Fantastique - Horreur

  • Voyage au centre de la terre, tome 1

    Voyage au centre de la Terre, tome 1

    Voyage au centre de la terre, tome 1

    Titre : Voyage au centre de la Terre
    Cycle/Série : Voyage au centre de la Terre, tome 1
    Auteur : Jules Verne
    Dessinateur: Norihiko Kurazono
    Éditeur : Pika
    Date de publication : 6 septembre 2017

    Synopsis : La vie d’Axel va changer du tout au tout lorsque son oncle, le professeur Lidenbrock, trouve un étrange parchemin codé dans un vieux livre islandais. Il s’avère que le message contient des indications pour se rendre au centre de la Terre ! Il n’en faut pas plus à l’impétueux professeur pour monter une expédition… au grand désespoir de son neveu.

    Bibliocosme Note 4.0

    -Plus de bruits de charrettes, plus de cris de marchands, plus de vociférations de bateliers !
    -En effet, nous sommes fort tranquilles au fond de ce puits… Mais ce calme a quelque chose d’effrayant.
    -Allons donc, si tu t’effrayes déjà, qu’est-ce que ce sera plus tard ! Nous ne sommes pas encore rentrés d’un pouce dans les entrailles de la Terre !
    -Que voulez-vous dire ?
    -Je veux dire que nous avons seulement atteint le sol de l’île! Nous sommes à peu près au niveau de la mer.

        Les adaptations en tous genres ont apparemment le vent en poupe au pays du soleil levant. Après la série télévisée Sherlock et Les misérables de Victor Hugo qui ont vu le jour au format manga dernièrement, c’est cette fois-ci le roman de Jules Verne Voyage au centre de la Terre qui se voit paré d’une version BD à la sauce japonaise. Ce premier volume d’une série de quatre tomes se veut très fidèle à l’œuvre originale qui n’est rien de moins que l’un des romans d’aventure les plus lus au monde. En témoigne la couverture de ce volume avec les noms de Jules Verne et de Norihiko Kurazono mis sur un pied d’égalité.

  • Platinum end 1

    Platinum End, tome 1

    Titre : Tome 1
    Cycle/Série : Platinum End
    Auteur : Tsugumi Ohba
    Dessinateur: Takeshi Obata
    Éditeur : Kazé
    Date de publication : 25 mai 2016

    Synopsis : Mirai, un jeune homme qui a perdu tout espoir en la vie, est sauvé par un ange alors qu’il tente de se suicider. Mais cette rencontre fatidique pourrait bien le plonger dans un désespoir plus profond encore… Takeshi OBATA et Tsugumi OHBA nous livrent un thriller sombre mettant en scène anges et humains autour d’un thème qui leur est cher : la frontière délicate entre le Bien et le Mal.

    -Attend, t’es vraiment un ange ?
    -Oui ! Un ange suprême !
    -Tu parles de dérober, de contrôler les gens… Tu m’as plutôt l’air d’un démon.
    -Oh ! Là tu exagères. Tu parles sans avoir jamais vu ni ange ni démon. D’ailleurs, les démons n’existent pas. Le seul endroit où on pourrait en trouver, c’est dans le coeur des hommes !

        Après deux mangas qui ont assis leur renommée pour un paquet d’années encore, à savoir Death Note et Bakuman, le duo Tsugumi Ohba et Takeshi Obata ressert le couvert avec le fruit tout beau tout neuf d’une nouvelle coopération qui semble davantage s’inscrire dans la lignée du premier que du second. L’arrivée de Platinum End en France est un vrai événement attendu par certains avec fébrilité. Après un premier volume publié en janvier, il est bien temps que le Bibliocosme livre son verdict.

