Harry Potter, tome 4 : Harry Potter et la Coupe de feu
Titre : Harry Potter et la Coupe de feu (Harry Potter and the Goblet of Fire)
Cycle : Harry Potter, tome 4
Auteur : Joanne K. Rowling
Éditeur : Gallimard (Jeunesse)
Date de publication : 2000
Synopsis : Harry Potter a quatorze ans et entre en quatrième année au collège de Poudlard. Une grande nouvelle attend Harry, Ron et Hermione à leur arrivée : la tenue d’un tournoi de magie exceptionnel entre les plus célèbres écoles de sorcellerie. Déjà les délégations étrangères font leur entrée. Harry se réjouit… Trop vite. Il va se trouver plongé au coeur des événements les plus dramatiques qu’il ait jamais eu à affronter. Dans ce quatrième tome bouleversant, drôle, fascinant, qui révèle la richesse des enjeux en cours, Harry Potter doitfaire face et relever d’immenses défis.
Si tu veux savoir ce que vaut un homme, regarde donc comment il traite ses inférieurs, pas ses égaux.
Le tome 4 de l’heptalogie Harry Potter envoie carrément du lourd ! Gravissant un autre palier d’intensité dans la prise de conscience et de maturité du jeune Harry, Harry Potter et la Coupe de Feu constitue la clé de voûte de l’ensemble de la saga. Faisant le lien entre la jeunesse, l’insouciance des premiers tomes (encore que le troisième est un peu limite, mais disons que les réactions sont plus légères) et la grande maturité des trois tomes suivants, le tome 4 nous fait prendre conscience d’un relatif point d’équilibre dans le récit de J.K. Rowling.
Du côté de l’intrigue, la quatrième année à Poudlard pour Harry, Ron et Hermione se déroule en parallèle de la tenue du Tournoi des Trois Sorciers. Usage narratif qui permet à l’auteur de facilement construire son récit, le Tournoi introduit surtout des éléments magiques externes à Poudlard et même à l’Angleterre. C’est une extension bienvenue de l’univers de la saga : surtout avec des écoles de magie très marquées par leur terroir et leur nationalité, au contraire de Poudlard d’ailleurs à mon sens. Le Tournoi introduit également des épreuves dignes d’une vraie aventure à caractère magique (défis aquatiques, dragons, etc.). Enfin, et c’est là l’important, l’intrigue principale avance plus que jamais : même si on sait que le danger arrive, il est difficile de savoir d’où avant de le voir fondre sur le héros ! La scène finale est tout simplement mythique !
Au final, tant au point de vue de la saga qu’à celui de l’intrigue, un tome capital pour le jeune héros et qui conditionne beaucoup de scènes des épisodes qui suivront… Impressionnant !
Voir aussi : Tome 1 ; Tome 2 ; Tome 3 ; Tome 5 ; Tome 6 ; Tome 7
Autres critiques :
Le Scribouillard (C’est pour ma culture) ; Elodie S. (Peits bonheurs et grandes lectures) ; Lutin (Albédo)
4 commentaires
belette2911
Un de mes préférés, juste après le tome 3.
Dionysos
C’est vrai que le Prisonnier d’Azkaban est quasi indétrônable.
belette2911
Vissé sur un trône de fer ! 😉
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