• Rêve de fer

    reve-de-fer

    Titre : Rêve de fer (The Iron Dream)
    Auteur : Norman Spinrad
    Éditeur : Folio SF [fiche officielle]
    Date de publication : 2 février 2006 (1973 pour la 1ère édition en VF, 1972 en VO)

    Synopsis : Et si, écœuré par la défaite allemande en 1918, Adolf Hitler avait émigré aux États-Unis ? S’il s’était découvert une vocation d’écrivain de science-fiction ? S’il avait rêvé de devenir le maître du monde et s’était inspiré de ses fantasmes racistes et belliqueux pour écrire Le Seigneur du Svastika, un roman couronné par de prestigieux prix littéraires ?
    Étonnante uchronie et terrifiante parodie, Rêve de fer est une dénonciation sans appel et sans ambiguïté du nazisme.

    Note 4.0
     
    Coup de coeur

    Mais alors même que l’esprit du Dominateur se tendait pour saper sa volonté, Feric, du fond de sa longue expérience, décela une sensation agréable et lénifiante : un Dom tentait de le prendre dans ses filets. Il attisa résolument le feu de sa formidable volonté avec la torche de la juste haine qu’il vouait à ces créatures sans âme, qui projetaient de substituer à la suprématie des hommes purs leur règne grossier, leur émotion la plus élevée étant le désir d’exterminer leurs supérieurs génétiques, et leur seul but de transformer la Terre à l’image de leur solide bauge.

    Ce n’est pas évident d’entrer dans la bibliographie de Norman Spinrad : entre ses fables « sex et rock’n’roll » et ses récits d’anticipation sociale, il n’y a pas forcément d’œuvre emblématique à laquelle s’accrocher en premier lieu. Étrangement, c’est ce qui semble être un de ses romans les plus atypiques qui m’a attiré, car Rêve de fer a été écrit en 1972, alors que l’auteur était en plein dans une phase transitoire, cela est réexpliqué dans la préface rédigée par un certain Roland C. Wagner (qui nous dévoile quasiment tout au passage).

  • Zombillénium, tome 3 : Control Freaks

    Zombillénium 3 Control Freaks

    Titre : Control Freaks
    Série : Zombillénium, tome 3
    Scénariste et Dessinateur : Arthur de Pins
    Éditeur : Dupuis (Tous Publics) (fiche officielle)
    Date de publication : 8 novembre 2013

    Synopsis : C’est l’effervescence au parc Zombillénium. Envoyé par Behemoth lui-même, le vampire Bohémond Jaggar de Rochambeau est officiellement censé seconder Francis dans sa gestion du parc. Inquiets, les employés s’attendent au pire : ne le décrit-on pas comme un authentique tueur ? D’autant qu’à y regarder de plus près, les motivations de sa venue semblent bien moins anodines qu’annoncées. Sa mission, c’est de faire du chiffre, pour les actionnaires, certes, mais surtout pour Behemoth qui, lui, attend son comptant d’âmes. Francis, ulcéré, est obligé de courber l’échine devant ce consultant tout-puissant, bien décidé à prendre le pouvoir et à pervertir les règles de Zombillénium. Tandis que se préparent pour le parc de sombres moments, Aurélien traverse une mauvaise passe. Déprimé par sa condition d’immortel et par l’absurdité de sa vie… pardon sa mort, il fait un burn out. Et un burn out, chez un démon aussi puissant, cela peut être dévastateur. Retenu in extremis par Gretchen, il évite le pire. Et cela tombe bien, car Gretchen a un projet pour lui… Un nouvel épisode de Zombillénium particulièrement mordant, dans lequel on découvre les dessous du parc d’attractions le plus monstrueux du monde.

    Note 3.5

    [Le squelette syndicaliste annonce l’arrivée d’un nouveau dirigeant vampire :]
    – C’est un ancien propriétaire terrien de Louisiane. La traite des noirs figure en bonne place sur son C.V.
    – Il a peut-être du talent pour redresser les entreprises…
    – Tu sors.

