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Ayesha : La légende du peuple Turquoise
Titre : Ayesha : La légende du peuple Turquoise
Auteur : Ange (Anne et Gérard Guéro)
Éditeur : Bragelonne
Date de publication : 2005Synopsis : Dans les royaumes orientaux de Tanjor, le Peuple turquoise est en esclavage depuis des millénaires. Mais il chérit une légende qui lui donnera un jour le courage de se révolter : la légende d’Ayesha, la déesse qui commandera aux étoiles et rendra la liberté à ses enfants condamnés. La jeune reine Marikani n’est pas insensible à leur sort, mais elle a d’autres soucis. De retour d’exil, elle espère rallier la cité d’Harabec et reprendre le trône dont on la écartée. Malgré tout son orgueil, elle aura bien besoin de l’aide d’Arekh, un galérien cynique et brutal dont elle a sauvé la vie. Ils n’ont rien en commun. Leur rencontre va pourtant changer le destin de toute une civilisation, bien au-delà de tout ce qu’ils pouvaient imaginer. Ceci est l’histoire d’une femme indomptable, de ceux qui l’ont aimée et de ceux qui l’ont trahie. Ceci est l’histoire d’une révolution.
Qu’importe l’origine du mythe. Ce qui est certain, c’est qu’à l’époque où Salmyre, la cité lointaine, étincelait de ses dernières lumières d’or, que l’émir et la reine d’Harabec se livraient à leurs querelles insignifiantes et séculaires, une révolte sourde et secrète grondait dans le cœur des esclaves du Peuple turquoise. Ils parlaient d’Ayesha. Ils attendaient Ayesha.
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Le livre et l’épée, tome 1 : La voie de la colère
Titre : La voie de la colère
Cycle : Le Livre et l’Épée, tome 1
Auteur : Antoine Rouaud
Éditeur : Bragelonne
Date de publication : 31 octobre 2013Synopsis : An 10 de la République, dans la cité portuaire de Masalia. Dun-Cadal n’est plus que l’ombre de lui-même. Trahi par ses amis, celui qui fut le plus grand général de l’Empire passe désormais son temps à boire dans une taverne. Mais l’Histoire n’en a pas fini avec lui. Viola est une jeune historienne à la recherche de l’épée de l’Empereur, symbole de l’ancien régime. Elle sait que Dun-Cadal est la dernière personne à avoir été en possession de la précieuse relique, qu’il aurait cachée pendant les dernières heures de la révolution.
Il y a une légende qui raconte qu’un seul homme fit face aux Salines et embrasa notre armée. Ce n’était pas une légende, je l’ai combattu… et j’ai fui comme les autres. Il nous fit plus de dégâts que lors de l’assaut du Guet d’Aëd par dix milles de ses hommes. Parce que lui, nous l’avons craint. S’il y eut un seul héros dans les Salines, ne retenez qu’un nom… Dun-Cadal Daermon.
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Les Voies d’Anubis
Titre : Les Voies d’Anubis (The Anubis Gates)
Auteur : Tim Powers
Éditeur : Bragelonne
Date de publication : 26 avril 2013 (1983 en VO chez Ace Books)
Récompenses : Prix Philip K. Dick 1983, Prix SF Chronicle du meilleur roman 1984, 2ème place du Prix Locus du meilleur roman de fantasy 1984, Prix Apollo 1987Synopsis : Lorsque le professeur Brendan Doyle accepte de donner une conférence sur le poète anglais Coleridge, il est loin d’imaginer qu’il ne va pas tarder à le rencontrer en personne… en 1810 ! Car après avoir accepté l’offre d’un millionnaire ayant percé les mystères du voyage dans le temps, le voilà plongé dans une aventure rocambolesque, traversant un Londres peuplé de bohémiens, de mendiants douteux et de sorciers terrifiants, tel ce clown macabre qui règne sur le monde souterrain. Et pour couronner le tout, Doyle ne peut revenir à son époque, à moins de déjouer les plans malfaisants de mages égyptiens qui veulent ramener leurs anciens dieux à la vie. Mais osera-t-il prendre le risque de changer le cours de l’Histoire ?
Un drôle d’état de fatigue, se dit-il, lorsqu’un type mort depuis plus d’un siècle vous fait des clins d’œil sur son portrait.
Eh, vous là, venez avec moi ! Suivez-moi sur Les Voies d’Anubis, ténébreuses et mystérieuses, celles qui vous feront parcourir le temps et découvrir un monde bien étrange, aux origines du steampunk.
