• Daredevil par Frank Miller, tome 1

    Daredevil par Frank Miller, tome 1

    Titre : Daredevil par Frank Miller, tome 1
    Série : Daredevil par Frank Miller, tome 1
    Scénaristes : Frank Miller et Mike Barr
    Dessinateurs : Frank Miller et Herb Trimpe
    Éditeur : Panini Comics (Marvel Icons)
    Date de publication : 20 août 2014 (1979-1982 en VO chez Marvel Comics)

    Synopsis : Frank Miller et Daredevil, c’est l’histoire d’un auteur qui a rendu célèbre un personnage ou celle d’un personnage qui a rendu célèbre son auteur… Après la publication du premier run de Miller dans la collection Intégrale, Panini Comics présente les récits qui ont fait la réputation du scénariste, dans un magnifique et imposant recueil. Parmi eux : Daredevil – L’homme sans peur qui narre les origines du héros illustrées par le grand John Romita Jr et l’incontournable saga Renaissance sur laquelle l’accompagne David Mazzucchelli (Batman: Year One). Dans ce récit, Daredevil doit se relever après une terrible défaite contre le Caïd. Enfin le très rare Amour et guerre… un récit illustré par Bill Sienkiewicz. En résumé : un auteur culte, un héros culte, des récits cultes, un album culte !

    Note 4.0

    Super. Ils ont le meilleur tueur au monde sous la main et ils s’en servent de coursier ! Tu parles de bouffons !

    Après le Spider-Man de Joe Michael Straczynski, Panini Comics s’attaque à la réédition du run de Frank Miller sur Daredevil dans une collection Marvel Icons qui rappelle évidemment les DC Signatures de chez Urban Comics !

  • American Fays

    American Fays

    Titre : American Fays
    Auteurs : Anne Fakhouri et Xavier Dollo
    Éditeur : Critic (Fantasy)
    Date de publication : 6 novembre 2014

    Synopsis : Ce Chicago de 1925 a tout du chaudron prêt à exploser ! Entre les Leprechauns mouillés dans la fabrication de faux billets et les gangs qui s’activent en coulisses pour s’emparer des marchés de l’alcool et des speakeasies, autant dire qu’il y a de l’orage dans l’air. Et tandis qu’Al Capone tente de retrouver son influence sur la ville, voilà que des Drys, farouches partisans de la Prohibition, sont atrocement assassinés.
    Scarface devient, aux yeux des autorités, le suspect idéal. Furieux et persuadé que les Fays sont dans le coup, il charge une bande de chasseurs de Fays, les No Ears Four, de débusquer les véritables coupables.
    Pour Old Odd et son équipe, les ennuis ne font que commencer. Contraints de plonger dans les entrailles d’une ville corrompue et en proie aux guerres des gangs, les quatre nettoyeurs ont intérêt à se serrer les coudes s’ils veulent survivre à la tempête qui s’annonce. Car, quand la Fayrie est impliquée, mieux vaut ne pas trop traîner dans l’œil du cyclone !

    Note 3.5

    – Tu vois, The Crap, les bonnes femmes, c’est comme les Siciliens et les Irlandais. Faut déjà s’les fader, si en plus, on doit savoir leur parler… Une bonne claque dans la gueule et plus personne a envie de l’ouvrir.
    – Bien sûr, patron.

    Prêt à suivre un buddy movie façon mafia à travers un Chicago fayrique des années 1920 ? C’est ce que nous proposent Anne Fakhouri et Xavier Dollo (alias évidemment Thomas Geha) dans American Fays où la violence le dispute à la féérie attachante, dans une ambiance drôlement et férocement décalée.

  • La Relique (nouvelle)

    La relique

    Titre : La Relique
    Cycle : Cycle de Ji (nouvelle indépendante)
    Auteur : Pierre Grimbert
    Éditeur : J’ai Lu
    Date de publication : 2007

    Synopsis : Dans la ville de Lorelia Rey de Kercyan est un fantasque jeune homme qui traverse la vie un peu comme dans un jeune. De famille noble mais sans le sou, Rey réussit cependant toujours à s’en tirer grâce à mille et une astuces et autres magouilles. Cette fois il tente de se faire une petite fortune en vendant une relique très rare aux prêtres d’Eurydis. Cette relique est le masque mortuaire du démon Doloran. Le marché conclu, il ne reste plus qu’à Rey d’aller déterrer ce masque dans la tombe du démon, tombe secrète dont l’emplacement lui a été secrètement révélé. Cependant cela s’avérera bien plus dur que prévu. D’autres, dont la secte des K’luriens, semblent vouloir récupérer à leur compte le masque mortuaire de Doloran. Or, ce que tous semblent encore ignorer, personne ne peut déranger les démons dans leurs sommeil sans en payer les conséquences.

