• Gagner la guerre

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    Titre : Gagner la guerre
    Auteur : Jean-Philippe Jaworski
    Éditeur : Les Moutons Électriques
    Date de publication : 2009
    Récompenses : Prix Imaginales 2009 (meilleur roman français)

    Synopsis : Au bout de dix heures de combat, quand j’ai vu la flotte du Chah flamber d’un bout à l’autre de l’horizon, je me suis dit : « Benvenuto, mon fagot, t’as encore tiré tes os d’un rude merdier. » Sous le commandement de mon patron, le podestat Leonide Ducatore, les galères de la République de Ciudalia venaient d’écraser les escadres du Sublime Souverain de Ressine. La victoire était arrachée, et je croyais que le gros de la tourmente était passé. Je me gourais sévère. Gagner une guerre, c’est bien joli, mais quand il faut partager le butin entre les vainqueurs, et quand ces triomphateurs sont des nobles pourris d’orgueil et d’ambition, le coup de grâce infligé à l’ennemi n’est qu’un amuse-gueule. C’est la curée qui commence. On en vient à regretter les bonnes vieilles batailles rangées et les tueries codifiées selon l’art militaire. Désormais, pour rafler le pactole, c’est au sein de la famille qu’on sort les couteaux. Et il se trouve que les couteaux, justement, c’est plutôt mon rayon.

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    La guerre doit payer la guerre : sans quoi même le vainqueur en sort navré et à merci de ses ennemis restés hors du pré.

  • Assassin’s Creed : Brotherhood

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    Titre : Brotherhood
    Cycle : Assassin’s Creed
    Auteur : Oliver Bowden (Anton Gill)
    Éditeur : Milady
    Date de publication : 21 janvier 2011 (25 nov. 2010 pour la VO chez Penguin)

    Synopsis : « Je vais me rendre au coeur d’un empire corrompu pour anéantir mes ennemis. Rome n’a pas été construite en un jour et ne sera pas conquise par un seul assassin. Je suis Ezio Auditore et voici ma confrérie. » Rome, autrefois glorieuse, est désormais en ruine. La cité n’est plus que souffrance et décadence. Les citoyens vivent dans l’ombre de l’impitoyable famille Borgia. Un seul homme peut libérer le peuple de cette tyrannie : Ezio Auditore, le Maître Assassin. Mais Ezio va transcender ses limites dans une telle quête. Car Cesare Borgia, un homme aussi dangereux et malfaisant que son père, le pape, n’aura de répit que lorsqu’il aura conquis l’Italie. Et en ces temps troublés, la conspiration et la traîtrise sont partout… y compris au sein des rangs de la Confrérie.

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    Peut-être aurait-il l’occasion de revenir chez lui, à Florence, de retrouver ses livres, de trinquer avec ses amis en hiver, de chasser avec eux en automne, de courir après les filles au printemps et de superviser les récoltes sur ses terres en été.
    Mais pas pour le moment.

    Assassin’s Creed : Brotherhood est la suite immédiate de Assassin’s Creed : Renaissance et reprend l’intrigue là où on l’avait quitté, à Rome. Comme dans le jeu vidéo éponyme, c’est bien dans la Ville éternelle que se déroule la majeure partie de ce roman toujours centré sur le personnage d’Ezio Auditore da Firenze, Maître Assassin qui lutte contre la tyrannie des Borgia et des Templiers en Italie.

  • Elfes et assassins

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    Titre : Elfes et assassins
    Anthologistes : Sylvie Miller et Lionel Davoust
    Auteurs : Pierre Bordage (« La dernière affaire de Sagamor »), Raphaël Albert (« La seconde mort de Lucius Van Casper »), Nathalie Le Gendre (« La légende d’à peu près Punahilkka »), Anne Dugüel (« Le sourire de Louise »), Jean-Philippe Jaworski (« Le sentiment du fer »), Anne Fakhouri (« Du rififi entre les oreilles »), Rachel Tanner (« La nature de l’exécuteur »), Fabien Clavel (« Libera me »), Jeanne A. Debats (« Eschatologie d’un vampire »), Xavier Mauméjean (« Elverwhere »), Fabrice Colin (« Sans douleur »), David Bry (« J’irai à la clairière »), Johan Héliot (« Grise neige »)
    Éditeur : Mnémos
    Date de publication : 2013

    Synopsis : Les elfes sont beaux, puissants, séducteurs ; ou bien sombres, dominateurs et effrayants… Dans l’ombre, les assassins se montrent froids, méthodiques, grisés par la chasse, mais ils sont parfois fragiles, rongés par le doute, ou encore poussés par une cause qui les dépasse. À travers toutes les nuances de la fantasy, médiévale, héroïque, urbaine voire post-apocalyptique, découvrez leurs aventures et leurs mystères, de la tragédie à l’humour, de l’épique à l’émotion – entrez dans la danse des Elfes et Assassins !

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    Il y a un paquet de bonhommes qui ne peuvent pas encaisser les elfes. Certains les jalousent, d’autres les méprisent, personne ne les entrave. Beaucoup d’envieux sont tout simplement exaspérés par l’afféterie des mignards. Il n’y a pas à baraguiner : les elfes sont trop beaux. Trop gracieux. Trop diserts. Trop adroits. Trop vieux. Trop jeunes. Trop légers. Pour peu que vous ayez le museau ordinaire, la bedaine qui s’alourdit et l’âme cafardeuse, il y a de quoi grincer des dents. (Jean-Philippe Jaworski – Le sentiment du fer)

  • Largo Winch, tome 1 : L’héritier

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    Titre : L’héritier
    Série : Largo Winch, tome 1
    Scénariste : Jean Van Hamme
    Dessinateur : Philippe Francq
    Éditeur : Dupuis
    Collection : Repérages
    Date de publication : 1990

    Synopsis : C’était l’un des hommes les plus riches du monde. Le jour où le vieux Nerio Winch disparaît, son cher Groupe W, conglomérat de multinationales, risque de disparaître avec lui. Les barons du Groupe s’inquiètent. Quand ils découvrent que le vieux Nerio dissimulait un fils adoptif, un certain Largo Winczlav, ils s’inquiètent encore un peu plus. Mais le Largo en question est loin de se douter du destin qui l’attend. Son souci du moment, c’est plutôt de s’évader de la prison d’Istanbul où il est enfermé pour meurtre…

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    Moralité : on peut être fort comme un Turc et con comme un balai, il n’y a pas de contradiction.

    Premier tome de la série Largo Winch, L’Héritier sert véritablement d’introduction à une saga riche en rebondissements, en intrigues et, depuis, en reconnaissances médiatiques.