• Nightwing rebirth 1

    Nightwing Rebirth, tome 1 : Plus fort que Batman

    Titre : Plus fort que Batman
    Cycle/Série : Nightwing Rebirth, tome 1
    Auteur : Tim Seeley
    Dessinateurs : Javier Fernandez, Yannick Paquette
    Éditeur : Urban Comics
    Date de publication : 15 septembre 2017

    Synopsis : Un agent double. Un homme qui s’est fait passer pour mort… Mais à présent, Dick Grayson est de retour, et il revient à Gotham sous le costume de Nightwing ! Mais retrouver son ancienne vie n’est pas aussi simple que prévu… surtout lorsqu’il doit faire face à la mystérieuse Cour de Hiboux, et qu’il ne dispose pour seul allié que d’un homme masqué du nom de Raptor, qui a plutôt l’apparence d’un ennemi. Pour s’en tirer, Nightwing va devoir faire au moins aussi bien que son mentor, sinon mieux…

    Bibliocosme Note 2.5

    J’ai été tant de choses Bruce. Un Grayson volant, Robin, Nightwing, Agent 37. Ils avaient tous un point commun, ils étaient tous Dick Grayson. J’aide mes amis, j’aide tous ceux qui ont besoin de moi. J’affronte les criminels. Voilà qui je suis. Qui je suis grâce à toi.

        Dick Grayson, alias Robin premier du nom, le Boy wonder, mais alias aussi Nightwing ou encore alias Agent 37 de l’organisation Spyral, est un super héros parmi les plus populaires de l’univers DC. C’est que le bougre du dynamic duo n’est plus tout jeune du haut de ses 77 ans. Il est même l’un des rares personnages à avoir grandi au cours de toutes ces années. Par ses multiples identités, le personnage de Grayson porte avec lui un imposant bagage personnel. Tim Seeley n’en est pas à son premier essai puisqu’il était déjà l’auteur de Grayson dans DC Renaissance. Autant dire qu’en lui confiant à nouveau les rênes de Nightwing, DC espérait sans doute assurer ses arrières. Est-ce le cas après 175 pages d’une lecture assidue… quoiqu’un peu longuette ?

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  • Green Arrow, tome 1 - Vie et mort d'Oliver Queen

    Green Arrow Rebirth, tome 1 : Vie et mort d’Oliver Queen

    Titre : Vie et Mort d’Oliver Queen
    Cycle/Série : Green Arrow Rebirth, tome 1
    Auteur : Benjamin Percy
    Dessinateurs : Otto Schmidt, Juan Ferreyra
    Éditeur : Urban Comics
    Date de publication : 13 octobre 2017

    Synopsis : Trahi par l’un de ses proches, Green Arrow voit son identité secrète mise en péril. Avec l’aide d’une nouvelle coéquipière, Black Canary, Oliver Queen doit surmonter les multiples épreuves sur son chemin, parmi lesquelles les contradictions qui ont fait de lui ce qu’il est devenu aujourd’hui.

    Toujours en train de la ramener sur ce qui heurte tes principes, à te plaindre de l’élitisme, du racisme, du favoritisme, du conservatisme, et de tout ce qui finit en -isme. Tu te fais appeler le justicier social… Mais regarde-moi cet appartement, regarde-moi cette vie. […] Comment se battre contre le pouvoir quand on est le pouvoir ?

        Green Arrow, de la corde à son arc et des flèches dans son carquois, il en a plein, et c’est avec ce bel équipement flambant neuf qu’il se jette à son tour dans le bain de DC Comics Rebirth. Le Robin des Bois de Seattle fait un peu figure de parent pauvre du super héros chez DC (c’est mon sentiment), au point d’ailleurs que la Justice League n’en veut même pas dans ses rangs. Pourtant, Urban comics, qui décide de publier les nouvelles aventures de l’Archer vert, doit bien être convaincu du potentiel de celui-ci. Le scénariste de ce premier volume n’est d’ailleurs pas lui-même complètement nouveau puisque Benjamin Percy est déjà en charge du personnage depuis plusieurs mois déjà. La vague Rebirth est déjà bien entamée, et pas toujours avec succès, mais que valent les nouvelles péripéties d’Oliver Queen ?