    Note 2.5

    Un de ces jours prochains, il viendrait faire le pied de grue dans le quartier dans l’espoir d’y retrouver la belle. Elles cédaient presque toujours, la deuxième fois. Et il aurait tout son temps pour l’attendre et lui consacrer une journée entière, ainsi que la nuit, s’il parvenait à ses fins.

    Il est toujours tentant, pour l’auteur d’une saga à succès, de raconter les prémices de son histoire. Toutefois, c’est lors d’une opération marketing en partenariat avec J’ai Lu, que Pierre Grimbert nous proposa une nouvelle dite « préquelle » à son célèbre cycle de Ji (Le Secret de Ji, puis Les Enfants de Ji, et enfin Les Gardiens de Ji), La Relique.

  • Le Maître voleur, tome 1 : J’arrête

    Maître voleur 1 J'arrête

    Titre : J’arrête
    Série : Le Maître voleur, tome 1 (Thief of the Thieves)
    Scénaristes : Robert Kirkman et Nick Spencer
    Dessinateur : Shawn Martinbrough
    Éditeur : Delcourt Comics (Contrebande)
    Date de publication : (2012 en VO chez Image Comics)

    Synopsis : Derrière l’identité de Conrad Paulson se cache en réalité celle de Redmond, le plus grand des voleurs. Rien n’est hors de sa portée, sauf la vie qu’il a dû laisser derrière lui. Aujourd’hui, il tente de renouer avec celle qu’il n’a jamais cessé d’aimer et de retrouver la trace de ce fils qu’il connaît à peine. Si possible, avant que le FBI ne mette la main sur lui, même si c’est le cadet de ses soucis…

    Note 3.0

    – C’est MA voiture.
    – Ouais, ben encore deux minutes, et c’était la mienne !

    Robert Kirkman tente parfois de délaisser les morts-vivants et les super-héros pour s’attaquer au domaine du polar et du thriller. Ce maître voleur, en collaboration avec Nick Spencer et Shawn Martinbrough, est l’occasion d’ouvrir son « Kirkman-verse » à un autre genre.

  • Goodbye Billy

    Good bye Billy

    Titre : Goodbye Billy
    Auteur : Lauren Whale
    Éditeur : Critic
    Date de publication : 2014 (juin)

    Synopsis : 14 juillet 1881, Old Fort Sumner. Lorsque la nuit tombe sur ce coin perdu du Nouveau-Mexique, l’Ouest américain ne le sait pas encore, mais on va l’amputer d’une légende. Tapi dans l’ombre, Billy the Kid attend son heure. Dans quelques secondes, ses actes changeront à jamais le cours de l’Histoire. Décembre 2012, Washington, bibliothèque du Congrès. Un archiviste examine un exemplaire du Miami Chronicle daté de 1934. Soudain, une photo retient son attention : les revenants existeraient-ils ? Tandis que les sbires d’un candidat à la présidence suppriment les dossiers compromettants de leur employeur, un groupe d’historiens de choc, dirigé par Richard Benton, se met en quête de la vérité. Quel lien unit donc un jeune hors-la-loi du XIXe siècle à un requin politique de l’ère spatiale ? Dick Benton et son équipe feront l’impossible pour le savoir.

    Note 4.0

    Un instant, il tenta d’imaginer ce que représentait une fusillade dans le vieux Far West. Les balles qui sifflent, la fumée des colts, les détonations et les cris. L’odeur âcre du tabac dans les saloons, les danseuses, les parties de cartes qui ne finissent pas toujours bien. Quel effet cela faisait-il de se camper au milieu d’une rue poussiéreuse, le revolver bas sur la hanche, à dévisager son vis-à-vis ? De quel bois fallait-il être constitué pour ne pas en mourir de peur ? Même si la dernière vision ne représentait probablement que celle du cinéma, elle véhiculait dans l’imaginaire populaire plus de signification que toues les autres réunies. Et cet homme là, Billy the Kid, incarnait tout cela et plus encore. Lui aussi avait manié le Colt, chevauché avec et contre la loi, lui aussi avait ri à la face de la mort. Il était le dernier des géants.

