Fiction historique
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The Search
Titre : The Search
Scénario : Michel Hazanavicius
Réalisateur : Michel Hazanavicius
Acteurs principaux : Bérénice Bejo, Annette Bening, Maxim Emelianov, Abdul Khalim Mamatsuiev
Date de sortie française : 26 novembre 2014
Sélection Officielle : Festival de Cannes 2014Synopsis : Le film se passe pendant la seconde guerre de Tchétchénie, en 1999. Il raconte, à échelle humaine, quatre destins que la guerre va amener à se croiser. Après l’assassinat de ses parents dans son village, un petit garçon fuit, rejoignant le flot des réfugiés. Il rencontre Carole, chargée de mission pour l’Union Européenne. Avec elle, il va doucement revenir à la vie. Parallèlement, Raïssa, sa grande sœur, le recherche activement parmi des civils en exode. De son côté, Kolia, jeune Russe de 20 ans, est enrôlé dans l’armée. Il va petit à petit basculer dans le quotidien de la guerre.
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Jan Karski : L’homme qui a découvert l’holocauste
Titre : Jan Karksi : L’homme qui a découvert l’holocauste
Scénariste : Marco Rizzo
Dessinateur : Lelio Bonaccorso
Éditeur : Steinkis
Date de publication : 2014Synopsis : « Monsieur, je n’ai pas dit que ce jeune homme mentait. J’ai dit que je suis incapable de le croire. Ce n’est pas la même chose. » 1939. Jan Kozielewski, jeune Polonais de bonne famille, catholique, est happé par la guerre. Sous le nom de Jan Karski, il devient un agent de la résistance.
Sa mission : s’introduire au cœur du ghetto de Varsovie puis dans un camp d’extermination et transmettre son rapport au Président des États-Unis.Cette guerre est celle des résistants. C’est la seule à laquelle peuvent participer les boiteux, les estropiés, les vieillards et les femmes.
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Martha Jane Cannary, tome 1 : Les années 1852 – 1869
Titre : Martha Jane Cannary : Les années 1852 – 1869
Série : La vie aventureuse de celle que l’on nommait Calamity Jane
Scénariste : Christian Perrissin
Dessinateur : Mathieu Blanchain
Éditeur : Futuropolis
Date de publication : 2008
Récompenses : Prix Ouest France (2008). Prix Essentiel à Angoulême (2009).Synopsis : Martha Jane Cannary est certainement l’une des personnalités les plus connus des États Unis d’Amérique, sous le nom de Calamity Jane. Mais qui est-elle réellement ? Christian Perrissin et Matthieu Blanchin se sont penchés sur les écrits de Calamity Jane, Les Lettre à sa fille, et sur de nombreux autres écrits pour nous raconter la vie de cette aventurière, célèbre, mais assez méconnue, qui a croisé le Général Custer, et dont le grand amour se nommait Wild Bill Hickok. Mais c’est avant tout le portrait d’une femme que les auteurs dévoilent au-delà du mythe dans cette trilogie intimiste à grand spectacle.
Je vais vous dire, MISS CANNARY : vous êtes une véritable calamité, pour ce convoi et pour l’armée des États-Unis toute entière ! Voilà ce que vous êtes : une CALAMITÉ !!!
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Les rois maudits [Intégrale]
Titre : Les rois maudits (Intégrale)
Auteur : Maurice Druon
Éditeur : Plon
Date de publication : 1998Synopsis : Au début du XIVe siècle s’ouvre, contre les Templiers, le plus vaste procès dont l’Histoire ait gardé le souvenir. Jacques de Molay, le grand maître de l’Ordre, meurt sur le bûcher en lançant sa terrible malédiction contre le roi de France, le pape et les grands du royaume: Maudits, tous maudits jusqu’à la treizième génération de vos races ! Dès lors, le malheur s’abat sur la France. Les quatre derniers Capétiens directs meurent en moins de quinze années: adultères, meurtres, procès, trahisons ébranlent la dynastie, et mènent à la guerre de Cent Ans.
C’est un grand acte de sagesse à la fois et de pitié de la part du Créateur, que de nous avoir interdit la connaissance de l’avenir, alors qu’il nous a octroyé les délices du souvenir et les prestiges des l’espérance.
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Charly 9 [Bande dessinée]
Titre : Chalry 9 [Bande dessinée]
Scénariste et dessinateur : Richard Guérineau
Éditeur : Delcourt (collection Mirages)
Date de publication : 2013Synopsis : Charles IX, ou comment un pantin sous la coupe de sa mère ordonna le sanglant massacre de la Saint-Barthélemy? Une effrayante farce tragique de l’Histoire contée par Jean Teulé et superbement adaptée par Richard Guérineau. Charles IX fut de tous les rois de France l’un des plus calamiteux. À 22 ans, pour faire plaisir à sa mère, il ordonna le massacre de la Saint-Barthélemy. Abasourdi par l’énormité de son crime, il sombra dans la folie. Transpirant le sang par tous les pores, Charles IX mourut à 23 ans, haï de tous… Pourtant, il avait un bon fond.
