et trois nuits ; à son retour sur la terre ferme, le vieil homme aura regagné sa dignité après une bataille courageuse.
Peut-être bien qu’on est pareils, tous les deux… Mais tu sais, poisson, même si t’es mon frère, t’es tellement extraordinaire qu’il faut que j’te tue. Heureusement qu’on est pas obligé de touer toutes les choses extraordinaires… Heureusement qu’on n’est pas obligé de tuer les étoiles ou la lune pour leur prendre la lumière ! Peut-être bien qu’un jour, les hommes se mettront en tête d’aller tuer le soleil… Qui sait ?
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Aucun homme n’est une île
Titre : Aucun homme n’est une île
Auteur : Christophe Lambert
Éditeur : Nouveaux Millénaires
Date de publication : 2014 (mars)
Récompenses : Prix ActuSF de l’Uchronie 2014, Grand Prix de l’Imaginaire 2015 (meilleur roman francophone)Synopsis : Avril 1961. Le président Kennedy retient in extremis le débarquement des troupes antirévolutionnaires à Cuba : le fiasco de la baie des Cochons n’aura pas lieu. Quelques mois plus tard, mieux préparés militairement, les Américains parviennent à envahir l’île et à renverser le régime castriste. Le Lîder Mâximo et ses troupes se retranchent dans les montagnes imprenables de l’Escambray, et la guérilla reprend. Ernest Hemingway, qui ne s’est pas suicidé au cours de l’été 1961, voit là une occasion unique de réaliser le scoop de sa vie : une interview de Castro et Guevara in situ. Accompagné par un faux photographe/véritable garde-chiourme de la CIA, cigare entre les dents et fusil en bandoulière, l’auteur de Pour qui sonne le glas reprend les sentiers de la guerre…
Les combats perdus d’avance ne sont-ils pas les plus beaux ? Vous pensez que l’on peut décider de sa mort aussi aisément que de sa vie. C’est dans votre logique, et vous voyez déjà votre ultime moment avec une netteté fulgurante : une fin glorieuse, le fusil à la main, et combattant pour la cause des opprimés. Une balle vous fauchera et votre exemple galvanisera la jeunesse du monde entier. Vous serez un étendard pour les nouvelles générations. Oui, pensez-vous, si on peut forger sa vie et sa mort, on peut également semer les graines de sa propre légende… Voilà ce que c’est, d’être Ernesto Guevara. Voilà ce que c’est, d’être le Che.