    Après deux premiers tomes ayant largement remporté l’adhésion de ceux qui s’étaient laissés tenter, Arthur de Pins propose le troisième tome de la série Zombillénium, Control Freaks.

  • SuperDupont, tome 8 : Renaissance

    SuperDupont 8 Renaissance

    Titre : Renaissance
    Série : SuperDupont, tome 8
    Scénaristes : François Boucq et Marcel Gotlib
    Dessinateur : Karim Belkrouf
    Éditeur : Dargaud (fiche officielle)
    Date de publication : 11 septembre 2015

    Synopsis : Le retour du plus grand superhéros de tous les temps ! Superdupont is back !
    Enfin !!! Tel un Batman repris en main par Frank Miller, un Spider-Man réinventé par Todd McFarlane, Superdupont renaît de ses cendres sous la plume de l’éternel Marcel Gotlib, gloire à son nom, et du redoutable François Boucq. Le seul superhéros garanti 100 % français revient tel un Phénix pour sauver la France éternelle et restaurer notre grandeur dans un monde en déliquescence. La jubilation et la complicité du tandem éclatent à chaque page, transformant cette collaboration en une réussite totale.
    Oubliez les Américains en slip moulant, le plus grand superhéros de tous les temps est un Français.

    Note 2.5

    Mais bigre de sperlote, celui qui a osé faire ça ne sait pas ce qu’il vient de s’enchaîner. Je retrouverais cette odieuse canaille et je lui dirais des gros mots en pleine figure !

    Toute initiative de former, reformer ou réinventer des super-héros à la française, voire même à l’européenne, attire forcément mon attention. À côté de la Brigade chimérique ou du beaucoup plus récent Fox-Boy, nous retrouvons une nouvelle mouture de SuperDupont, le super-héros « bien de chez nous » !

  • Zombillénium, tome 2 : Ressources humaines

    Zombillénium 2 Ressources humaines

    Titre : Ressources humaines
    Série : Zombillénium, tome 2
    Scénariste et Dessinateur : Arthur de Pins
    Éditeur : Dupuis (Tous Publics) (fiche officielle)
    Date de publication : 26 août 2011
    Récompenses : Prix Fauve Jeunesse d’Angoulême 2012

    Synopsis : Tags sur les murs, avertissement du curé du coin : visiblement les esprits s’échauffent autour de Zombillénium. Quand on n’embauche que des morts (ou des sorcières !) dans une région où le taux de chômage est à 25%, il faut bien s’attendre à quelques frictions.
    Si l’on ajoute à ça des visiteurs une miette pénibles et des employés qui, pour être morts, n’en aimeraient pas moins prendre des vacances, on comprend que ce n’est pas trop le moment de venir parler revendications salariales à Francis Von Bloodt.
    Un deuxième tome qui vient étoffer le casting de Zombillénium avec Astaroth, le démon adolescent, et qui confirme, s’il en était besoin, le talent tout particulier d’Arthur de Pins à manier un humour noir totalement jubilatoire.

    Note 4.0

    – Toujours ces lettres d’adolescents qui veulent devenir des vampires.
    – La réponse habituelle, Miranda : dites-leur d’oublier les romans à l’eau de rose et la chasteté. Qu’ils s’amusent et révisent leur bac.
    – Certains menacent de se suicider…
    – Si c’est le cas, on les recontactera.
    Ah cette mode des vampires… C’est bon pour le business, mais qu’est-ce que ça me gonfle !

    Du grand Arthur de Pins que ce deuxième tome de Zombillénium ! Au milieu des morts-vivants, vampires, sorcières et autres lycanthropes, il se permet d’étudier les « Ressources humaines » aussi naturellement que s’il s’agissait de l’entreprise familiale de la supérette au coin de la rue.