  • Superman - American alien

    Superman : American Alien

    Titre : American Alien
    Cycle/Série : Superman
    Auteur : Max Landis
    Dessinateurs : Lee Jae, Nick Dragotta, Jock
    Éditeur : Urban Comics
    Date de publication : 8 septembre 2017

    Synopsis : Il y a des années, Clark Kent, envoyé de la planète Kryton après la destruction de cette dernière, a été recueilli et élevé par les Kent, un couple de fermiers du Kansas. Dès lors, sa jeunesse et son adolescence ont été marquées par la découverte et l’apprentissage de ses pouvoirs et des responsabilités qui en découlent. Mais, à son arrivée à Metropolis, sa rencontre avec le justicier masqué Batman et avec la journaliste Lois Lane, va l’inspirer à utiliser ses dons à une plus grande échelle.

    -J’ai peur, je voudrais juste être normal… Je ne suis pas normal.
    -C’est peut-être une bonne chose. Tu sais quoi, oui, c’est une bonne chose ! Qui a besoin de normalité?

        Publié à partir de 2015 outre-Atlantique, Superman American Alien est doublement intéressant par le fait que, d’une part, c’est une mini-série de 7 numéros (qui sort présentement sous un format intégral chez nous), et qui donc ne se perd pas en longueur, et d’autre part parce que l’histoire se tient en dehors des reboots et autres chronologies dans lesquelles on perd si aisément pied. En somme, une histoire de superman plus indépendante que celles que l’on a l’habitude de côtoyer, un elseworld, comme on dit parfois. Plus qu’une histoire en elle-même, Max Landis, qui signe la son premier comics (il est d’abord un homme de cinéma, réalisateur du réussi Chronicle), propose de raconter sept tranches de vie de Clark Kent. Ah oui parce que si American Alien porte bien le titre de Superman, c’est aussi et avant tout la construction et la vie de Kal-El qui sont au coeur de ces chapitres. Au programme donc, sept chapitres, de l’enfance de Clark à ses débuts de Superman, en passant par l’adolescence et l’arrivée à Métropolis et au Daily Planet. Un récit de vie, en fin de compte, concentré sur la construction du double personnage de Clark Kent et de Superman. Une fois n’est pas coutume, les chapitres étant relativement séparés les uns des autres et ayant pour seul point commun Max Landis à l’écriture, je procéderai, brièvement pour ne gâcher le plaisir de personne, par chapitre.

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  • The Goddamned tome 1

    The Goddamned, tome 1 : Avant le Déluge

    The Goddamned tome 1

    Titre : Avant le Déluge
    Série : The Goddamned, tome 1
    Auteur : Jason Aaron
    Dessinateur: R.M. Guéra
    Éditeur : Urban Comics Indies
    Date de publication : 26 mai 2017

    Synopsis : « La Terre était corrompue devant Dieu, la Terre était pleine de violence. » (Genèse 6 : 11) En fuyant le Jardin d’Eden, Adam et Eve découvrirent la Création : un havre de paix, parfait équilibre entre les règnes animaux et végétaux. Le meurtre originel perpétré par Caïn sur son frère Abel entraîna cependant la chute de ce Paradis terrestre. Condamné par Dieu à assister à la déchéance de l’Humanité jusqu’à la fin des temps, Caïn arpente cette Terre devenue le refuge de monstres préhistoriques, sillonnée par des hordes de maraudeurs sanguinaires. Dans cet enfer condamné au Déluge, Caïn croise la route de Noé.

    Mon frère était un sale con. Nous étions les deux premiers-nés du monde, et on ne pouvait pas se blairer. Rien que ça montre à quel point on est tous tarés. Un jour, ce bâtard m’a tellement énervé que j’ai fait ce que personne n’avait jamais fait. Je l’ai tué. Et depuis, ma foi… le monde est devenu une sorte d’enfer.

    Urban Comics Indies n’en finit pas d’étoffer son catalogue, nous gratifiant presque chaque mois d’une nouvelle saga. Reconnus pour leur série Scalped, Jason Aaron et R.M Guéra reforment leur duo de choc pour proposer une nouvelle histoire qui ne l’est pas moins. The Goddamned n’est en effet pas à mettre entre toutes les mains: l’écriture comme le dessin sont sans concession. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ça déchire ! Au sens propre comme au sens figuré.

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  • Book of Death

    Book of Death

    Titre : Book of Death
    Scénariste : Robert Venditti
    Dessinateur : Robert Gill et Doug Braithwaite, suppléés par Trevor Hairsine, Kano, Clayton Henry et CAFU
    Éditeur : Bliss Comics [site officiel]
    Date de publication : 28 avril 2017 (2015 en VO chez Valiant Comics)

    Synopsis : Le Livre des Géomanciens l’a compilé. Mais seule Tama, dernière héritière de cette lignée de mystiques guidés par la Terre, est capable de déchiffrer cet avenir funeste, du cataclysme tout proche jusqu’aux confins du 41e siècle. Elle et son protecteur, le Guerrier Éternel, devront faire face aux pires épreuves et même affronter leurs alliés d’autrefois pour empêcher un Âge Sombre de recouvrir le monde.