-Cela fait combien de jours que je n’ai plus vu Monsieur Nicolas, mon secrétaire ? Est-il souffrant ?
-Heu… Nicolas était protestant, sire, alors… Au jour qu’il est sur la Seine, son corps transpercé de flèches a du atteindre l’océan.
-Ah… Dommage, je l’aimais bien. […] En tout cas je ne veux pas de ce bouillon ! Qu’on me serve plutôt des confitures !
-Votre confiseur royal était protestant, sire…
-RAAAAH ! -
Le loup des mers
Titre : Le loup des mers
Scénariste et dessinateur : Riff Reb’s
Éditeur : Soleil (collection Noctambule)
Date de publication : 2012Synopsis : Après un naufrage, Humphrey Van Weyden, un gentleman fluet, est recueilli puis enrôlé de force comme mousse par Loup Larsen, un terrifiant capitaine de goélette, buveur, violent mais très cultivé. Ce capitaine, athée, éprouve peu à peu une sorte d’estime teintée de mépris pour Humphrey, à l’inverse, très religieux : « si vous savez que quand vous mourrez, vous irez dans un monde meilleur, alors, pourquoi avez-vous peur de mourir ? ». Ainsi naissent les premières joutes verbales – pleines d’humour et d’esprit – qui rythment ce passionnant récit d’aventure, et qui redoubleront à l’arrivée d’une jeune femme, un futur enjeu
pour ces deux hommes.Je vais vous dire le fond de ma pensée. L’homme est un animal médiocre et sans l’apparition de la conscience, il aurait disparu de cette planète depuis bien longtemps. Mais le prix à payer, c’est la conscience de sa propre mort et c’est lourd ! Alors il a inventé l’idée de l’immortalité pour accepter cette inévitable échéance et l’idée d’âme pour asseoir sa prétendue supériorité sur le règne animal. Je ne crois ni en Dieu, ni en l’Homme.
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Hommes à la mer
Titre : Hommes à la mer
Nouvelles : « Les chevaux marins » de W. H. Hodgson ; « La Chiourme » de P. Mac Orlan ; « Le Grand sud » de P. Mac Orlan ; « Les Trois Gabelous » M. Schwob ; Un sourire (de la fortune) de J. Conrad ; « Le Naufrage » de R. L. Stevenson ; « Une descente dans le maelström » d’E. Allan Poe ; « Le dernier voyage du Shamraken » de W. H. Hodgson
Extraits : « L’Odyssée » d’Homère ; « Kernok le pirate » d’E. Sue ; « Malgorn le baleinier » d’E. Condroyer ; « Le Vaisseau des morts » de B. Traven ; « Un typhon au large des côtes du Japon » de Jack London ; « Les Travailleurs de la mer » de Victor Hugo ; « Le Sphinx des glaces » de Jules Verne
Scénariste et dessinateur : Riff Reb’s
Éditeur : Soleil (collection Noctambule)
Date de publication : 2014 (novembre)Synopsis : Librement adapté des nouvelles de Conrad, Hodgson, Mac Orlan, Poe, Schwob et Stevenson. Dernier opus de la trilogie contée et mise en scène par Riff Reb’s, ce recueil offre huit adaptations – graphiquement spectaculaires – d’histoires noires et poétiques.
-CAPITAINE ! LE NAVIRE EST UN TRAIN DE SOMBRER !
-Vous vous répétez, Spoker, c’est navrant.
-C’est qu’il s’enfonce rapidement, capitaine.
-Rapidement, dites-vous ? Que voilà une étrange expression, car si vous voulez bien vous donner la peine d’y penser, le temps n’est que relatif.
-Je crains, mon capitaine, que le moment soit mal choisi pour philosopher alors que nous aurons bu la grande tasse avant dix minutes.
-Si l’on suivait votre rationnement, il ne vaudrait jamais la peine de s’engager dans quelque réflexion que ce soit. Périr sans réfléchir n’est que ruine de l’âme !!! Vous oubliez la situation de l’homme, Monsieur Spoker.
-C’est que je suis trop occupé à considérer celle du navire.
(Le Naufrage, Robert Louis Stevenson)« Hommes à la mer » marque la troisième contribution de Riff Reb’s à la collection Noctambule qui se propose d’adapter en image quelques uns des plus grands classiques de la littérature. Cette fois encore, le thème privilégié par l’auteur est celui de la mer, mais à la différence des précédents ouvrages consacrés à une histoire en particulier, on a ici affaire à l’adaptation de huit nouvelles entrecoupées d’illustrations d’extraits d’autres œuvres littéraires.