  • Zombillénium, tome 1 : Gretchen

    Zombillénium 1 Gretchen

    Titre : Gretchen
    Série : Zombillénium, tome 1
    Scénariste et Dessinateur : Arthur de Pins
    Éditeur : Dupuis (Tous Publics) (fiche officielle)
    Date de publication : 27 août 2010

    Synopsis : Francis von Bloodt, vampire de son état, gère en bon père de famille le parc d’attractions Zombillénium. On n’embauche pas n’importe qui, chez Zombillénium : les simples mortels n’ont qu’à passer leur chemin, ici on ne travaille qu’avec d’authentiques loups-garous, vampires et momies. C’est ce que va découvrir Aurélien, un homme au bout du rouleau, trompé par sa femme ; et qui va se retrouver embauché malgré lui dans cette étrange entreprise. Gretchen, sorcière stagiaire, va l’aider à faire ses premiers pas…

    Note 3.5

    En échange de leur âme, j’offre un job dans mon parc à tous ces malheureux. Je crée des emplois.
    Je suis un diable moderne.

    De l’humour tordant comme il en a désormais l’habitude, des créatures fantastiques toutes plus flippantes les unes que les autres et de l’horreur au milieu de tout ça : Arthur de Pins ne se fout pas de nous en nous offrant ce premier numéro de Zombillénium !

  • Barjot !

    Barjot Oppel

    Titre : Barjot !
    Auteur : Jean-Hugues Oppel
    Éditeur : Rivages (Rivages/Noir)
    Date de publication : 2011 (1ère édition chez Gallimard en 1987)

    Synopsis : D’habitude, une crevaison, ça vous envoie dans le décor. Jérôme-Dieudonné Salgan, lui, ça lui a sauvé la vie : grâce à ce retard providentiel provoqué par un chauffard, il évite le massacre en règle de toute sa famille et des amis qui l’attendaient chez lui. Lorsqu’il recroise la même voiture un peu plus tard, il se persuade vite qu’elle a quelque chose à voir avec ce crime. Mais en remontant la piste de ses bourreaux, il se heurte à une police parallèle qui étouffe l’affaire, sacrément gênante pour elle : ces exécutions constituaient une bavure, les exécuteurs s’étaient trompés de cibles.
    Entre parodie, manipulation et délire de vengeance, Jean-Hugues Oppel, lauréat de nombreux prix (notamment le Prix mystère de la critique et le Grand Prix de littérature policière), s’attaque, dans ce premier roman écrit en solo et enfin réédité, à ce qui restera l’un de ses thèmes fétiches : la raison d’État et l’impunité des puissants.

    Note 4.0

    Alors elle est plantée dans son encoignure, stoïque. Au risque de se faire emballer. Ça vaut mieux que de perdre une occasion de remplir sa bourse en vidant celles d’une âme en peine de coït.

  • Des milliards de tapis de cheveux

    Des milliards de tapis de cheveux L'Atalante

    Titre : Des milliards de tapis de cheveux (Die Haarteppichknüpfer)
    Auteur : Andreas Eschbach
    Éditeur : L’Atalante (La Dentelle du Cygne) / J’ai Lu (Science-Fiction)
    Date de publication : 1999, puis 2004 (1995 en VO)
    Récompenses : Prix Bob-Morane 2001 du roman étranger, Grand Prix de l’Imaginaire 2001 du roman étranger, Prix Bob-Morane 2008 spécial

    Synopsis : Noeud après noeud, jour après jour, toute une vie durant, ses mains répétaient les mêmes gestes, nouant et renouant sans cesse les fins cheveux, comme son père et le père de son père l’avaient fait avant lui…
    N’est-ce pas étrange qu’un monde entier s’adonne ainsi au tissage de tapis en cheveux ? L’objet en est, dit-on, d’orner le Palais des Etoiles, la demeure de l’Empereur. Mais qu’en est-il de l’Empereur lui-même ? N’entend-on pas qu’il aurait abdiqué ? qu’il serait mort, abattu par des rebelles ?
    Comment cela serait-il possible ? Le soleil brillerait-il sans lui ? Les étoiles luiraient-elles encore au firmament ?
    L’Empereur, les rebelles, des milliards de tapis de cheveux ; il est long le chemin qui mène à la vérité, de la cité de Yahannochia au Palais des Etoiles, et jusqu’au Palais des Larmes sur un monde oublié…