    Un nouveau et terrible géomancien prit le pouvoir.
    Il amena avec lui un âge sombre. Un vent mauvais qui balayait tout. Comme si la Terre elle-même cherchait du réconfort dans la vengeance.
    Gilad Anni-Padda, le Guerrier éternel, rassembla ceux encore debout pour une contre-attaque.
    Ce n’était qu’un acte désespéré de plus parmi tant d’autres passés et à venir.

    « L’univers Valiant va mourir et nous serons là pour voir sa déchéance. » Tel pourrait être le slogan de ce volume lisible seul intitulé Book of Death et que nous devons à Robert Venditti au scénario, Robert Gill et Doug Braithwaite au dessin, avec la participation pour quelques pages de Trevor Hairsine, Kano, Clayton Henry et CAFU, chacun avec son coloriste attitré.

  • Outcast tome 1

    Outcast, tome 1 : Possession

     

     

    Titre : Possession
    Série : Outcast, tome 1
    Scénario : Robert Kirkman
    Dessin : Paul Azaceta
    Éditeur : Delcourt
    Date de publication : avril 2015

     

    Synopsis : Kyle Barnes est un banni, vivant isolé du reste de la société dans une petite ville des États-Unis. Ancien enfant battu, ancien mari violent, ancien père maltraitant, il cumule les étiquettes de l’homme qui dérange. Son quotidien se voit bouleversé le jour où il retrouve par hasard un vieux révérant adepte des jeux de cartes. Ce dernier pose un regard neuf sur notre héros : il le voit comme une bénédiction. Au détour d’un exorcisme de routine, il l’emmène auprès d’un enfant possédé. Kyle se rend alors compte qu’il dispose d’un don très spécial : celui de faire fuir les démons. Commence alors une guerre contre le mal, entre frénésie biblique et coups de poker.

     

    Les gens pensent que Dieu se bile pour les détails. Les gens croient qu’il a le temps de regarder tous les trucs qu’on fait comme s’il s’inquiétait vraiment de tout ce qu’on dit, ou de savoir si on suit ou non ses règles à la lettre. C’est vraiment des conneries.

     

     

     

    Au scénario, nous retrouvons Robert Kirkman, le créateur de Walking Dead dont la série principale a été adaptée au petit écran. On retrouve avec Outcast cette touche à la Romero dont il s’est fait une spécialité. Il a créé de nombreuses saga à succès : Invincible, Le Maître voleur, Les Gardiens du Globe, et Tech Jacket. Outcast ne déroge pas à la règle : ça fleure bon le scénario de qualité. Il a d’ailleurs lui aussi été choisi pour devenir une série télévisuelle et a été sélectionné au festival d’Angoulême en 2016. Quant au dessin, c’est Paul Azaceta qui manie les pinceaux. Ce dernier est essentiellement connu pour sa collaboration avec Marvel, grâce à la série Amazing Spider-Man ou Captain Marvel.

     

    Eh bien, je vais vous dire le secret. Il ne répond pas. Parfois il y a une sensation, parfois un signe… Mais je n’entends jamais sa voix, pas comme Moïse, Abraham ou Jésus… Pourquoi ? Peut-être qu’il est trop occupé avec sa guerre, et qu’il nous a oubliés. Peut-être qu’il perd.

     

    Dès les premières pages, on perçoit une ambiance particulièrement pesante. Celle qui met mal à l’aise non pas à cause d’un quelconque monstre tapi dans l’ombre, mais bien en raison du Mal dissimulé au cœur des Hommes. Le sourire des possédés est insoutenable, si bien qu’on se surprend à tourner la page avec soulagement. L’intrigue se révèle insupportable de part la violence qui s’en dégage. On éprouve pourtant une fascination proche du masochisme, qui nous pousse à nous demander si nous ne serions pas nous aussi victime d’une possession satanique.

     

     

    La brutalité du scénario est contrebalancée par un dessin très simpliste. Les personnages sont croqués grossièrement : l’épaisseur du trais donne un style qui n’est pas de mon goût. Si la couverture laisse imaginer un jeu de couleurs intéressant, on ne peut qu’être déçu en découvrant des teintes ternes et sans vie. Tout semble beige ou gris, à quelques nuances près. Les cases sur fond blanc surprennent. Au vu du thème horrifique clairement établi, on s’attendrait plutôt à un fond noir. La clarté qui s’en dégage rend les coloris encore plus fades. On aurait aimé que le bijou soit à la hauteur de son écrin.