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  • L'attaque des titans 1

    L’Attaque des Titans, tome 1 [Edition colossale]

    Titre : L’attaque des titans
    Cycle/Série : Edition colossale 1
    Auteur : Hajime Isayama
    Éditeur : Pika Seinen
    Date de publication : 7 octobre 2015

    Synopsis : Le monde appartient désormais aux Titans, des êtres gigantesques qui ont presque décimé l’Humanité. Voilà une centaine d’années, les derniers rescapés ont bâti une place forte, une cité cernée d’une haute muraille au sein de laquelle vivent aujourd’hui leurs descendants. Parqués, ignorants tout du monde extérieur, ils s’estiment au moins à l’abri de ces effroyables êtres qui ne feraient d’eux qu’une bouchée. Hélas, cette illusion de sécurité vole en éclats le jour où surgit un Titan démesuré, encore bien plus colossal que tous les autres. S’engage alors un combat désespéré pour la survie du genre humain…

    – Donc si je comprends bien, au cas où ils nous assailliraient, vous n’êtes absolument pas préparés à livrer bataille?
    -Pas vraiment non. Le jour où les soldats devront se battre, c’est que le pire aura fini par arriver. Donc, tant qu’on se la coule douce,
    qu’on nous traite de feignasses et de planqués, c’est que la paix règne et que tout roule, pas vrai?

        L’Attaque des Titans approche inexorablement du terme de son histoire avec la récente sortie du 22ème volume en France. Autant dire une série presque courte. L’oeuvre de Hajime Isayama connaît un succès immense un peu partout dans le monde. De part la violence qui y est omniprésente, l’Attaque des Titans est un seinen, destiné donc à un public de jeunes adultes, à la différence du shônen, ce qui, à dire vrai, n’empêche guère les plus jeunes de les lire ou de le regarder, puisqu’un excellent animé est diffusé. Bien heureux de ce succès, Pika Edition a eu l’excellente idée de rééditer la série sous un format enfin à la mesure des titans avec cette édition tout simplement nommée « Edition colossale ». Au programme, trois volumes en un, quelques pages couleurs inédites, un papier de bien meilleure qualité, une couverture très agréable au toucher, mais surtout un format bien plus grand que l’original. Le tout pour un prix qui n’outrepasse pas celui de trois volumes simple. En somme, L’attaque des Titans Edition Colossale semble bien être une affaire à tous points de vue. Une série qui redevient d’un coup immensément attrayante !

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  • Death note tome 1

    Death Note, tome 1

    Titre : Death Note
    Cycle/Série : Death Note, tome 1
    Auteur : Tsugumi Ohba
    Dessinateur: Takeshi Obata
    Éditeur : Kana
    Date de publication : 19 janvier 2007

    Synopsis : Light Yagami ramasse un étrange carnet oublié dans la cour de son lycée. Selon les instructions du carnet, la personne dont le nom est écrit dans les pages du Death Note mourra dans les 40 secondes !! Quelques jours plus tard, Light fait la connaissance de l’ancien propriétaire du carnet : Ryûk, un dieu de la mort ! Poussé par l’ennui, il a fait entrer le carnet sur terre. Ryûk découvre alors que Light a déjà commencé à remplir son carnet…

    Vous cherchez tous les deux un adversaire dont l’identité est un mystère… Et le premier qui sera trouvé mourra.
    Les humains sont tellement intéressants…

    Deathnote a débarqué en France il y maintenant dix ans et est terminé depuis déjà belle lurette mais n’en reste pas moins une des sagas marquantes du manga depuis le début des années 2000. Son succès a été foudroyant, et il n’est jamais trop tard pour vous donner envie de lire. Deathnote fut aussi la première collaboration du duo Takeshi Obata/Tsugumi Ohba qui ont récidivé deux fois depuis, récemment chez nous avec Platinum End. Mais revenons en à Deathnote. Quoi donc que c’est ?

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  • Outcast tome 1

    Outcast, tome 1 : Possession

     

     

    Titre : Possession
    Série : Outcast, tome 1
    Scénario : Robert Kirkman
    Dessin : Paul Azaceta
    Éditeur : Delcourt
    Date de publication : avril 2015

     

    Synopsis : Kyle Barnes est un banni, vivant isolé du reste de la société dans une petite ville des États-Unis. Ancien enfant battu, ancien mari violent, ancien père maltraitant, il cumule les étiquettes de l’homme qui dérange. Son quotidien se voit bouleversé le jour où il retrouve par hasard un vieux révérant adepte des jeux de cartes. Ce dernier pose un regard neuf sur notre héros : il le voit comme une bénédiction. Au détour d’un exorcisme de routine, il l’emmène auprès d’un enfant possédé. Kyle se rend alors compte qu’il dispose d’un don très spécial : celui de faire fuir les démons. Commence alors une guerre contre le mal, entre frénésie biblique et coups de poker.