    Note 4.0

    Nœud après nœud, jour après jour, une vie durant, les mains de l’exécutant répétaient sans cesse les mêmes gestes, nouant et renouant sans cesse les fins cheveux, des cheveux si fins et si ténus que ses doigts finissaient immanquablement par trembler et ses yeux par faiblir de s’être si intensément concentrés – et pourtant, l’avancée de l’ouvrage était à peine perceptible ; une bonne journée de travail avait comme maigre fruit un nouveau fragment de tapis dont la taille approximative n’excédait pas celle d’un ongle.

    Ils sont beaux, mes tapis, ils sont beaux ! Tout de cheveux tissés, ils sont le but ultime de tout bon père de famille désireux d’assurer un certain train de vie à sa descendance ! Grâce à ce système social à première vue capillotracté, et pourtant diablement original, Andreas Eschbach nous tisse une histoire touffue certes, mais également moelleuse et confortable.

  • Cosplay

    Cosplay

    Titre : Cosplay

    Cycle : Réédité en tant que tome 1 du cycle Cosplay, tome renommé « Adamas maître du jeu »
    Auteur : Laurent Ladouari
    Éditeur : HC Éditions
    Date de publication : 2 janvier 2014

    Synopsis : ADAMAS, milliardaire cynique et haï de tous, rachète une ancienne gloire de l’industrie au bord de la faillite : 1T.
    Le redoutable prédateur déclare vouloir la détruire.
    Cela n’a aucun sens.
    Le même jour, par un invraisemblable concours de circonstances, KATIE DÛMA parvient à se faire recruter par 1T.
    Comme les trois mille autres employés, KATIE est invitée à plonger dans l’univers virtuel du COSPLAY : un jeu de masques où chacun agit et communique sous le couvert de l’anonymat.
    Le COSPLAY n’a pas de règles : ce jeu de simulation prône une liberté totale. Protégé par son masque, chacun révèle sa véritable humanité : calomnies, délations et règlements de compte se déchaînent dans une explosion de violence sans précédent.
    Le COSPLAY est la bombe envoyée par ADAMAS pour anéantir 1T.
    Mais depuis l’intérieur du jeu, KATIE organise la résistance.

    Note 3.5

    Regardez autour de vous. Regardez ce monde qui bouge. Qui est fort, qui est faible ? Chacun lutte courageusement pour mériter sa place au fond de ce bocal : c’est la vie. Alors cessez d’avoir peur et, quelle que soit la raison qui vous donne momentanément l’illusion d’être faible, battez-vous. L’univers vous sera toujours hostile, un déluge se prépare peut-être, alors, dans le doute, battez-vous encore pour être pleinement vous-même. Sinon… disparaissez.

    Folklore des conventions et de certains festivals, le cosplay, jeu de rôle consistant à se déguisant en des personnages célèbres ou de fiction, est mis à contribution par Laurent Ladouari pour créer une simulation virtuelle au sein d’une industrie en total délabrement.

  • Où on va, papa ?

    Où on va, papa

    Titre : Où on va, papa ?
    Auteur : Jean-Louis Fournier
    Éditeur : Stock (La Bleue)
    Date de publication : 20 août 2008 (puis 2010 au Livre de Poche)
    Récompenses : Prix Femina 2008