    En lisant cette bande-dessinée, on remarque immédiatement une influence cinématographique avec ses nombreux flash-back permettant de mieux cerner le personnage principal : Kyle Barnes. Ce dernier a été traumatisé par une enfance dévastée. Dès le plus jeune âge, il fut la cible privilégiée des démons ayant pris possession de ses proches : d’abord sa mère, puis son épouse. Personne n’est épargné, pas même sa sœur adoptive dont on devine un passé des plus glauques. Les informations sont distillées çà et là, si bien qu’au bout du premier tome, on se retrouve avec davantage de questions qu’au commencement. Paul Azaceta semble friand des zooms et très gros plans. Il nous montre l’un après l’autre, de façon détaillée, tous les éléments trahissant les personnages : l’inquiétude d’une épouse devant un invité indésirable, le doute d’un révérant prêt à tout pour sauver ses paroissiens, la malveillance dissimulée derrière les masques de politesse, et mille autres fragments participant à la mise en place d’une atmosphère angoissante.

    Outcast me fait penser à une version papier de la série Supernatural ayant envahi notre jeunesse les samedis soirs. Le scénario semble captivant mais pas novateur. Peut-être sera-t-on surpris avec les tomes suivants. Pour ma part, j’ai véritablement été rebutée par les couleurs insipides ne rendant pas honneur au scénario.

  • Batman rebirth, tome 1 - La colonie

    Batman Detective Comics Rebirth, tome 1 : La Colonie

    Titre : La Colonie
    Série : Batman Detective Comics, tome 1
    Auteur : James Tynion IV
    Dessinateur: Eddie Barrows
    Éditeur : Urban Comics
    Date de publication : 7 juillet 2017

    Synopsis : Batwoman, Red Robin, Spoiler, l’Orpheline et Gueule d’Argile… Voici les nouveaux justiciers que Batman a recrutés afin de protéger Gotham d’une menace totalement inédite. Pourront-ils s’accorder à temps avant que la cité maudite ne tombe entre les griffes d’une armée souterraine ?

    La colonie croit à un mythe… la ligue des ombres. Un des plus vieux mensonges de Ra’s al Ghul. Il parlait d’une armée secrète, cachée à la vue de tous. Une armée qui se soulèverait pour plonger le monde dans le chaos.
    Ra’s avait l’habitude de s’en vanter: il pouvait ainsi revendiquer le moindre acte terroriste isolé et faire croire au monde qu’il était capable de tout, afin de le plier à sa volonté.

    Après moult et moult lectures et critiques déjà consacrées à DC Rebirth, voilà qu’enfin j’ai pu poser mes mirettes sur ce qui est pour l’instant le volume le plus réussi de ce reboot. Après un Batman mi-figue, mi-raisin, ce n’est sans doute pas là où on l’attendait que le chevalier noir brille le plus. Pas seulement Batman d’ailleurs, puisque Batman Detective Comics rassemble un groupe élargi des superhéros de Gotham, plus que jamais engagés dans leur lutte contre le crime.

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  • Superman - Loïs et Clark

    Superman : Loïs et Clark

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    Titre : Loïs et Clark
    Série : Superman
    Scénariste : Dan Jurgens
    Dessinateur : Lee Weeks
    Éditeur : Urban Comics
    Date de publication : 7 avril 2017

    Synopsis : Après avoir vu leur monde effacé de la réalité, suite aux événements de la Convergence, les Lois et Clark originels ont trouvé refuge sur la Terre de la Renaissance DC, un monde qui se méfie de son propre Superman. Se fondant dans la masse, Clark décide alors d’oeuvrer dans l’ombre, et Lois de poursuivre la lutte sous un nom de plume. Mais à l’heure où leur secret risque d’être éventé, leur fils Jonathan commence à avoir des doutes sur l’identité de ses parents… Est-il temps pour l’Homme d’Acier originel de se révéler au grand jour… ?

    Bibliocosme Note 3.5

    Il va falloir s’adapter.
    Ils n’ont pas confiance en leur Superman, ce sera pareil pour moi. Ils ont essayé de me suivre. Si j’agis au grand jour… Ils me harcèleront jusqu’à ce qu’ils nous trouvent. Il faut qu’on reste cachés, devenir quelqu’un d’autre.