     

    Les gens pensent que Dieu se bile pour les détails. Les gens croient qu’il a le temps de regarder tous les trucs qu’on fait comme s’il s’inquiétait vraiment de tout ce qu’on dit, ou de savoir si on suit ou non ses règles à la lettre. C’est vraiment des conneries.

     

     

     

    Au scénario, nous retrouvons Robert Kirkman, le créateur de Walking Dead dont la série principale a été adaptée au petit écran. On retrouve avec Outcast cette touche à la Romero dont il s’est fait une spécialité. Il a créé de nombreuses saga à succès : Invincible, Le Maître voleur, Les Gardiens du Globe, et Tech Jacket. Outcast ne déroge pas à la règle : ça fleure bon le scénario de qualité. Il a d’ailleurs lui aussi été choisi pour devenir une série télévisuelle et a été sélectionné au festival d’Angoulême en 2016. Quant au dessin, c’est Paul Azaceta qui manie les pinceaux. Ce dernier est essentiellement connu pour sa collaboration avec Marvel, grâce à la série Amazing Spider-Man ou Captain Marvel.

     

    Eh bien, je vais vous dire le secret. Il ne répond pas. Parfois il y a une sensation, parfois un signe… Mais je n’entends jamais sa voix, pas comme Moïse, Abraham ou Jésus… Pourquoi ? Peut-être qu’il est trop occupé avec sa guerre, et qu’il nous a oubliés. Peut-être qu’il perd.

     

    Dès les premières pages, on perçoit une ambiance particulièrement pesante. Celle qui met mal à l’aise non pas à cause d’un quelconque monstre tapi dans l’ombre, mais bien en raison du Mal dissimulé au cœur des Hommes. Le sourire des possédés est insoutenable, si bien qu’on se surprend à tourner la page avec soulagement. L’intrigue se révèle insupportable de part la violence qui s’en dégage. On éprouve pourtant une fascination proche du masochisme, qui nous pousse à nous demander si nous ne serions pas nous aussi victime d’une possession satanique.

     

     

    La brutalité du scénario est contrebalancée par un dessin très simpliste. Les personnages sont croqués grossièrement : l’épaisseur du trais donne un style qui n’est pas de mon goût. Si la couverture laisse imaginer un jeu de couleurs intéressant, on ne peut qu’être déçu en découvrant des teintes ternes et sans vie. Tout semble beige ou gris, à quelques nuances près. Les cases sur fond blanc surprennent. Au vu du thème horrifique clairement établi, on s’attendrait plutôt à un fond noir. La clarté qui s’en dégage rend les coloris encore plus fades. On aurait aimé que le bijou soit à la hauteur de son écrin.

    En lisant cette bande-dessinée, on remarque immédiatement une influence cinématographique avec ses nombreux flash-back permettant de mieux cerner le personnage principal : Kyle Barnes. Ce dernier a été traumatisé par une enfance dévastée. Dès le plus jeune âge, il fut la cible privilégiée des démons ayant pris possession de ses proches : d’abord sa mère, puis son épouse. Personne n’est épargné, pas même sa sœur adoptive dont on devine un passé des plus glauques. Les informations sont distillées çà et là, si bien qu’au bout du premier tome, on se retrouve avec davantage de questions qu’au commencement. Paul Azaceta semble friand des zooms et très gros plans. Il nous montre l’un après l’autre, de façon détaillée, tous les éléments trahissant les personnages : l’inquiétude d’une épouse devant un invité indésirable, le doute d’un révérant prêt à tout pour sauver ses paroissiens, la malveillance dissimulée derrière les masques de politesse, et mille autres fragments participant à la mise en place d’une atmosphère angoissante.

