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  • Les souvenirs

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    Titre : Les souvenirs
    Adaptation : Jean-Paul Rouve et David Foenkinos d’après le livre éponyme de David Foenkinos
    Réalisateur : Jean-Paul Rouve
    Acteurs principaux : Michel Blanc, Annie Cordy, Mathieu Spinosi, Chantal Lauby, William Lebghil, Jean-Paul Rouve, Flore Bonaventura, Jacques Boudet
    Date de sortie française : 14 janvier 2015

    Synopsis : Romain a 23 ans. Il aimerait être écrivain mais, pour l’instant, il est veilleur de nuit dans un hôtel. Son père a 62 ans. Il part à la retraite et fait semblant de s’en foutre. Son colocataire a 24 ans. Il ne pense qu’à une chose : séduire une fille, n’importe laquelle et par tous les moyens. Sa grand-mère a 85 ans. Elle se retrouve en maison de retraite et se demande ce qu’elle fait avec tous ces vieux. Un jour son père débarque en catastrophe. Sa grand-mère a disparu. Elle s’est évadée en quelque sorte. Romain part à sa recherche, quelque part dans ses souvenirs…

    Note 2.5

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  • Le roi disait que j’étais diable

    Le roi disait que j'étais diable

    Titre : Le roi disait que j’étais diable
    Auteur : Clara Dupont-Monod
    Éditeur : Grasset
    Date de publication : 20 août 2014
    Récompenses : Prix Littéraire des Princes

    Synopsis : Depuis le XIIe siècle, Aliénor d’Aquitaine a sa légende. On l’a décrite libre, sorcière, conquérante : « le roi disait que j’étais diable », selon la formule de l’évêque de Tournai…
    Clara Dupont-Monod reprend cette figure mythique et invente ses premières années comme reine de France, aux côtés de Louis VII.
    Leurs voix alternent pour dessiner le portrait poignant d’une Aliénor ambitieuse, fragile, et le roman d’un amour impossible.
    Des noces royales à la seconde croisade, du chant des troubadours au fracas des armes, émerge un Moyen Age lumineux, qui prépare sa mue.

    Note 3.5

    La joie est stupide. Elle s’offre facilement. C’est l’émotion la plus reconnaissable, donc la moins perfide. Elle fendille les visages avec la stupeur un peu niaise de se découvrir léger. Rien n’est plus angoissant qu’un être joyeux. Comment peut-il ignorer la faim et les menaces ? La joie produit de mauvais combattants. Je lui préfère la colère, c’est une autre histoire. Elle fait bouillir le sang. Elle est la forme même de la vie, sa première vocifération. Elle peut trahir. J’aime la colère parce qu’elle a toujours quelque chose à révéler.

    Le sixième roman de Clara Dupont-Monod mise sur les blancs de l’Histoire pour bâtir une légende, celle d’Aliénor d’Aquitaine.

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  • Gone girl

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    Titre : Gone girl
    Roman original : D’après le roman « Les apparences » de Gillian Flynn
    Réalisateur : David Fincher
    Acteurs principaux : Ben Affleck, Rosamund Pike, Neil Patrick Harris, Tyler Perry, Kim Dickens, Carrie Coon, Patrick Fugit, Emily Ratajkowski
    Date de sortie française : 8 octobre 2014
    Scénario : Gillian Flynn

    Synopsis : A l’occasion de son cinquième anniversaire de mariage, Nick Dunne signale la disparition de sa femme, Amy. Sous la pression de la police et l’affolement des médias, l’image du couple modèle commence à s’effriter. Très vite, les mensonges de Nick et son étrange comportement amènent tout le monde à se poser la même question : a-t-il tué sa femme ?

    Note 4.0

    Ce thriller, dont on ne peut trop dévoiler l’intrigue pour garder tout plaisir, est magistralement mené par David Fincher (on lui doit notamment « Seven », »Figth Club », « Zodiac », « The Social Network », entre-autre…) Un drame savamment dosé, où tensions et rebondissements s’entrecroisent avec malice. Alors que Rosamund Pike nous bluffe et nous impressionne, le personnage de Ben Affleck lui, est bien plus en retrait, jusqu’à devenir transparent. Guère d’émotions de ce côté, il subit les évènements sans réelle conviction, c’est à mon avis le seul bémol du film. L’autre aspect de ce drame familial c’est de montrer et de dénoncer l’incroyable curée journalistique devant un fait divers aussi terrible. Cette chasse au scoop à tout prix est obscène, et Fincher montre avec réussite le pouvoir dévastateur et manipulateur de certains médias. Au final, 2h30 de cinoche rondement menée, sans temps morts.

    Même si pour moi « Zodiac » reste le meilleur film de Fincher, il confirme de belle manière le grand cinéaste qu’il est. « Gone girl’ ajoute une nouvelle pièce de qualité à une œuvre déjà sacrément impressionnante.

    Autres critiques : Cléo Ballatore, Le Hulk (L’Écran Miroir) et Michael Upon Pickman (Cineslasher)

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