    Superman n’ayant pas eu très bonne réputation dans le reboot DC new 52 (Renaissance chez nous) de 2011, je me suis tenu bien loin de l’Homme d’Acier pendant ces quelques années, ainsi que de d’autres superhéros d’ailleurs. Il semblerait que l’éditeur a tenté de rattraper son coup avant l’arrivée de Rebirth. Loïs et Clark vient en effet se situer à l’intersection de ces deux reboot au moment de l’événement Convergence, lancé en 2015. Pour mieux introduire Loïs et Clark, rappelons que lors de cet événement, Brainiac a capturé une ville de chaque Terre du multivers DC et leurs héros se rencontrent donc immanquablement et doivent s’entretuer pour survivre. Tout cela paraît sans doute tarabiscoté, et il faut bien avouer que ça l’est. On finit par s’y perdre à moins d’avoir absolument tout suivi. Sans être pour autant vitale, la lecture de ce volume n’en permet pas moins de mieux comprendre le pourquoi du comment de Superman Rebirth.

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  • Superman Rebirth 1

    Superman Rebirth, tome 1 : Le Fils de Superman

    Titre : Le Fils de Superman
    Série : Superman Rebirth, tome 1
    Scénaristes : Patrick Gleason, Peter Tomasi
    Dessinateurs : Patrick Gleason, Doug Mahnke
    Éditeur : Urban Comics
    Date de publication : 7 juillet 2017

    Synopsis : À la mort du Superman de la Renaissance, l’esprit de vérité et de justice qu’il représentait a semblé disparaître avec lui. Mais un Homme d’Acier bien plus aguerri restait à l’affût, opérant dans l’ombre. Et il est grand temps pour ce protecteur d’une Metropolis parallèle de reprendre le flambeau, car l’Eradicator est en route pour la Terre, et aucune forme de vie ne semble pouvoir lui résister…

    – Mais c’est quoi ce tee-shirt?
    – Cool non? Je l’ai trouvé dans une friperie de la ville avec maman. Y a le « S » et tout dessus.
    – Je vois ça. Tu portes l’emblème pour être qui? Superboy ?
    – Non. Des tas de gens portent le symbole de Wonder Woman, voire de Batman…
    – Je voulais simplement me sentir « super », comme toi.

    Parmi toute la pléiade de Comics DC qui ont commencé à rejoindre les étals de nos librairies préférées, il est à mon sens un point positif commun sur lequel on peut s’accorder: tous ont la bonne idée de nous attirer par de superbes couvertures. Tous? Non, parce que Superman Rebirth, si l’on se fie à ce seul premier aperçu, déçoit. Urban Comics a décidé d’y mettre en avant un personnage que nul ne connaît, même si l’on comprend évidemment au premier coup d’oeil de qui il va s’agir par la suite. Bref, l’attrait n’est pas si fort que pour les autres héros de Rebirth. C’est dommage, d’autant plus que ce premier volume des nouvelles aventures de Superman est de loin le meilleur de ce nouveau reboot jusqu’ici. Ce n’était pourtant pas gagné d’avance.

  • Suicide Squad 1 Têtes brûlées

    Suicide Squad, tome 1 : Têtes brûlées

    Titre : Têtes brûlées (Kicked in the Teeth)
    Série : Suicide Squad, tome 1
    Scénariste : Adam Glass
    Dessinateurs : Federico Dallochio, Ransom Getty, Andrei Bressan, Cliff Richards, Clayton Henry et Ig Guara
    Éditeur : Urban Comics (DC Renaissance) [fiche officielle]
    Date de publication : 8 avril 2016 (2015 en VO chez DC Comics)

    Synopsis : Ils étaient condamnés à passer le restant de leurs jours derrières les barreaux, mais le gouvernement en a décidé autrement. Harley Quinn, Deadshot, King Shark et El Diablo font désormais partie d’un escadron suicide envoyé sur le terrain quand une mission s’avère trop dangereuse. Une équipe de super-criminels sacrifiables dont le premier objectif sera de venir à bout d’un stade peuplé de plusieurs milliers de spectateurs infectés. Par quoi ? Par qui ? La Suicide Squad est sur le coup !

    Moi, c’est Yo-Yo. Et non, je n’ai pas une ficelle qui me sort de la raie.

    Avec le film éponyme sorti en 2016, Urban Comics remettait en avant la série New 52 de Suicide Squad publiée en version originale à partir de 2011. Dans ce premier tome, nous suivons les premiers épisodes de cette nouvelle mouture d’une équipe de choc composée des pires vilains de DC Comics.