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De cape et d’Epau
L’escrime et la bande dessinée étaient à la fête au Mans ce dimanche 16 novembre ! Organisée par le conseil général de la Sarthe en partenariat avec plusieurs organismes culturels locaux (notamment la librairie Bulle), une rencontre avec deux grands illustrateurs, André Julliard (« Les 7 vies de l’épervier ») et Enrico Marini (« Le Scorpion »), s’est en effet déroulée dans le magnifique décor de l’Abbaye de l’Epau. Au programme : animations (bénévoles en costumes, arrivée des illustrateurs en calèche, combats à l’épée réalisés par l’association mancelle Saynolames, installation d’une « taverne » dans l’abbaye…) ; exposition constituée de planches et croquis et consacrée à la figure du bretteur ; chorégraphie sur le thème du duel réalisée par la compagnie Zutano BaZar ; et surtout entretien de près de deux heures avec les artistes dans le dortoirs de l’abbaye. Ce à quoi s’ajoutait en début de soirée une projection du film « Les duellistes » de Ridley Scott au cinéma Les Cinéastes.
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Plus fort que la haine
Titre : Plus fort que la haine
Scénariste : Pascal Bresson
Dessinateur : René Follet
Éditeur : Glénat (collection Caractère)
Date de publication : 2014 (septembre)Synopsis : En 1933, Doug Wiston, véritable force de la nature et grand amateur de jazz, est un jeune travailleur noir dans une scierie de l’État de Louisiane. Exploité du fait de sa force herculéenne, il finit renvoyé pour avoir osé défendre son père, passé à tabac par Sanders, l’odieux patron raciste de l’établissement et membre du Ku Klux Klan. Sans travail, sans argent, prêt à tout pour venger l’honneur de son père, Doug se morfond dans un état de révolte : contre les injustices, contre Sanders, contre les Blancs. Il découvre ce sentiment étrange qu’est la haine… Mais sur les conseils avisés d’un vieux musicien de jazz, il va finalement mettre à profit ce don que la nature lui a fait, sa formidable constitution, et devenir boxeur. Pour se venger du vieux Sanders, Doug utilisera les coups, certes, mais à travers la noble voie du sport, pas celle de la violence.
Nous, esclaves, nous trouvons dans l’amour de la musique un moyen de nous forger une identité. Comme nos ancêtres africains, nous mêlons la musique à chaque instant vécu. Nous chantons pour rythmer le travail, pour célébrer les fêtes, pour conduire l’un des nôtres à sa dernière demeure. C’est notre culture à nous depuis toujours, et celle-là, les Blancs ne pourront jamais se l’approprier.
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Gengis Khan
Titre : Gengis Khan
Scénaristes : Denis-Pierre Filippi et Mari Favereau
Dessinateur : Manuel Garcia
Éditeur : Glénat (collection « Ils ont fait l’histoire »)
Date de publication : 2014 (octobre)Synopsis : La grandeur vient à ceux qui s’en emparent. Au XIIIe siècle, Gengis Khan et ses hordes de cavaliers mongols ont semé la terreur. De la Chine à l’Europe, en passant par le Moyen-Orient, ils ont mis à genou les plus grandes puissances de l’époque… Mais avant de devenir ce grand conquérant que le monde entier connaît, Gengis Khan se faisait appeler Temüdjin. Né au cœur des arides steppes d’Asie centrale, c’était le fils d’un chef de clan assassiné par les siens. Un jeune garçon en exil, condamné à errer avec sa mère et à lutter pour sa survie. Comment, de cette jeunesse difficile, Temüdjin a-t-il finalement réussi à unir les tribus d’un pays déchiré par les guerres intestines et à constituer le plus vaste empire de tous les temps ? Découvrez l’homme qui se cache derrière la légende…
– J’ai du mal à croire qu’un homme se cachait véritablement derrière Gengis Kahn. Beaucoup le voient comme un dieu, une légende. J’en viens à douter qu’il était réel.
– Et pourtant, il a bien été un homme avant cela, même un enfant. Et bien des choses auraient pu empêcher cet enfant d’avoir le destin qu’il a connu. Comprendre de qu’il était t’aidera peut-être à cerner ce qu’il est devenu. A l’époque, il n’avait même pas ce titre, même si son père était un noble Bahadur. A l’époque, il s’appelait encore Temüdjin, et la vie lui avait accordé un peu d’insouciance.Avec « Ils ont fait l’histoire », les éditions Glénat lancent une nouvelle collection d’albums proposant des portraits biographiques illustrés de ces hommes et femmes qui laissèrent une empreinte marquante dans l’histoire, de Charlemagne à Napoléon en passant par Jaurès, Vercingétorix, Saint Louis, ou plus récemment Gengis Khan.