    Outcast me fait penser à une version papier de la série Supernatural ayant envahi notre jeunesse les samedis soirs. Le scénario semble captivant mais pas novateur. Peut-être sera-t-on surpris avec les tomes suivants. Pour ma part, j’ai véritablement été rebutée par les couleurs insipides ne rendant pas honneur au scénario.

  • Les mémoires de Vanitas

    Les mémoires de Vanitas

     

     

    Titre : Les mémoires de Vanitas
    Auteur : Jun Mochizuki
    Éditeur : Ki-oon
    Date de publication : juillet 2017

     

    Synopsis : Dans un Paris du XIXème siècle, les vampires refont surface en tuant les humains. Pourtant, leur clan à la limite de l’extinction s’est juré de demeurer dans l’ombre et de ne plus s’en prendre aux hommes. L’influence de Twilight sans doute. Un magicien humain, nommé « Vanitas » en l’honneur du célèbre vampire de la lune bleue et craint de tous ses semblables aux quenottes pointues, utilise un grimoire magique pour soigner les maudits : des vampires dont le nom a été altéré. Noé, un vampire arrivé de province, découvre la ville et suit la trace de son idôle : Vanitas. A bord de l’aéronef le menant à la capitale, il rencontre Amélia, une jeune femme charmante. Alors qu’ils devisent tranquillement, l’impensable se produit : Amélia révèle à tous sa nature vampirique et s’en prend aux passagers.

     

  • L'île de Peter

    L’île de Peter

    Titre : L’île de Peter
    Auteur : Alex Nikolavitch
    Éditeur : Les Moutons Électriques
    Date de publication : 2017 (mai)

    Synopsis : Wednesday, policière à New-York, enquête sur un vieux marin qui traîne dans l’East Village à la recherche d’herbes médicinales. Projetée dans une île tropicale, elle découvre que ce marin n’est autre que le Capitaine Crochet et que l’île de Peter Pan existe bien, sous la forme d’une boucle spatio-temporelle dont seul le pirate peut sortir.

    Je finis par concevoir de l’ambition et changeai à plusieurs reprises d’équipage, à chaque fois que cela me permettait de prétendre à une position plus élevée dans la hiérarchie complexe des navires. J’en vins à fréquenter l’élite de la piraterie, les Bellamy, les Rackham et les Teach, m’y faisant, et je me pique de m’en enorgueillir, plus d’amis que d’ennemis. Nous étions les princes des mers. Ah, si vous nous aviez vus du temps de notre gloire, quand la seule évocation de nos noms suffisait à frapper de terreur jusqu’à l’arrière-pays continental. D’aucuns caressaient le rêve d’une république de la flibuste, mais des hommes comme Bellamy ou moi n’étions pas loin de nous couronner rois.

  • Malpertuis Alma

    Malpertuis

    Titre : Malpertuis
    Auteurs : Jean Ray
    Éditeur : Alma (Jean Ray) [fiche officielle]
    Date de publication : 4 mai 2017 (1943 pour la 1re édition)

    Synopsis : La hantise est sœur siamoise des vieilles haines, des crimes sordides et des cupidités malsaines. Proche cousine de la terreur panique, celle qui lividifie les murs, blêmit les miroirs, empoisse marches et rampes et fait suer aux façades une peur qui en imbibe la pierre. Telle est Malpertuis, cette maison dont la masse sinistre se dresse au cœur du roman de Jean Ray. Là, gîte une famille engluée dans les routines et les bisbilles les plus sordides – affaires de coucheries et d’argent, de promiscuité et d’héritage. Inexorablement, ces pathétiques pantins vont devenir le reflet d’un monde disparu, les proies d’une autre histoire, mythique et marquée par l’horreur du destin. Peu à peu, un effroi redoutable, plongeant ses racines aux origines païennes du monde, transfigure l’antique demeure.
    Paru en 1943, Malpertuis, œuvre la plus universellement célébrée de Jean Ray, a immédiatement accédé au rang de classique du fantastique, devenant avec La maison Usher de E. A. Poe, La maison de la sorcière de H.P. Lovecraft et La maison des damnés de Richard Matheson, une des plus fameuses tanières de l’épouvante.