    Synopsis : « Cher Mathieu, cher Thomas,
    Quand vous étiez petits, j’ai eu quelquefois la tentation, à Noël, de vous offrir un livre, un Tintin par exemple. On aurait pu en parler ensemble après. Je connais bien Tintin, je les ai lus tous plusieurs fois.
    Je ne l’ai jamais fait. Ce n’était pas la peine, vous ne saviez pas lire. Vous ne saurez jamais lire. Jusqu’à la fin, vos cadeaux de Noël seront des cubes ou des petites voitures… »
    Jusqu’à ce jour, je n’ai jamais parlé de mes deux garçons. Pourquoi ? J’avais honte ? Peur qu’on me plaigne ?
    Tout cela un peu mélangé. Je crois, surtout, que c’était pour échapper à la question terrible : « Qu’est-ce qu’ils font ? »
    Aujourd’hui que le temps presse, que la fin du monde est proche et que je suis de plus en plus biodégradable, j’ai décidé de leur écrire un livre.
    Pour qu’on ne les oublie pas, qu’il ne reste pas d’eux seulement une photo sur une carte d’invalidité. Peut-être pour dire mes remords. Je n’ai pas été un très bon père. Souvent, je ne les supportais pas. Avec eux, il fallait une patience d’ange, et je ne suis pas un ange.
    Quand on parle des enfants handicapés, on prend un air de circonstance, comme quand on parle d’une catastrophe. Pour une fois, je voudrais essayer de parler d’eux avec le sourire. Ils m’ont fait rire avec leurs bêtises, et pas toujours involontairement.
    Grâce à eux, j’ai eu des avantages sur les parents d’enfants normaux. Je n’ai pas eu de soucis avec leurs études ni leur orientation professionnelle. Nous n’avons pas eu à hésiter entre filière scientifique et filière littéraire. Pas eu à nous inquiéter de savoir ce qu’ils feraient plus tard, on a su rapidement ce que ce serait : rien.
    Et surtout, pendant de nombreuses années, j’ai bénéficié d’une vignette automobile gratuite. Grâce à eux, j’ai pu rouler dans des grosses voitures américaines.

    Note 3.0

    « Il n’y a rien de plus difficile que de faire quelque chose qui ne ressemble à rien. »
    Mes enfants ne ressemblent à personne. Moi qui voulais toujours ne pas faire comme les autres, je devrais être content.

    Mais c’est vrai, où va-t-on, au fond ? Comment envisager l’avenir, le bout du chemin, quand on débute sa paternité par deux enfants lourdement handicapés ? C’est, en substance, ce questionne Jean-Louis Fournier.

  • Quinzinzinzili

    Quinzinzinzili

    Titre : Quinzinzinzili
    Auteur : Régis Messac
    Éditeur : L’Arbre vengeur (L’Alambic)
    Date de publication : 20 septembre 2007 (1935 pour la 1ère édition)

    Synopsis : Bien sûr, cela fait des décennies que la littérature nous annonce l’anéantissement de la race humaine, notre capacité à nous détruire ne se discutant plus. Beaucoup de livres pour un sujet aussi crucial, mais dans le lot peu de chefs-d’œuvre… Quinzinzinzili, ce roman au titre improbable, est pourtant de ceux-là, ses rares lecteurs n’en démordent pas, qui s’étonnent toujours de son ironie visionnaire, de son pessimisme halluciné et de ses trouvailles géniales. Publié en 1935, il a été imaginé par Régis Messac (1893-1945), considéré comme l’un des précurseurs du genre, et nous entraîne après le cataclysme, à la suite du dernier des adultes, témoin stupéfait de la renaissance du genre humain : sous ses yeux désabusés, un groupe d’enfants réinvente une Humanité dont l’Histoire a disparu. Et Messac, qui sait que la Civilisation est mortelle, nous offre le spectacle d’une poignée de gosses en train de lui régler son compte… Stupéfiant, Quinzinzinzili renaît et devrait susciter l’admiration de ceux qui croient davantage aux vertus des Lettres qu’à celles de l’Homme.

    Note 4.0

    L’intelligence n’est pas très répandue dans le monde nouveau. Aussi, on y est grand homme à bon compte.

    Quinzinzinzili ! En voilà un titre qui dépote. Et personnellement, je prononce toutes les lettres, histoire de faire authentique. Mais qu’est-ce donc que cet O.V.N.I. ?