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Sur des mers plus ignorées
Titre : Sur des mers plus ignorées (On Stranger Tides)
Auteur : Tim Powers
Éditeur : Bragelonne
Date de publication : 20 mai 2011 (1987 en VO chez Ace Books)Synopsis : C’est en 1718 que Jack devint un pirate des Caraïbes… Il voguait vers le Nouveau Monde quand son navire fut attaqué par des pirates. Le capitaine lui proposa de mourir tout de suite… ou de devenir l’un d’entre eux. Le choix fut vite fait ! Il dut rapidement apprendre à manier aussi bien la grand-voile que le sabre d’abordage. Mais c’est pour sauver une belle jeune fille que Jack allait devoir affronter les plus sinistres dangers : magie vaudoue, zombies, puissances maléfiques et par-dessus tout le terrible Barbe-Noire, à la recherche de la fabuleuse fontaine de Jouvence…
– Qu’est ce que c’est que cette fontaine que nous allons chercher dans la jungle ?
– Je croyais que tu le savais Jack ! C’est un trou dans le mur entre la vie et la mort, et tous ceux qui se trouvent autour risquent d’être touchés par les gouttelettes d’un côté ou de l’autre. Tu n’as jamais appris l’histoire ? C’est ce que cherchait Juan Ponce de Léon… Il l’appelait la fontaine de Jouvence.Voilà bien un roman qu’il me tardait de dévorer, tellement j’en avais entendu parler en bien par divers biais et tellement il me faisait saliver ! Un condensé de fantasy, de piraterie et de steampunk ? On Stranger Tides (titre original) nous offre tout cela, et dans le décor des Caraïbes du XVIIIe siècle qui plus est !
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Haut-Royaume, tome 1 : Le Chevalier
Titre : Le Chevalier
Cycle : Haut-Royaume, tome 1
Auteur : Pierre Pevel
Éditeur : Bragelonne
Date de publication : 2013Synopsis : Un homme, un royaume, un destin. Il avait nom Lorn Askariàn. Certains disent que le malheur arriva par lui et d’autres qu’il fut celui par qui tout fut sauvé. Dans ses veines coulait le sang noir des héros condamnés. Le Haut-Royaume connaît sa période la plus sombre. Le roi est affaibli et la rébellion gronde aux frontières du territoire. En dernier recours, le souverain libère Lorn de ses geôles et le nomme Chevalier du Trône dOnyx, chargé de protéger l’autorité royale. Héros valeureux et juste, Lorn est une figure d’espoir pour le peuple, mais il poursuit également un but secret : retrouver ceux qui l’ont maintenu en captivité, les uns après les autres et leur faire sentir le goût de la vengeance.
-Vous dînez ce soir à ma table, chevalier. Malheureusement, comme vous le savez, il me sera impossible de vous tenir compagnie.
-Je ne reste pas, dit Lorn. Je pars avec vous demain.
Le comte hésita.
-Je connais votre histoire, dit-il en songeant à Dalroth, à l’Obscure et aux épreuves que Lorn avaient endurées.
-Alors vous savez que mon aide pourra vous être précieuse. En outre, pouvez-vous vraiment vous passer d’une épée ? Vous espériez qu’un renfort viendrait du Haut-Royaume ? Vous vous êtes moqué tout à l’heure mais ce renfort, c’est moi. Et c’est le Haut-Roi qui m’envoie. -
Servir froid
Titre : Servir froid
Auteur : Joe Abercrombie
Éditeur : Bragelonne
Date de publication : 2013Synopsis : La guerre est un enfer, mais c’est aussi un gagne-pain pour certains, comme Monza Murcatto, la plus célèbre et redoutée des mercenaires au service du grand-duc Orso. Ses victoires l’ont rendue très populaire… trop, même, au goût de ses employeurs. Trahie, jetée du haut d’une montagne et laissée pour morte, Monza se voit offrir en guise de récompense un corps brisé et une insatiable soif de vengeance. Quoi qu’il lui en coûte, sept hommes devront mourir. Elle aura pour alliés un soûlard des moins fiables, le plus fourbe des empoisonneurs, un meurtrier obsédé par les nombres et un barbare décidé à se racheter une conscience. C’est le printemps en Styrie. Et avec le printemps, vient la vengeance.
Elle enroula ses doigts sur la poignée froide, sensation nouvelle dans sa main gauche, et fit glisser quelques centimètres de métal hors du fourreau. Elle brillait vivement à la lumière de la lampe. La bon acier plie, mais jamais ne rompt. Le bon acier est toujours affûté et prêt à l’emploi. Le bon acier ne ressent ni pitié ni douleur, et surtout, jamais de remords. Elle laissa échapper un vrai sourire. Le premier depuis des mois. Le premier depuis que le fil de Gobba lui avait fendu le cou. La vengeance, alors.