    Quatre mains frémissantes de fièvre, sinon cinq, ont collaboré à la rédaction de ce mémoire de mystère et d’épouvante.

    Quand les éditions Alma ont repris la publication des meilleurs romans et recueils de Jean Ray, il fallait s’attendre à redécouvrir du très bon récit d’épouvante, mais s’il y en a un qui devait être remis en lumière, c’est bien Malpertuis qui est souvent désigné comme son chef-d’œuvre personnel.

  • Et si le diable le permet

    Et si le diable le permet

    Titre : Et si le diable le permet
    Cycle : Une étrange aventure de Sachem Blight & Oxiline
    Auteur : Cédric Ferrand
    Éditeur : Les Moutons Électriques
    Date de publication : 2017 (mai)

    Synopsis : 1930. Le monde se remet à peine de la pire crise financière de tous les temps. Les capitales paniquent encore à la moindre rumeur, les colonies sont paralysées par la peur… Même les riches ne dorment pas sereinement, c’est dire ! Heureusement pour lui, le très aventureux Sachem Blight travaille dans un domaine épargné par toute cette incertitude boursière : il parcourt le vaste monde pour secourir les filles et fils de bonne famille, cette brochette d’inconscients qui se jettent volontairement dans la gueule du loup sous le prétexte de vouloir goûter aux joies de vacances exotiques. Le commerce de Blight l’emmène sur tous les continents pour affronter la multitude de dangers auxquels ses clients se frottent lors de leurs tribulations. Et cette fois-ci, Sachem est appelé à la rescousse à Montréal, au Québec. Et manque de chance pour lui, son niveau de Français n’est pas à la hauteur de l’enquête qu’il doit mener. Pour la première fois de sa carrière, il va devoir composer avec une partenaire, en la personne d’Oxiline, sa demi-sœur qu’il connaît à peine.

    T’as été smart, l’anglo, sur ce coup là. Et beau joueur, avec ça. Ça aurait pu faire vilain, mais t’as évité que ces cochons nous vargent dessus. J’taime bien, finalement !

  • H.P.L. (suivi de) Celui qui bave et qui glougloute

    Titre : H.P.L. (suivi de) Celui qui bave et qui glougloute
    Auteur : Roland C. Wagner
    Éditeur : ActuSF (Hélios) [fiche officielle]
    Date de publication : mars 2017

    Synopsis :
    Oubliez tout ce que vous savez : Lovecraft n’est pas mort en 1937 mais a vécu jusqu’à l’âge de 101 ans. À quoi a ressemblé sa vie au cours des décennies suivantes ? Roland C.Wagner, son biographe imaginaire, vous dit tout !
    Il vous raconte également ce qui s’est passé réellement en 1890 dans l’Ouest américain lorsque les Indiens ont reçu l’aide d’un allié aussi terrifiant que mystérieux face aux tuniques bleues.
    Deux textes bourrés d’humour et d’érudition autour de Lovecraft, des rééditions salutaires alors que 2017 marque les 80 ans de la mort du créateur de Cthulhu. H.P.L. a reçu le prix Rosny Aîné 1997. Version anglaise traduite par Jean-Daniel Brèque.
    Roland C. Wagner fut l’un des grands auteurs de science fiction en France avec des romans attachants mélangeant humour et intelligence, comme sa série des Futurs Mystères de Paris ou son roman Rêves de Gloire, ainsi que quelques pépites comme La Sinsé gravite au 21.

    Des démons ? répéta Kit Carson. Où êtes-vous donc allé chercher une idée aussi ridicule ? Les Indiens sont des gens sérieux. Jamais un de leurs esprits n’aurait pris une apparence aussi loufoque.

    Mars 2017 était un mois anniversaire pour Howard Philips Lovecraft et les Indés de l’Imaginaire en ont profité pour réaliser plusieurs sorties conjointes mettant en valeur le « reclus de Providence » ou ses créations. Dans le lot, les éditions ActuSF ont réédité en poche chez Hélios deux courts récits du défunt Roland C. Wagner en rapport avec ses accointances lovecraftiennes.