     

    Lorsqu’on lui annonce qu’il passera la fin de sa carrière aux archives de la bibliothèque du Congrès, Dick Benton, tout juste congédié par le FBI, comprend que ses supérieurs entendent bien le mettre au placard et ne plus jamais entendre parler de lui. Ils en auront pour leur frais, car dès son arrivée l’ex-agent découvre que des liens un peu louches existent entre le populaire candidat républicain à la présidence et … le célèbre hors-la-loi Billy the Kid ! Une information que beaucoup semblent près à tout pour faire disparaître…

  • Du rififi entre les oreilles (nouvelle)

    La Décade de l'Imaginaire 2014 L'Atalante

    Titre : Du rififi entre les oreilles
    Auteur : Anne Fakhouri
    Éditeur : L’Atalante
    Date de publication : 16 juin 2014 (à l’occasion de la Décade de l’Imaginaire 2014, déjà en 2013 dans Elfes et Assassins)

    Synopsis : Pour la deuxième édition de la Décade de l’Imaginaire, place aux plumes féminines. De la science-fiction, de la fantasy en passant par le fantastique ou des textes qui transcendent les genres, plongez dans ces univers proches ou lointains, dystopiques ou, au contraire, pleins d’espoir. Il y est beaucoup question de fins et de commencements : une découverte lors d’un voyage de noces sur un monde-musée, un premier contact d’un genre particulier, une fin du monde vécue dans une petite chambre d’une maison de retraite, celle programmée dans l’ADN de tous les organismes terrestres. Ce sont ces récits et bien d’autres histoires que nous vous proposons de découvrir à travers des textes tantôt drôles, tantôt au rythme haletant qui enflammeront votre imagination.

    Note 3.5

    – Pourquoi on doit accepter ? s’inquiéta Bulldog.
    – Tu veux dire, à part parce que le Consigliere en personne me l’a demandé ? Je sais pas, réfléchis, Bull.
    – Je vais essayer, patron.
    – Te fais pas mal non plus.

    La Décade de l’Imaginaire 2014 prend ses derniers tournants et c’est une nouvelliste confirmée qui s’annonce, puisque c’est Anne Fakhouri qui propose Du rififi entre les oreilles.

  • 2 Guns [comics]

    2 Guns Delcourt Comics

    Titre : 2 Guns
    Scénariste : Steven Grant
    Dessinateur : Mateus Santolouco
    Éditeur : Delcourt Comics (Contrebande)
    Date de publication : 28 août 2013 (2007 en VO chez Boom Studios)

    Synopsis : Deux flics sont missionnés par leurs patrons pour braquer une banque afin de récupérer de l’argent sale. Sauf qu’aucun des deux ne sait que l’autre est aussi un homme de loi. En effet, Trench est un agent de la DEA et Steadman un officier des renseignements de Marines. Et pour couronner le tout, ni l’un ni l’autre ne se doute qu’en fait, ils ne s’apprêtent pas à voler la mafia, mais la CIA…

    Note 3.0

    Je t’aurais bien visé en pleine tête, mais je suis pas assez bon tireur.

    2 Guns, minisérie de Steven Grant et Mateus Santolouco chez Boom Studios datant de 2007, met en scène deux flics sous couverture mettant main basse sur un magot appartenant à la C.I.A.

  • Je, François Villon

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    Titre : Je, François Villon
    Auteur : Jean Teulé
    Éditeur : Julliard / Pocket
    Date de publication : 2 mars 2006

    Synopsis : Il est peut-être né le jour de la mort de Jeanne d’Arc. On a pendu son père et supplicié sa mère. Il a appris le grec et le latin à l’université de Paris. Il a joui, menti, volé dès son plus jeune âge. Il a fréquenté les miséreux et les nantis, les étudiants, les curés, les protituées, les assassins, les poètes et les rois. Aucun sentiment humain ne lui était étranger. Des plus sublimes aux plus atroces, il a commis tous les actes qu’un homme peut commettre. Il a traversé comme un météore trente années de l’histoire de son temps et a disparu un matin sur la route d’Orléans. Il a donné au monde des poèmes puissants et mystérieux, et ouvert cette voie somptueuse qu’emprunteront à sa suite tous les autres poètes : l’absolue liberté.

    Note 4.0

    -« Un voleur est un « vendangeur », « un bleffeur » truande au jeu, un « envoyeur » est un meurtrier. Faudra que tu choisisses ta spécialité.
    -Poète.
    -Ah oui, c’est vrai. Toi, c’est particulier… »

    Le plus grand poète du moyen-âge aura brulé sa vie à toute vitesse.